I can't win, I can't reign I will never win this game without you, without you I am lost, I am vain I will never be the same without you, without you
I won't run, I won't fly I will never make it by without you, without you I can't rest, I can't fight All I need is you and I, without you, without you
Oh, oh, oh You, you, you Without you, you, you Without you
Can't erase so I'll take blame But I can't accept that we're estranged without you, without you I can't quit now, this can't be right I can't take one more sleepless night without you, without you
I won't soar, I won't climb If you're not here, I'm paralyzed without you, without you I can't look, I'm so blind Lost my heart, I lost my mind, without you, without you
Oh, oh, oh You, you, you Without you, you, you Without you
I am lost, I am vain I will never be the same without you, without you Without you
Comment Ark, La Première Cryptomonnaie Française, Veut S’Imposer Dans Le Paysage
Mise sur orbite dès mars 2017, Ark est aujourd’hui la plus importante cryptomonnaie française et dans le “Top 50” mondial. Dans l’ombre du Bitcoin, Ethereum et consorts, cette petite « pépite tricolore » dispose néanmoins de certains atouts pour tirer son épingle du jeu.
Bitcoin, Ethereum, Litecoin ou encore Ripple… A moins d’avoir été en hibernation tout au long de l’année 2017, difficile d’être passé à côté du phénomène des cryptomonnaies et de la « hype Bitcoin » notamment. Alternant sans aucune forme de régularité séquences haussières et trous d’air spectaculaires, ces « monnaies virtuelles » ont néanmoins eu le mérite de bousculer les codes de la finance dite traditionnelle, secteur peu enclin à renverser la table. Doux euphémisme. De Jamie Dimon, omnipotent président de JPMorgan et pourfendeur en chef du Bitcoin (avant de tourner casaque) à Warren Buffet, jurant la main sur le cœur ne pas savoir comment cela fonctionne, en passant par la star de la téléréalité Nabilla Benatia, tout le monde semble avoir un avis sur la question. Et avec la multiplication de plateformes d’échanges de cryptodevises (Coinbase, CoinHouse ou encore la française Bitit), tout un chacun se sent l’âme d’un investisseur en puissance. Mais cette déferlante ne semble être que la partie émergée de l’iceberg. Car si ces devises numériques tiennent le haut du pavé, certaines, tapies dans l’ombre, attendent patiemment leur heure. C’est notamment le cas de celle du représentant français de la catégorie. Nom de code : Ark.
Chapeautée par la structure Ark Ecosystem, une société coopérative française implantée dans le Jura, et qui rassemble une trentaine de chercheurs de 17 nationalités différentes, Ark peut se targuer d’une progression des plus fulgurantes, de l’aveu même de son maître d’œuvre, François-Xavier Thoorens et après une ICO initialement « ratée » en novembre 2016. En effet, depuis cette date, sa valeur a été multipliée par 400 depuis la réalisation de l’opération, soit l’une des performances les plus impressionnantes du secteur. Estimée à moins de un centime dès son lancement, elle frise aujourd’hui les 4 dollars et une capitalisation dépassant allègrement les 400 millions d’euros. « Il s’agit de l’un des plus importants retour sur investissement de l’ensemble des cryptomonnaies », appuie François-Xavier Thoorens. En effet, selon les données disponibles sur le site de référence icostats.com, le « ROI » (Return On Investment dans la langue de Shakespeare) de « Ark » est largement supérieur à celui du Ripple ou encore du Litecoin, deux « currencies » davantage connues du grand public. Seul l’Ethereum devance Ark en la matière qui est tout de même solidement arrimé au peloton de tête.
Ark est une DAPP basée sur l’Ethereum permettant d’interconnecter les blockchains pour faciliter l’accès à l’information, mais surtout pour multiplier les fonctionnalités des blockchains au quotidien. Pour relier les blockchains entre elles, Ark utilise la technologie des Smartbridges (littéralement, des « ponts intelligents ».) Les premières Blockchains à être connectées sur la plateforme Ark sont Bitcoin, Ethereum, Lisk, et Third Party Network Anonymous Integration.
Le projet Ark vise à démocratiser massivement l’utilisation des crypto-monnaies, en offrant des services rapides, mais aussi faciles d’accès et d’utilisation aux plus novices. Les fonctionnalités proposées par Ark sont par exemple:
InterPlanetary File System (IFPS), qui est une plateforme de médias en peer-to-peer permettant de générer des revenus en hébergeant, stackant ou en partageant des données audio, vidéos ou live,
InterPlanetary Database (IDPB), une base de données sur la blockchain fonctionnant également en peer-to-peer pour faciliter la gestion des données personnelles, leur confidentialité, et protéger la réputation d’une personne,
Une carte de paiement physique en peer-to-peer,
Une plateforme de vente e-commerce similaire à Groupon,
Une plateforme de streaming de gaming similaire à Twitch avec de nombreuses options de rémunération.
Quelque part, là où Bitcoin intoduisait la Blockchain et Ethereum créait les smart contracts, Ark achève de lier l’économie réelle à la Blockchain, pour démocratiser son utilisation dans tous les domaines de la vie courante.
Le consensus du Ark : DPoS
Ark est basé sur le consensus de la Deleguated Proof of Stake. 51 délégués actifs sont élus par la communauté, et rémunérés 2 Arks pour chaque formation de bloc. Ark prévoit de générer 125 millions de tokens en tout, avec une inflation dégressive : 6,31% la première année, 5,93% la seconde année, et 4,02% la dixième année.
Un bloc est créé en 8 secondes, et chaque bloc comporte 25 transactions. Que penser du Ark ?
Si le Ark est le premier à aller aussi loin dans l’interconnexion des blockchains, certaines limites technologiques laissent entrevoir d’importantes zones d’ombre quant à l’avenir du projet.
La première d’entre elle est la petite taille des blocs, qui sont certes générés rapidement, mais ne comportent que 25 transactions. Nous sommes en position de penser qu’à terme, les transactions finiront par être assez longues. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle Ark prévoit si besoin de procéder à un ou plusieurs soft forks.
Mais le principal point d’interrogation demeure sa compatibilité au long terme avec la blockchain Ethereum, sur laquelle elle se base. La première phase du protocole Metropolis, appelée Byzance et mise en place le 16 octobre 2017, n’est pas compatible avec un consensus de Delegated Proof of Stake. L’avenir du Ark repose sur les choix que fera Ethereum en 2018, voire 2019, et sur sa capacité à adapter ses propres choix techniques. Ark a donc des chances d’avoir un bel avenir devant lui, à condition d’être suffisamment scalable et de s’entourer de développeurs très réactifs.
Disclaimer : L’émission et les échanges achat/vente de crypto-monnaies étant hautement spéculatifs, les avis publiées ici ne reflètent que ceux de l’équipe et ne constituent en rien une incitation à investir, ni une garantie de succès. Prudence donc, et si vous investissez, ne le faites qu’avec des montants que vous pouvez vous permettre de perdre.
I've been reading books of old The legends and the myths Achilles and his gold Hercules and his gifts Spiderman's control And Batman with his fists And clearly I don't see myself upon that list
But she said, where'd you wanna go? How much you wanna risk? I'm not looking for somebody With some superhuman gifts Some superhero Some fairytale bliss Just something I can turn to Somebody I can kiss
I want something just like this Doo-doo-doo, doo-doo-doo Doo-doo-doo, doo-doo-doo Doo-doo-doo, doo-doo-doo Oh, I want something just like this Doo-doo-doo, doo-doo-doo Doo-doo-doo, doo-doo-doo Doo-doo-doo, doo-doo-doo Oh, I want something just like this
I want something just like this
I've been reading books of old The legends and the myths The testaments they told The moon and its eclipse And Superman unrolls A suit before he lifts But I'm not the kind of person that it fits
She said, where'd you wanna go? How much you wanna risk? I'm not looking for somebody With some superhuman gifts Some superhero Some fairytale bliss Just something I can turn to Somebody I can miss
I want something just like this I want something just like this
I want something just like this Doo-doo-doo, doo-doo-doo Doo-doo-doo, doo-doo-doo Doo-doo-doo, doo-doo-doo Oh, I want something just like this Doo-doo-doo, doo-doo Doo-doo-doo, doo-doo-doo Doo-doo-doo, doo-doo-doo
Where'd you wanna go? How much you wanna risk? I'm not looking for somebody With some superhuman gifts Some superhero Some fairytale bliss Just something I can turn to Somebody I can kiss I want something just like this
Oh, I want something just like this Oh, I want something just like this Oh, I want something just like this
Voici les Samsung Galaxy S9 et Galaxy S9 Plus : tout ce qu’il faut savoir
Sans surprise, le Samsung Galaxy S9 est l’un des smartphones les plus attendus de 2018. Très convoité, il vient d’être présenté en amont du Mobile World Congress.
Prise en main complète
Nous avons pu prendre en main le Samsung Galaxy S9 et le S9+. Une prise en main complète qui revient sur les nouveautés annoncées, dont le mode Super Slo-Mow ou encore cette caméra à double ouverture.
Comparaison avec le Galaxy S8, le Note 8 et l’iPhone X
Nous avons pu comparer le Galaxy S9 et le S9+ avec plusieurs smartphones haut de gamme : La comparaison avec le Galaxy S8, qui reste un bon plan très intéressant actuellement La comparaison entre le Galaxy S9+ et le Note 8, deux appareils de grande taille qui partagent beaucoup de points communs L’iPhone X était également un candidat parfait pour une comparaison
Toujours plus de performances
À défaut du design, Samsung a également tout de même revu les composants internes de son flagship. Le Samsung Exynos 8895 du Galaxy S8 laisse sa place à l’Exynos 9810 déjà présenté par la marque. Cette nouvelle puce utilise toujours le procédé de fabrication en 10 nm, mais celui de seconde génération, mieux maîtrisé par le fabricant. Le SoC devrait tenir tête au Snapdragon 845, que le Galaxy S9 utilisera aux États-Unis et que l’on retrouvera vite chez la plupart des concurrents, mais aussi au Kirin 970 utilisé par Huawei dans le Mate 10 Pro et le Honor View 10.
LE SAMSUNG GALAXY S9 VA-T-IL ENTERRER L’IPHONE X ?
Dernier épisode de la guerre que se livrent Samsung et Apple : la sortie du Galaxy S9, le nouveau smartphone du Sud-coréen, qui entre en concurrence frontale avec l’iPhone X . De la fiche technique au prix, on fait le match.
C’est la réponse de Samsung à l’iPhone X . Le Galaxy S9, présenté ce week-end au Mobile World Congress (MWC) de Barcelone, a été conçu pour rivaliser avec le dernier smartphone d’Apple. Il s’agit dans les deux cas d’appareils haut de gamme, équipés d’un écran OLED et de processeurs performants. Hormis le goût des utilisateurs pour l’univers iOS ou Android, d’autres caractéristiques pourraient néanmoins faire pencher la balance du côté du Galaxy S9 ou de l’iPhone X. Ecran, appareil photo, batterie, prix… On fait le tour.
Les deux smartphones bénéficient d’abord d’un design soigné, avec un écran occupant la plus grande partie de la face avant. Sur ce point justement, le Samsung Galaxy S9 présente une plus grande résolution (570 pixels par pouce) que l’iPhone X (458 ppp), bien que la différence ne devrait pas être visible à l’oeil nu. Pour écraser son rival, le Sud-coréen a surtout misé sur l’appareil photo. Si à l’arrière, les deux smartphones sont équipés d’une lentille de 12 mégapixels, le Samsung devrait être plus performant en basse lumière.
Samsung inaugure l’appareil photo à ouverture variable sur un smartphone
Deux ouvertures sont en effet proposées afin de s’adapter à la situation (une première sur un smartphone) : f/1,5 pour une faible lumière et f/2,4 pour des clichés pris en plein jour. L’iPhone X, qui est équipé de deux lentilles, ouvre à f/1,8 en grand angle et f/2,4 en téléobjectif. D’ailleurs, pour profiter de l’effet bokeh (flou artistique) en arrière-plan, comme le fait le smartphone d’Apple, il faudra se tourner vers un Galaxy S9+ qui bénéficie lui aussi d’un second objectif (téléobjectif 12 mégapixels, ouverture f/2,4), contrairement au S9 tout court. Samsung promet aussi de meilleurs résultats grâce à une technologie combinant plusieurs photos afin de réduire le bruit en basse lumière.
Apple avait préféré, de son côté, miser sur différents “éclairages studio” pour améliorer les selfies. D’ailleurs, à l’avant, l’appareil photo du Galaxy S9 devrait obtenir de meilleurs clichés grâce à 8 mégapixels et une ouverture de f/1,7, contre 7 mégapixels et f/2,2 sur l’iPhone X. Sur la vidéo, Samsung frappe fort grâce à son mode super ralenti. Le Galaxy S9 est en effet capable de capturer 960 images par seconde, alors que l’iPhone X plafonne à 240 images par seconde.
>> Lire aussi - La vague de froid glacial est une mauvaise nouvelle pour les propriétaires d'iPhone
Une grosse différence de prix entre le Galaxy S9 et l’iPhone X
Côté performances, on trouve sous le capot de Galaxy S9 un processeur huit coeurs Exynos 9810, cadencé à 2,9 GHz. L’iPhone X, équipé de la puce A11 Bionic, se limite à six coeurs et 2,4 Ghz. La mémoire vive est aussi légèrement en-dessous chez Apple (3 Go) par rapport à Samsung (4 Go). La batterie du Galaxy S9 atteint 3.000 mAh (3.500 mAh pour le S9+) contre 2.716 mAh pour l’iPhone X. Toutefois, lorsqu’il s’agit d’autonomie comme de performances, la façon dont le système d’exploitation optimise les composants peut jouer et il faudra donc voir à l’usage lequel est le meilleur sur ce terrain.
Mais, évidemment, c’est le prix qui peut faire la différence. Apple n’a pas eu peur de passer une barrière symbolique en proposant son iPhone X à 1.159 euros. Samsung est resté en-dessous, en commercialisant le Galaxy S9 à 859 euros. Pour bénéficier d’une double lentille, comme sur son concurrent, il faudra toutefois s’orienter vers le S9+ et débourser 959 euros. Ce qui laisse tout de même une différence de 200 euros. Et ce n’est pas tout à fait fini : alors qu’un chargeur rapide est inclus dans le coffret du Galaxy S9, il faut ajouter environ 90 euros pour bénéficier de la même fonction sur l’iPhone X...
Lorsqu’Apple a sorti son premier iPhone en 2007, certains smartphones du marché étaient nettement plus performants. Par exemple, le système de courriel de BlackBerry était plus efficace et la gamme N de Nokia était la première dans le domaine des divertissements. Mais l’iPhone était visuellement plus agréable, en termes de hardware et de software.
En sera-t-il de même pour le haut-parleur intelligent d’Apple ?
Gene Munster, analyste dans le domaine de la tech, vient de rendre ses conclusions concernant le HomePod. Il a testé différents produits du marché, notamment le Homepod d’Apple et ses concurrents de Google et d’Amazon. Selon lui, Apple a un gros avantage par rapport à ses concurrents : il a l’air plus humain. Nous avons beaucoup entendu parler de la qualité du son qui serait supérieure chez Apple, mais Gene Munster explique que les améliorations vont bien au-delà des capacités techniques de l’appareil. Sur le HomePod, la manière de communiquer de Siri est plus « humaine » que celle d’Alexa ou de Google Home. « Par exemple, lorsque vous posez une question, Siri ne la répète pas entièrement comme c’est la cas avec les autres intelligences artificielles, la discussion est donc plus fluide », explique l’analyste.
Le Homepod sait également mieux écouter que Echo ou Google Home. Grâce à sa technologie d’élimination du bruit ambiant, vous pouvez vous adressez à l’appareil à un volume sonore normal dans un environnement où vous auriez dû hausser la voix pour vous adresser à une personne : « c’est la fonctionnalité la plus impressionnante du HomePod. » C’est assez perturbant de penser que le son peut servir d’interface utilisateur, comme un écran. Le fabricant doit nous inviter à la discussion avec un design agréable et facile à utiliser, comme c’était le cas lors du lancement du premier iPhone.
En ce qui concerne le contenu des réponses, le HomePod est bon dernier du classement, car il répond correctement à seulement 52 % des questions posées contre 81 % pour Google home et 64 % pour Alexa. Mais le HomePod n’as pas besoin de répondre parfaitement aux questions pour être apprécié des utilisateurs. Ces derniers doivent seulement se sentir à l’aise avec lui pour être conquis.
De son côté, la faiblesse d’Amazon est l’écoute. Les utilisateurs doivent répéter plusieurs fois leurs questions avant qu’Alexa ne les comprenne. Le point faible de Google est sa personnalité et le fait que les utilisateurs soient obligés de dire « Ok Google » à tout bout de champ pour activer l’appareil. Apple n’a donc pas trop de soucis à se faire tant que ses utilisateurs n’ont pas de mal à converser avec un haut-parleur. Gene Munster explique que grâce à l’intégration d’une puce A8, plus puissante que celles des appareils concurrents, Apple dispose d’une marge de progression importante quant aux performances de son haut-parleur.
"Dis, Alexa" : préparez-vous à l'arrivée de l'assistant vocal d'Amazon
« Alexa, ferme la porte derrière moi et mets du Barry White dans le salon ». Imaginez-vous de retour à la maison et vous adressant non pas à votre ado ou à votre époux, mais à un petit appareil pas plus gros qu'une enceinte Bluetooth, juste avant d'entendre la serrure derrière vous se verrouiller et Barry White entonner un langoureux « Let the music play »...
Ce sera bientôt possible, puisque le géant du e-commerce et second A de GAFA va lancer, cette année, son assistant vocal intelligent Alexa en France. Il arrivera dans l'Hexagone un an après son concurrent direct, la Google Home (et son petit boîtier Google Home Mini).
Alexa, c'est quoi ?
Si vous ne le saviez pas encore, Alexa est le nom donné à une technologie développée par Amazon qui permet de piloter tout une série d'appareils connectés dans la maison, au bureau, ou encore d'accéder à des informations ou à des services, en n'utilisant que la voix.
Cet assistant personnel intelligent vous permettra ainsi de mettre de la musique, de connaître l'état du trafic routier ou de la météo près de chez vous, de fermer des volets ou tamiser la lumière de votre salon, ou même de commander en ligne, sans avoir à utiliser votre mobile ou une télécommande.
Un assistant vocal qui apprend avec le temps
Grâce à sa gamme d'appareils « Echo » qui embarquent tous Alexa et dont les fonctions varient selon les modèles, vous pouvez non seulement recourir à un grand nombre de commandes natives comme « Alexa, affiche-moi la recette du boeuf bourguignon » ou encore « Alexa, lis-moi un livre », mais vous aurez aussi la possibilité d'ajouter des « skills » (des « compétences ») en les installant à peu près comme vous installeriez une application sur votre smartphone.
Amazon a prévu la possibilité pour n'importe qui de développer de nouveaux skills, sous réserve d'avoir un minimum de connaissances en programmation, pour étoffer les compétences d'Alexa et lui permettre d'exécuter de nouvelles tâches.
Google Home vs Amazon Echo - It's the battle of the smart home assistants when I pitch Alexa against the Google Assistant. Home vs Echo - which should you buy?
- Le HomePod d'Apple arrivera au printemps en France. L'enceinte connectée sera disponible aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne et en Australie dès le 9 février.
Les règles de bases pour investir en bourse : 1 - Investir l'épargne dont on n'a pas besoin
Compte tenu du risque encouru, le particulier ne doit investir en Bourse que la portion de son épargne dont il peut se passer et qui, en cas de perte, ne fera pas baisser son niveau de vie. Il est important que l'investisseur n'utilise pas l'épargne dont il peut avoir besoin pour ses projets de vie courante.
2 - S'informer avant d'investir
Il est important de bien s'informer sur les produits financiers avant d'investir. Il s'agit de s'informer d'une part sur le type de produit (actions, obligations, produits dérivés), ses mécanismes et les risques qu'il comporte, et d'autre part sur l'émetteur, dont la santé financière et les perspectives auront une influence sur le prix et le risque des valeurs mobilières qu'il a émis.
Le particulier peut faire appel à un professionnel agréé qui lui fournira des conseils en adéquation avec sa situation et ses objectifs.
L'investisseur qui décide de choisir sans assistance les valeurs sur lesquelles il investit peut aussi trouver des informations générales sur les produits financiers auprès des intermédiaires financiers et directement auprès de l'émetteur des valeurs mobilières.
Les émetteurs ont l'obligation de communiquer au public régulièrement leurs informations financières : chiffres trimestriels, semestriels, annuels, annonces en cas d'opération de fusion, etc. Les informations seront plus complètes, fréquentes et accessibles sur les valeurs qui sont cotées sur un marché réglementé. A l'inverse, les marchés non-réglementés tels que les systèmes multilatéraux de négociation, sont moins protecteurs à l'égard des investisseurs.
Il est également conseillé de suivre régulièrement l'information économique et boursière via la presse financière ou les sites internet boursiers.
3 - Définir une stratégie d'investissement
Il est conseillé de définir une stratégie d'investissement avant d'investir. La plus simple est de se fixer un objectif de gain et un plancher de perte maximum, et ce en fonction de votre profil d'investisseur.
Il faut également définir une durée d'investissement qui correspond à un horizon de placement.
4 - Diversifier son portefeuille
La diversification du portefeuille permet de répartir de manière équilibrée le capital investi. Ainsi, la baisse d'une seule valeur aura moins de conséquence sur l'ensemble de votre portefeuille.
La diversification du portefeuille permet de répartir de manière équilibrée le capital investi. Ainsi, la baisse d'une seule valeur aura moins de conséquence sur l'ensemble de votre portefeuille.
Il est important de déterminer la répartition des différents investissements entre actions, obligations, produits dérivés, etc. L'investisseur peut également répartir son portefeuille sur des valeurs de différents secteurs économiques.
Cette diversification du portefeuille se fera en fonction du profil de risque de l'investisseur.
5 - Surveiller son portefeuille régulièrement
Les marchés peuvent connaître de fortes variations boursières, c'est pourquoi il est important de surveiller régulièrement son portefeuille, surtout si l'investisseur est positionné sur des produits à effet de levier qui nécessitent une vigilance particulière.
6 - Savoir prendre ses bénéfices et couper ses positions perdantes
L'investisseur doit définir quels sont ses objectifs de gains et de pertes avant d'investir en Bourse. Il faut donc être rigoureux si les objectifs de gains sont atteints et penser à prendre ses bénéfices.
De la même façon, si le seuil de pertes acceptables pour l'investisseur fixé à l'avance est atteint, il faut savoir prendre ces pertes. Il faut garder à l'esprit que certains investissements peuvent entrainer une perte totale des capitaux investis d'où l'importance de respecter le seuil fixé.
Même si cela reste difficile, couper ses positions perdantes reste un moyen efficace pour éviter des moins values encore plus importantes et conserver le contrôle de ses investissements.
Les 20 questions les plus courantes en entretien d’embauche
1. Pouvez-vous vous présenter ?
« Avec cette question, il s’agit d’évaluer comment la personne structure son parcours, explique Oualid Hathroubi, directeur adjoint chez Hays. C’est un préambule qui permet aussi d’en savoir déjà plus sur la personnalité du candidat (bavard, réservé…) et son état du moment. Une entame brouillonne peut signifier un fort état de stress. »
2. Que savez-vous de nous ?
« Il faut que le candidat se soit renseigné en amont via Internet et les réseaux sociaux, poursuit Oualid Hathroubi. On doit ressentir qu’il a travaillé son entretien d’embauche et qu’il cherche à nouer une relation de confiance. Exemple : "tout comme vous j’ai mené des études en finance…" ». La recherche doit donc se faire sur l’entreprise, mais aussi, si possible, sur la personne qui vous reçoit.
Lire aussi : Les 10 infos à connaître sur l'entreprise
3. Pourquoi souhaitez-vous quitter votre poste actuel ?
« On teste la fiabilité du candidat avec cette interrogation, annonce Florence Paquiry, chargée de recrutement chez SGS. Si par exemple il se met à dénigrer son employeur actuel ou passé, l’entretien est déjà mal embarqué… Il faut toujours savoir rester positif, ce n’est pas parce qu’on cherche à donner un nouvel élan à sa carrière qu’il faut parler négativement du passé. »
4. Qu’est-ce qui a suscité votre intérêt dans cette offre d’emploi
« On n’exige pas des candidats qu’ils connaissent tout de l’entreprise, rassure Eléonore De Lagarde, responsable sourcing et marque employeur chez Danone France. Mais on cherche qu’il y ait au moins une adéquation entre l’offre de mission et les leviers de motivation de la personne. Il faut que la candidature soit cohérente. »
5. Parlez-moi d’une situation où…
… où vous avez réussi à dénouer un problème complexe, où vous êtes parvenu à mener un projet jusqu’au bout... Pour Eléonore De Lagarde le but de ces questionnements est de centrer l’entretien sur le vécu de la personne, sur le "je". « Un recruteur a besoin d’imaginer le candidat dans des contextes donnés, de connaître ses résultats obtenus mais aussi les leçons qu’il a pu tirer d’expériences positives ou négatives. Il peut s’agir de retours vécus dans un contexte professionnel mais aussi personnel. »
6. Quels résultats avez-vous obtenus dans vos précédentes expériences ?
« On cherche le vécu du candidat en s’appuyant sur des éléments concrets, chiffrés et quantifiables, détaille Camille Doat, responsable du recrutement et de la mobilité chez BNP Paribas Real Estate. Ces résultats sont-ils en adéquation avec les objectifs demandés ? Comment s’y est-il pris pour les obtenir ? On peut ainsi mesurer ses leviers de négociation. »
7. Comment organisez-vous votre prospection commerciale ?
« On adapte évidemment les questions aux profils recherchés, indique Camille Doat. Pour des postes de consultant par exemple, nous sommes en recherche de candidats ayant le sens commercial. Cette question permet de mieux imaginer le candidat dans son quotidien professionnel, en espérant qu’il en profite pour nous donner du factuel. »
8. De quelle négociation êtes-vous le plus fier ?
Camille Doat cherche généralement à contrebalancer les questions sur des situations difficiles ou d’échec par des questions plus positives, pour que le candidat puisse garder confiance et rester positif lors de l’entretien. C’est une question d’équilibre. »
9. Quelle est la critique la plus constructive qu’on a été amené à vous faire ?
« C’est une question permettant de mesurer la prise de recul du candidat, reconnaît Florence Paquiry. On peut ainsi voir sa capacité à s’autoévaluer, sa maturité. »
10. Si vous pouviez revenir dans le passé, feriez-vous différemment certaines choses ?
« C’est une réplique plutôt difficile, admet Florence Paquiry. Mais elle permet de briser certaines carapaces. Comme souvent, il n’y a pas de bonne ou de mauvaise réponse, on cherche seulement à voir si la personne sait tirer des leçons. »
11. Qu’aimeriez-vous faire une fois en poste ?
Dans cette situation, Eléonore De Lagarde mesure la capacité du candidat à avoir réfléchi à son projet et à sa candidature. « C’est une question qui permet aux recruteurs d’évaluer la capacité de projection des postulants. »
12. Comment comptez-vous entrer en interaction avec votre nouvel environnement de travail ?
Vous ne vous y attendez peut-être pas mais il faut se préparer à répondre à cette question très concrète, et particulièrement quand on est manager. « On teste l’esprit collaboratif du candidat, explique Camille Doat. Sa capacité à s’adapter à un nouvel environnement, avec de nouveaux collègues. ».
13. Qu’attendez-vous de votre manager ?
Encore une question qui paraît simple mais qui ne l’est pas. « Ici, on évalue la compatibilité du candidat avec un écosystème qu’il est susceptible d’intégrer, décrypte Camille Doat. Si le recruteur sait à l’avance que le futur manager du candidat est quelqu’un qui aime déléguer par exemple, on va plutôt avoir tendance à chercher des candidats qui semblent apprécier de pouvoir travailler en autonomie. ».
14. Quels sont vos axes d’amélioration ?
Il s’agit là d’une déclinaison de la question sur les qualités et défauts du candidat. « On évalue l'aptitude du candidat à prendre du recul sur lui-même, sa lucidité, en essayant de détecter des états d’esprit constructifs, de l’honnêteté et de la transparence », explique Camille Doat.
15. Quels sont vos moteurs professionnels ?
« C’est une question similaire à "qu’est-ce qui vous fait vous lever le matin ?", affirme la responsable du recrutement et de la mobilité chez BNP Paribas Real Estate. Toutes les réponses sont recevables si elles sont construites. Ce peut être la rémunération, des objectifs précis à atteindre, le goût du challenge, un environnement de travail épanouissant… La réponse nous permettra aussi de donner des informations précieuses au manager de la personne recrutée, pour qu’il puisse mieux cerner sa personnalité. »
16. Où vous voyez-vous dans cinq ans ?
Un classique chez les classiques. Avec cette interrogation Camille Doat évalue la capacité d’analyse et de réflexion du candidat, en espérant qu’il soit à la fois réfléchi et ambitieux.
17. Quelles sont vos prétentions salariales ?
« Les questions sur la rémunération permettent, là aussi, de tester le niveau de préparation et de réflexion du candidat, reconnaît. Il doit être en mesure de bien évaluer ce qu’il vaut. »
18. Quelle est votre disponibilité ?
Pour Florence Paquiry cette question n’est pas à négliger. « Elle renseigne le recruteur d’un point de vue très pratique et peut aussi permettre de juger de la motivation du candidat. S’il se met spontanément à disposition pour une nouvelle entrevue ou une entrée en poste rapide, c’est bon signe. »
19. Quels sont vos hobbies ?
« J’utilise cette question subsidiaire quand je sens que la personne est particulièrement stressée par l’exercice de l’entretien, témoigne Oualid Athroubi. Parler de ce qu’on aime peut permettre au candidat de se détendre. »
20. Avez-vous des questions ?
Souvent la dernière question, mais pas la moins importante. « Le candidat doit avoir en retour des questions à poser au recruteur, assure le dirigeant de chez Hays. Attention aux questions bateau : demander par exemple le chiffre d’affaires de l’entreprise alors qu’on a accès à cette information sur Internet. J’apprécie plus les questions de projection sur son environnement de travail, la taille de l’équipe, son ancienneté, etc. »
Entretien d'embauche questions à poser au recruteur
Quels sont vos défauts ?
8 phrases de candidats qui ont convaincu les recruteurs
Corporate, vous avez dit corporate ?
« A ce point du parcours de recrutement, je sais que votre entreprise répond à mes attentes professionnelles et correspond à un modèle d’organisation qui me plait vraiment ! »
Entendu en entretien par Marjane Mabrouk, manager chez Talan. Son commentaire : « Ce candidat avait posé beaucoup de questions lors du process de recrutement. J’ai eu le sentiment qu’un candidat comme lui allait vraiment s’épanouir chez nous et je ne me suis pas trompée. »
La capacité d’initiative du jeune dip’
Entendu en entretien par Marie d’Haegeleer, DRH CEMA d’International SOS : « Après mes études, je suis parti un an en Australie par mes propres moyens pour améliorer mon anglais, m’exposer à des cultures différentes et mûrir mon projet professionnel. ».
« Cette expérience de vie correspond à un état d’esprit et à des compétences qui correspondent aux valeurs de notre entreprise. En plus de la maîtrise de l’anglais et de la connaissance de la culture anglo-saxonne… », commente la DRH.
La carte du travail d’équipe
Entendu en entretien par Marjane Mabrouk, manager chez Talan : « J’ai passé trois entretiens avec des managers et des consultants de votre entreprise. A chaque fois, j’ai eu envie de travailler avec la personne que j’écoutais. Et quelle que soit l’issue de ce processus d’embauche, les conseils qui m’ont été donnés et la vision de votre métier qui m’a été présentée resteront. »
"C'était l'un des arguments d'une jeune diplômée d’école d’ingénieur ne connaissant pas le métier de consultant. Cette candidate a fait preuve d’une écoute « active » lors des entretiens qui lui a permis de reformuler les conseils prodigués. Elle nous a fait réaliser qu’elle avait une vraie compétence d’écoute et de restitution nécessaire à notre métier », rapporte Marjane Mabrouk.
Le manager qui fédère
Entendu en entretien par Emmanuel de Robillard, DRH d’IDEX* : « En qualité de manager, je responsabilise et fédère mes collaborateurs. »
« Nous recherchons avant tout des managers ayant à cœur de faire évoluer leurs équipes, de susciter l’enthousiasme et l’envie de se dépasser. Ce mode de management permet aux potentiels de se révéler et de fidéliser nos salariés. Cet état d'esprit contribue à la croissance d’une entreprise», explique Emmanuel de Robillard.
Savoir se montrer flexible
Entendu en entretien par Marie d’Haegeleer, DRH CEMA d’International SOS : « Ma capacité d’adaptation et ma flexibilité face au changement comptent parmi mes compétences principales ».
« Dans certaines entreprises où les changements de stratégie et d’organisation sont permanents, la flexibilité ou l'adaptabilité face à des situations changeantes est une qualité cruciale. La capacité d’un candidat à appréhender un changement comme une opportunité atteste d’une agilité intellectuelle, qui devient dans ces cas-là une compétence essentielle », note Marie d’Haegeleer.
Les questions à poser sur l’entreprise
Entendu en entretien par la DRH de Spartoo : « Quels sont vos prochains projets de développement ? Comment peut-on décrire la culture de votre entreprise ? A quoi ressemble une journée type dans le service ? ».
« Ce sont des questions qui montrent que le candidat se projette dans l'entreprise, à son poste futur, et qu’il est capable d’appréhender une situation à terme », commente la DRH de Spartoo.
Apporter sa pierre à l’édifice
Entendu en entretien par Cécile Milard, DRH chez CertiNergy, expert en efficacité énergétique. « Je souhaite participer à la construction et au développement d’une entreprise, grandir avec elle »
« Nous sommes attentifs aux candidats qui revendiquent un côté aventurier, presque entrepreneurial. Créée en 2008, notre société est jeune et dynamique. Nous recherchons donc des gens qui soient force de proposition, qui aient envie de venir apporter leur pierre à l’édifice, quelle que soit la position occupée dans la société », explique Cécile Milard.
La bonne ambiance
Entendu en entretien par la DRH de Mondelēz International : « Bien sûr, je pourrais choisir de continuer mon parcours au sein de mon entreprise mais je souhaite sortir de ma zone de confort et me challenger. En plus, rejoindre un groupe avec de telles marques serait une vraie fierté. Votre groupe me semble plus fou, plus fun ».
« Ce candidat m’a convaincue car son état d’esprit correspond à ce que nous ciblons chez nos jeunes diplômés : le goût des challenges, la recherche d’une fierté d’appartenance et un environnement de travail joyeux et innovant. Bâtir un environnement de travail exceptionnel est l’un des objectifs de notre stratégie d’entreprise », explique-t-on à la DRH de Mondelēz International
1 Ne pas se rendre à l’entretien de licenciement seul
Quand la lettre recommandée arrive, le salarié dispose en général de cinq jours, avant le rendez-vous, pour prendre une décision importante. « Il peut se faire accompagner à l’entretien de licenciement par un délégué du personnel, voire n’importe quel employé de l’entreprise, explique Albert Hamoui, avocat en droit social. S’il n’y a pas de délégué, il peut aussi contacter un conseiller du salarié extérieur à l’entreprise et bénévole. Ce témoin rédigera un compte-rendu de l’entrevue qui pourra servir plus tard. »
2 Prendre un avocat sans (trop) payer
Sans surprise, notre juriste recommande de contacter au plus vite… un avocat. « Je le conseille d’autant plus vivement que c’est souvent presque gratuit. Beaucoup de particuliers disposent, sans le savoir, d’une assistance juridique avec leur carte bancaire ou leur assurance habitation. »
3 Réunir des preuves au plus vite
Un avocat est censé vous dire si, à défaut de sauver votre place, vous pouvez attaquer votre employeur aux prud’hommes. Mais encore faut-il avoir des preuves. « Le Conseil de prud’hommes statuera au vu des preuves concrètes en sa possession, insiste l’avocat blogueur Thomas Roussineau. Dès que le licenciement semble imminent, collectez le maximum d’indices, notamment des échanges de mails que vous ne pourrez pas récupérer ensuite. »
4 Négocier une indemnité transactionnelle
« Outre les indemnités légales, fixées par la loi ou la convention collective, le salarié peut négocier une transaction supplémentaire s’il juge le licenciement abusif ou s’il souhaite réparer un quelconque préjudice, poursuit le juriste. Et l’employeur peut accepter de verser une autre indemnité transactionnelle, soit quelques mois de salaire en plus souvent, plutôt que de prendre le risque de perdre davantage aux prud’hommes. »
5 Faire rédiger des attestations sans tarder
Si un salarié signe une transaction, il s’engage à ne pas porter son licenciement devant la justice. Mais si l’employeur refuse et le salarié souhaite le poursuivre aux prud’hommes, il a intérêt à collecter des attestations au plus vite. « Il s’agit de demander à des collègues ou ex-collègues de témoigner de vos conditions de travail, explique Alina Paragyios, avocate spécialisée en droit du travail. Plus le temps passe, moins les gens sont motivés. Si quelqu’un vous donne son accord, insistez – gentiment – pour avoir le papier dans la semaine… »
6 Saisir rapidement le Conseil de prud’hommes
Pour contester le licenciement, il faudra aussi saisir le Conseil de prud’hommes au plus vite. « Il y a une prescription de trois ans, mais mieux vaut attaquer au plus vite pour être crédible, poursuit-elle. C’est souvent long, mais si le motif du licenciement est invalidé, la loi prévoit, dans les entreprises de plus de onze salariés, le versement d’une indemnité minimale égale à six mois de salaire brut au salarié lorsqu’il compte plus de deux ans d’ancienneté. »
7 Occupez-vous de vous !
Reste à gérer la transition. « Si la personne licenciée va aux prud’hommes, elle doit impérativement se recentrer sur elle-même et faire le point sur ses envies, recommande Marianne Perrette, coach chez Coaching2vie. Alors que la procédure suit son cours, il faut parvenir à s’en détacher. Si vous pensez que c’est l’affaire de votre vie, il n’en est pas de même pour votre ex-employeur ni pour votre avocat. Il faut trouver le même détachement pour rebondir. Cesser d’être victime pour redevenir acteur de son destin. »
8 Rester ouvert à une issue amiable
Alina Paragyios confirme. D’autant plus que le salarié n’est pas à l’abri de quelques surprises. « Parfois les plaignants s’accrochent à l’idée d’une réparation devant la justice alors que l’ex-employeur accepte parfois tardivement, finalement, de négocier. J’ai déjà vu des protocoles transactionnels signés la veille d’une audience aux prud’hommes. Les plaignants sont parfois frustrés alors que ces victoires me semblent bien plus fortes dans la mesure où l’autre partie reconnaît ses torts d’elle-même. »
9 Utilisez votre DIF
Votre ancien employeur peut vous aider, malgré lui, à tourner la page. « Le futur licencié a intérêt à regarder s’il a des heures de DIF non utilisées, conseille Hélène Picot, auteure du guide Trouvez votre voie et rebondissez ! . Elles peuvent s’élever à 120 heures maximum, ce qui représente en général une enveloppe entre 800 et 1 500 euros qui peut financer un outplacement pour faciliter sa transition. Il faut juste penser à le demander pendant le préavis. »
10 Se dire aussi que c’est… une chance
Cette coach invite ses clients à rêver d’une nouvelle vie. « On a la chance, en France, d’être bien protégé, observe-t-elle. Dès lors il ne faut pas se laisser gagner par le stress et se poser les bonnes questions, c’est-à-dire non pas quand je vais retravailler mais qu’est-ce que je veux vraiment faire. Même si un licenciement est douloureux, il faut aussi se dire que, dans certains cas, c’est peut-être une chance. »
Licenciement : quels sont les recours des salariés ?
Quelles sont les possibilités de contester son licenciement ?
Selon les circonstances, plusieurs possibilités vous sont offertes pour contester votre licenciement.
vous avez fait l'objet d'un licenciement pour mésentente ou incompatibilité d'humeur : ce n'est pas une cause en soi de licenciement. Il faut que la cause du licenciement repose sur des éléments objectifs qui vous sont directement imputables et que cette attitude ait une incidence sur bon fonctionnement de l'entreprise (1). Dans le cas contraire, le licenciement sera jugé comme étant sans cause réelle et sérieuse ;
Vous avez été licencié en raison d'une faute que vous avez commise et qui a été constatée par une vidéo surveillance dans l'établissement. Dans le cas ou vous n'aviez pas été préalablement prévenu de la surveillance vidéo (2), vous pourrez faire annuler votre licenciement devant le juge ;
votre employeur vous licencie pour des faits fautifs dont il a connaissance depuis plus de 2 mois. Le délai pour mettre en oeuvre la procédure disciplinaire étant écoulé, les faits sont prescrits et ne peuvent donner lieu à une sanction comme un licenciement (3).
Depuis le 24 septembre 2017, si le juge qualifie votre licenciement comme étant sans cause réelle et sérieuse, le montant de l'indemnité reversé par l'employeur doit être compris entre un seuil minimal et un seuil maximal variable en fonction de votre ancienneté et de l'effectif de l'entreprise (4).
Par exemple : si vous avez travaillé 4 ans dans l'établissement comprenant 20 salariés, l'indemnité qui vous sera reversée pour le préjudice subi du fait de ce licenciement injustifié variera entre 3 et 5 mois de salaire brut.
Néanmoins, le montant de l'indemnité prud'homale peut être supérieur à ces barèmes si le licenciement est nul parce que vous avez été victime d'une discrimination ou parce que vous avez dénoncé un crime ou un délit par exemple (5).
L'employeur peut également être condamné à rembourser les indemnités chômage qui vous ont été reversées par Pôle emploi après votre licenciement (6).
Qu'est ce que le Bitcoin ?
Le Bitcoin est une monnaie dite numérique, s'opposant donc à la classique monnaie physique qu'on trouve sous forme de billets ou de pièces. Si les transactions numériques existent depuis longtemps avec les cartes bancaires ou encore les virements, le bitcoin apporte une nouveauté inédite qui fait sa force : il est décentralisé.
L'intérêt pour l'utilisateur, c'est qu'il peut se passer des banques et autres organismes financiers. Les transactions s'effectuent directement entre lui et un autre usager, peu importe son emplacement dans le monde. Plutôt pratique, non ? Le bitcoin est un moyen de paiement comme un autre, accepté par de plus en plus de plateformes dans le monde.
Cette crypto-monnaie fonctionne - et elle est créée - à l'aide de logiciels et de protocoles. Tous sont libres, leur code étant ouvert à la communauté. Pour fonctionner, le bitcoin nécessite la mise en place d'une blockchain ou « chaine de blocs » en français. Kesako ? Voyez ça comme un registre qui référence toutes les transactions. Sauf qu'ici, ce registre est découpé en blocs et qu'il est bien entendu dématérialisé. Les blocs sont ensuite liés entre eux, faisant grandir cette immense base de données.
•La naissance du bitcoin
Le bitcoin - première monnaie décentralisée - a été créé entre 2009 et 2010, post-crise financière de 2008, par Satoshi Nakamoto. Qui ? Personne ne le sait ! Satoshi Nakamoto est le pseudonyme de son ou ses créateurs. L’objectif ? S’affranchir des institutions et se protéger contre la dévaluation de sa monnaie. •Monnaie officielle versus monnaie dématérialisée
Alors que les devises nationales –comme l’euro, le dollar, ou encore le Yuan (Chine) – sont gérées par les Etats et banques centrales, le bitcoin est une unité monétaire entièrement virtuelle à échanger sur Internet entre particuliers, et donc totalement indépendante des autorités. Mais l'absence d'intermédiaire ne signifie pas absence de régulation. Les milliers d’ordinateurs qui constituent ce système décentralisé, enregistrent les échanges de bitcoins à travers le monde. Toutes les transactions sont publiques et anonymes. •Comment obtenir des Bitcoin ?
Il existe plusieurs façons de se procurer ces unités virtuelles. Par exemple, en échangeant son argent contre des bitcoins sur une plateforme spécialisée. Début 2013, un bitcoin valait environ 10 euros. Aujourd’hui, il a dépassé la barre de 15 000 dollars américains.
Etre payé en bitcoins plutôt qu’en devise ? C’est possible, même si cela reste encore peu développé. En septembre 2017, un promoteur immobilier à Dubaï (Emirats arabes unis) a proposé à la vente des appartements de luxe uniquement payables en bitcoin. « Du jamais vu », comme l’a rappelé BFM Business.
Après Vancouver (Canada), Helsinki (Finlande) ou Bratislava (Slovaquie), la maison du Bitcoin de Paris a ouvert ses portes dans la capitale française en mai 2014, équipée de distributeurs de bitcoins.
Bitcoin est l’aboutissement de plusieurs décennies d’expérimentations techniques et de réfexions philosophiques et économiques, bien avant la crise de 2008.
Qu’est-ce qu’une cryptomonnaie, un token, un actif numérique ?
Les blockchains publiques telles qu’Ethereum ou Bitcoin fonctionnent avec une cryptomonnaie (l’ether et le bitcoin, respectivement). Générés par le protocole en rémunération de l’entretien du réseau, ils permettent son fonctionnement et sont des réserves de valeur. Mais d’autres avatars de ce que l’on pourrait appeler l’actif blockchain existent également : appelés couramment tokens ou jetons, ils sont le plus souvent liés à un projet en particulier. Depuis quelques mois, la valeur de ces actifs a fortement augmenté : la valeur totale des actifs blockchain échangés sur les marchés a progressé de plus de 500 % depuis le début de l’année 2017, passant de 18 milliards de dollars à plus de 90 milliards à date de rédaction de cet article. L’occasion de faire un panorama de ces actifs d’un nouveau genre et de répondre aux nombreuses questions posées par les lecteurs : qu’est-ce qu’une cryptomonnaie ou un token ? quelles sont leurs caractéristiques et leur utilité qui font, potentiellement, leur valeur ? comment s’en servir ? quels sont les risques ?
Cryptomonnaie, token : une nouvelle catégorie d’actifs
Des actifs numériques nés de la technologie dite « blockchain »
L’ether, le bitcoin et leurs dérivés sont le cas d’usage par excellence de la technologie blockchain ; c’est à dire la création d’actifs numériques. Ces actifs numériques sont des inscriptions numériques ayant des caractéristiques proches d’un actif physique. L’inscription sur une blockchain est unique, comme un objet réel. Elle est associée à une identité, un compte, et la personne qui détient ce compte peut le transférer, le détruire, le prêter, s’en servir comme une garantie… selon son bon vouloir. La technologie permets de donner un caractère quasi-tangible à des actifs purement numériques.
La blockchain permet à ces actifs numériques d’exister, car elle résoud l’un des problèmes fondamentaux de la création d’une valeur numérique : la duplication. Un contenu numérique est reproductible facilement ; l’industrie musicale l’a appris à ses dépens. Or, ce qui est reproductible facilement n’a pas de valeur. Mais là où les artistes ont inventé le tirage numéroté pour rendre de la valeur à une image facilement reproductible ; les créateurs-trices du bitcoin ont inventé un mécanisme de numérotation électronique : la blockchain. Les protocoles utilisés par cette technologie (appelés « protocoles de consensus« ) permettent en effet d’assurer :
qu’une inscription numérique reste unique (elle ne peut pas être dépensée deux fois – double spend)
que le support sur lequel elle est inscrite (la fameuse chaîne de blocs) ne puisse pas être altéré – ou du moins que cette altération soit visible et son coût fortement dissuasif.
En pratique, si vous possédez un ether – c’est à dire si vous êtes le détenteur d’une clé privée à laquelle est associée un solde d’un ether – vous pouvez par l’envoi de transactions à la blockchain Ethereum le déplacer, le donner, le vendre ; mais vous ne pouvez pas le dupliquer, c’est à dire le dépenser deux fois : si vous envoyez deux transactions d’envoi portant sur le même ether, seule la première transactions insérée dans un bloc sera traitée, l’autre sera considérée par les participants comme invalide (car portant sur un ether déjà transféré) et rejetée par le réseau.
Qu'est-ce qu'un Fab Lab ? un concept made in Boston, Massachussetts
Le concept de FabLab est né à la fin des années 90 à l’université américaine du MIT (Massachusetts Institute of Technology), sous la forme d’un cours intitulé How to make (almost) everything, sous l’impulsion du professeur Neil Gershenfeld. L’objectif principal du cours était de démocratiser les processus de conception, de prototypage et de fabrication d’objets.
Pour ce cours, Gershenfeld s’est doté d’un ensemble de machines industrielles dernier-cri (numériques ou non) afin que les étudiants puissent créer leur propres objets, de l’idée initiale jusqu’à la réalisation physique. L’un des objectifs de cette expérimentation était de donner un accès public à cet équipement afin d’observer l’utilisation qui en serait faite au quotidien sans réelles contraintes académiques. C’est face à l’engouement des étudiants pour ce cours que Gershenfeld décide d’ouvrir le premier FabLab au sein-même du MIT, avec pour idée de « créer plutôt que consommer ». Rapidement, il décide d’exporter ce projet en dehors des murs de l’université, puis en dehors des frontières américaines.
Un réseau d’envergure international
Aujourd’hui, quand on veut répondre à la question « Qu’est-ce que Fablab ? », on doit avant tout parler d’international. les FabLabs – ou ateliers de fabrication numérique – sont présents partout et forment un réseau dont les membres doivent respecter certains codes.
Selon Les Cahiers de l’Innovation, pour porter l’appellation officielle FabLab, l’atelier doit nécessairement:
- être ouvert au public gratuitement ou en échange de services bénévoles (formation, animation, entretien, etc.)
- déclarer adhérer et souscrire à la Charte des FabLabs
- - participer activement au réseau international des FabLabs, et non pas agir en vase clos, en échangeant et partageant des connaissances, l’état d’avancement des recherches, des designs, des plans, des codes, des logiciels, etc.
partager avec le reste du réseau un ensemble d’outils, de matériaux et de processus communs pour faciliter les échanges, l’entraide et la collaboration.
C’est notamment le cas du « FacLab », lieu ouvert à tous au sein de l’Université de Cergy-Pontoise, sur le site de Gennevilliers, qui met à disposition d’utilisateurs de toutes catégories les machines, l’infrastructure, et le soutien nécessaire à la réalisation de projets de toutes natures, qu’ils soient liés à la conception/fabrication d’un objet, à l’appropriation des nouvelles technologies, ou qu’ils s’inscrivent plus humblement dans une démarche d’apprentissage et de partage.
Qu’est-ce qu’un Fablab : les FabLabs en pratique
Comment sont équipés les ateliers ? Un FabLab type regroupe un ensemble de machines de niveau professionnel, mais largement diffusées et peu coûteuses. Voici quelques exemples des machines numériques qu’on retrouve généralement dans les ateliers :
découpeuses laser ou fraiseuses à commande numérique, capables de produire des éléments pouvant être assemblées en 2D et 3D,
fraiseuses de précision, pour fabriquer des circuits imprimés ou des moules,
imprimantes 3D permettant de réaliser n’importe quel objet en plastique,
etc…
L'inbound marketing ou « marketing entrant » c'est l'idée de faire venir à soi le client plutôt que d'aller le chercher. Il y a deux objectifs principaux pour lesquels on utilise l'inbound marketing : la génération de trafic dans un premier temps et la conversion de ce trafic dans un second temps. Mais alors qu'est-ce que l'inbound marketing ?
L'inbound marketing est une stratégie permettant aux entreprises d'être leur propre média. Le principe est d'attirer des prospects via du contenu intelligent et pertinent plutôt que de les solliciter via de la publicité.
Création de contenu + Distribution :
Créez un contenu ciblé répondant aux questions fondamentales et aux besoins de vos clients, puis partagez très largement ce contenu.
Cycle de vie marketing :
Les promoteurs ne se matérialisent pas comme par magie : au début, ce sont des inconnus, des visiteurs, des contacts ou des clients. Les actions et les outils de l'inbound marketing vous aident à transformer ces inconnus en promoteurs.
Personnalisation :
Adaptez votre contenu aux besoins de vos clients potentiels. Au fur et à mesure que vous en apprenez davantage sur vos meilleurs prospects, vous pourrez mieux personnaliser vos messages selon les besoins ciblés.
Multicanal :
L’inbound marketing est multicanal par nature car il permet de toucher les gens à l’endroit où ils se trouvent, par l’intermédiaire du canal qu’ils préfèrent pour interagir avec vous.
Démarche intégrée :
La création de contenu, la publication et les outils analytiques travaillent tous ensemble comme une machine bien huilée. Ils vous permettent de vous concentrer sur la publication du bon contenu au bon endroit et au bon moment.
Nous ne cherchons pas simplement à attirer des visiteurs sur votre site web, mais plutôt à attirer la bonne catégorie de visiteurs, celle qui est précieuse pour votre entreprise. Depuis trop longtemps, l'accent a été mis sur le volume du trafic au lieu de la qualité des visiteurs. Les consommateurs utilisant constamment internet pour faire des recherches, la majorité des structures sont visibles sur le web, y compris vos concurrents. Vous avez besoin de vous démarquer.
Convertissez ces visiteurs en leads hautement qualifiés
Une fois que vous aurez orienté des visiteurs plus qualifiés vers votre site internet, vous voudrez convertir ces visiteurs en prospects en recueillant leurs coordonnées. Pour ce faire, vous devez proposer quelque chose de réellement intéressant en échange. En vous basant sur la personnalité de votre acheteur, l'élaboration d'offres pertinentes téléchargeables sous forme d'e-book, de livres blancs, de vidéos ou de checklists est la première étape pour optimiser votre site web dans le but de générer des leads.
Transformez vos contacts en clients
Maintenant que vous générez un trafic et des prospects plus qualifiés vers votre site web, l'accent est désormais mis sur l'entretien des relations avec ces prospects grâce à un contenu pertinent, adapté au contexte et envoyé au bon moment afin qu'ils se transforment en clients. Par la mise en oeuvre d'une stratégie de marketing relationnel, vous parviendrez à écourter le processus de vente en vous appuyant sur le niveau de qualification et d'éducation que vous avez apporté jusqu'à maintenant à vos prospects.
Faites de vos clients des ambassadeurs de votre marque
L'inbound marketing se focalise sur la création de contenu d'exception à destination de vos visiteurs, vos prospects et même vos clients actuels. Une fois qu'un prospect devient client, le processus de fidélisation à la marque n'est qu'à son début. Poursuivre cette expérience positive avec du monitoring social, la diffusion de contenus exclusifs et une assistance supplémentaire, contribue à créer des clients fidèles à la marque qui, à leur tour, recommanderont votre entreprise.
Les fondamentaux à respecter pour réussir une stratégie inbound marketing :
Les technologies de l'E-commerce :
Les achats en ligne ont explosé en 2017. Selon le bilan annuel du e-commerce en France, réalisé par la Fevad, la consommation des internautes a augmenté de 14 % en un an. Mais surtout, les modes d’achat ont changé tout comme les conditions générales de vente. Zoom sur les tendances sur lesquelles les entreprises et les entrepreneurs devront se concentrer pour rester compétitifs en 2018. L’achat via smartphone devient la norme
Bien que l’ordinateur reste le premier équipement digital des Français avec 96 % de taux d’équipement des foyers, les internautes préfèrent acheter sur mobile. En 2017, 61 % des détenteurs de smartphone ont commandé au moins une fois sur le net. Sans surprise, ce sont les millennials de 25-30 ans qui sont les plus convaincus : 47 % d’entre eux y ont recours. Mais le portable n’a pas pour unique but de régler ses achats : il permet aussi, pour 57 % des mobilenautes, de se renseigner sur un produit ou encore, pour la moitié d’entre eux de localiser une enseigne.
Il est donc essentiel, pour toute entreprise et quelle que soit sa taille, de posséder une interface web compatible avec l’achat mobile. Sans cela, elle perd en visibilité et donc en compétitivité sur le marché. L’achat par commande vocale
Selon Google UK, en 2016, 42 % des utilisateurs de smartphone avaient recours à la recherche vocale quotidiennement. Une tendance qui se confirme en 2017. En France, 47 % des internautes l’ont déjà utilisée pour faire des recherches sur des produits ou des services vendus sur internet, ou bien pour directement réaliser leurs achats. Là encore, les plus jeunes sont séduits : 57 % des 18-24 ans y ont déjà eu recours.
Cette évolution va de pair avec le développement des objets connectés tels que Google Home ou Alexa d’Amazon, qui communiquent avec leur propriétaire par voie orale. Un quart des sondés seraient d’ailleurs intéressés pour acquérir ces gadgets. L’entreprise américaine d’analyse publicitaire ComScore l’affirme : en 2020, la moitié des recherches effectuées par les internautes seront vocales. Ce service émerge donc avec une rapidité folle : une prévision qu’il faut désormais prendre en compte dans sa stratégie d’entreprise. L’e-réservation mixe les usages
En 2017, les clients aiment mixer les canaux via lesquels ils achètent, ce qui explique le succès notable du « click and collect », qui permet de réserver des articles via internet et d’aller les chercher en boutique. 38 % des e-acheteurs l’ont déjà utilisé. Et 2018 continue sur cette lancée en proposant l’e-réservation : une commande effectuée sur le net est livrée en magasin avec la possibilité de payer sur place. 24 % des internautes y ont eu recours l’an dernier et 29 % envisagent de l’utiliser cette année. Une prévision plus importante que pour tous les autres modes de livraison. La messagerie instantanée comme service client
De plus en plus d’entreprises ont recours à la messagerie instantanée pour gérer leur service client. Elle apparaît le plus souvent via une fenêtre de discussion sur le site marchand, invite à la discussion et répond aux interrogations des clients. En 2017, 38 % des entreprises y avaient recours et dialoguaient avec les millennials (49 % des 25-34 ans et 47 % des 18-24 ans). En face, les mails et le téléphone utilisés encore à 66 % et 44 %, font pâle figure et reculent de 6 et 4 points, pour une disparition prochaine ?
CES 2018 : top 10 des meilleurs produits du salon de Las Vegas
Vivo et le capteur d’empreintes sous l’écran
C’était une technologie attendue sur les haut de gamme de 2017. Le lecteur d’empreintes sous l’écran a été la grande interrogation l’année dernière. Il aura fallu attendre le CES 2018 pour découvrir concrètement cette technologie. Si Apple et Samsung étaient pressentis pour dévoiler le premier smartphone du genre, c’est le chinois Vivo qui a créé la surprise au salon de Las Vegas. Pendant plus d’un an, le constructeur a travaillé main dans la main avec Synaptics pour proposer le premier smartphone équipé d’un lecteur d’empreintes sous l’écran.
S’il s’agit d’une vraie prouesse en termes d’ingénierie, la technologie n’est pas encore aussi efficace que ce que nous connaissons déjà. Quelques tests ont démontré que le lecteur d’empreintes sous l’écran était bien plus long à déverrouiller le smartphone qu’un système déjà démocratisé (lecteur au dos ou reconnaissance faciale). Toutefois, il ne fait aucun doute que tout ceci va s’améliorer et que les modèles haut de gamme de 2018 en seront équipés.
Google Smart Display : Google Home avec un écran
Le CES édition 2018 a été l’occasion pour les marques de sortir leur attirail pour la maison connectée de demain. Nous avons découvert des technologies qui ne verront pas le jour avant des années, mais certains produits seront disponibles dès cette année. C’est le cas des appareils qualifiés de Google Smart Display. Il s’agit en fait de Google Home avec un écran. Lenovo, JBL ou encore LG on lancé des produits intégrant la plateforme Google Smart Display.
B&O Beosound Shape : les enceintes murales modulaires
Bang & Olufsen fait partie des marques haut de gamme pour le matériel audio. Au salon de Las Vegas, elle s’est faite particulièrement remarquée avec ses enceintes Beosound Shape. B&O a souhaité jouer la carte de l’audio bien sûr mais également de la décoration et du design. Les enceintes Beosound Shape sont des enceintes murales modulaires. Elles ont une forme octogonale très design et peuvent être collées les unes aux autres pour créer des formes géométriques très élégantes.
InstruMMents 01 : le stylo magique
InstruMMents 01 est un stylo magique qui va faire le bonheur des designers, concepteurs et artistes. Ce petit concentré de technologie repose sur un principe simple : il suffit de le faire glisse tout autour d’un objet pour que celui-ci soit reproduit dans une application dédiée. Il fonctionne également sur des dessins. C’est une sorte de papier calque capable de reproduire des objets en 3D. Il peut également prendre des mesures pour les architectes par exemple. Plusieurs embouts sont disponibles pour les différents usages. Tout ceci dans la taille d’un stylo.
LG Signature OLED TV W8 : la TV la plus fine du monde
Le CES c’est LE salon où les marques dévoilent les TV du futur. Cette année, LG s’est fait remarqué en recouvrant les murs du salon d’écrans. Mais le constructeur coréen ne s’est pas contenté de cela. Il a également exposé des téléviseurs hallucinants comme la LG Signature OLED W8. Il s’agit d’une TV-poster comme la marque en avait présenté en 2017. Cette fois, elle fait encore plus fort.
LG Rollable TV : la TV qui s’enroule
Même marque, autre TV. LG était décidément dans les starting blocks et a démontré tout son savoir-faire en présentant une TV OLED qui s’enroule. Rien de moins. Un premier prototype avait déjà été présenté en 2015, mais il était tout petit. En 2018, le coréen a levé le voile sur une version finie de 65 pouces avec définition 4K.
Uber et son taxi volant : Retour vers le Futur
Il s’agit plus d’une vision du futur que d’un véritable produit. Mais c’est aussi à ça que sert le CES, à rêver du monde de demain. Et le monde demain, Uber le voit sous un ciel chargé de taxi à son effigie. Le géant du transport de personnes a présenté son taxi volant conçu par Bell Helicopter.
« Le vent n’est jamais favorable aux bateaux qui n’ont pas de port »… Imaginez que vous soyez un explorateur, en partance pour la jungle ! Il ne viendrait pas à l’idée d’un explorateur sérieux de décider d’une expédition dans la jungle, sans avoir fait des plans précis sur la manière dont il doit s’organiser ! Il lui faut, en fonction de ses objectifs, décider d’un itinéraire, calculer et préparer les vivres et les matériels dont il aura besoin, s’entourer d’une équipe, prévoir les financements, etc., c’est-à-dire mettre au point une stratégie pour son expédition.
Dans le monde des affaires, la jungle, c’est le marché. Et de la , un « explorateur de marché » sérieux ne doit pas s’engager sans avoir une stratégie, mais dans ce cas une stratégie d’entreprise.
Bien définir les points clefs
Une stratégie est la résultante d’un certain nombre d’éléments dont trois sont déterminants : 1. Les objectifs :
Il faut savoir dans quelle direction je désire aller. Souvenez-vous que le vent n’est jamais favorable à un bateau sans port.
Rappelons, tout d’abord, quels sont les critères fondamentaux de tout objectif.
Un objectif doit être :
1Réaliste, c’est-à-dire raisonnable et atteignable, mais pas trop facilement. En effet, un objectif trop ambitieux, trop élevé peut conduire à une démotivation. Mais, par ailleurs, il ne doit pas être trop facile pour maintenir une forte mobilisation. 2Pour apprécier la faisabilité d’un objectif, l’analyse de votre environnement est importante. Il est, en effet, plus facile de se développer de 20 % sur un marché qui augmente d’autant que d’être stable sur un marché en baisse ! 3Spécifique : un objectif ne doit pas être général, mais porter sur un point précis : par vendeur, par produit, par activité, etc. 4Mesurable : pour savoir s’il est atteint, un objectif doit être mesurable. C’est la différence entre la situation de départ et la situation d’arrivée qui vous l’indiquera. Pour le vérifier, il faut donc être à même de chiffrer pour des objectifs (augmenter les ventes de 100 unités, par exemple), ou d’observer de façon objective (ex : les réclamations clients doivent être traitées sous 48 heures). 5Défini dans le temps : un objectif n’est pas fixé pour une période indéfinie mais avec un terme précis : mensuel, trimestriel, annuel et une date d’échéance ferme. 6Vérifiable : les moyens de contrôle doivent exister, être connus et acceptés comme étant fiables, objectifs et équitables. 7Responsabilisant : c’est l’engagement, pour tous, à atteindre un résultat. Cela doit donner envie de se motiver et de mobiliser. 8Gratifiant : la réalisation de l’objectif doit entraîner un mieux, moral ou… autre : la récompense après l’effort, en somme.
2. Les moyens :
Ils vont déterminer les actions et l’organisation que je veux et/ou peux mettre en place.
Par moyens, il faut entendre l’ensemble des ressources dont doit se doter l’entreprise pour atteindre les objectifs définis. Il faut donc en faire l’inventaire et évaluer les besoins.
Par exemple, et en fonction des spécificités de votre entreprise, sur les plans : financier, production, fournisseurs, logistique, recherche et développement, marketing , produits, prix , communication, et, surtout ne pas oublier les moyens humains tant quantitatifs que qualitatifs (fonction, compétence, formation, etc. )
3. La volonté :
La volonté forte d’aboutir, car la vie d’une entreprise est semée d’embûches.
4. L’environnement :
Cette stratégie, aussi bien pensée soit-elle, n’est jamais figée. Une entreprise vit dans un environnement qui va faire pression sur elle. Il faudra donc tenir compte des contraintes, mais aussi des opportunités engendrées par cet environnement et s’adapter pour faire face ou en profiter.
Un document formalisé
Votre stratégie doit être écrite. De façon concise.
L’idée n’est pas de faire de la littérature, mais de résumer les grands axes de la politique de l’entreprise.
La formalisation répond à deux besoins. Le premier est de vous aider à clarifier vos idées et à synthétiser par écrit les éléments clefs sur lesquels vous avez décidé de créer et de faire progresser votre entreprise. Ce document vous servira de référence, car toute action devra être en phase avec votre stratégie.
Ensuite, il vous servira pour expliquer, faire comprendre et faire admettre les décisions que vous prenez, car il s’agira, dès lors, d’un document de référence.
Le plan d’actions
Sur la base de votre réflexion, vous allez désormais établir un plan d’actions détaillé que vous allez mettre en oeuvre pour atteindre les buts définis dans votre stratégie commerciale.
La phase suivante consiste à décrire, concrètement, les différentes étapes par lesquelles il faut passer et les différents moyens à mettre en œuvre, pour atteindre les objectifs définis.
Ces étapes sont détaillées et planifiées en terme : 1d’actions ; 2de coûts ; 3de timing ; 4de moyens humains.
Ces plans d’actions doivent s’inscrire dans la logique de la stratégie commerciale de votre entreprise et être cohérents avec les objectifs visés. Les actions sont hiérarchisées en fonction des nécessités. Selon le cas, leur mise en œuvre peut être simultanée ou successive. Chaque action doit être validée avant de passer à la suivante.
Les principaux plans d’actions porteront sur : 1Les opérations terrain : les actions de prospection, le suivi des devis, le suivi de la clientèle existante et sa fidélisation. Ne soyez pas trop ambitieux, procédez plutôt par étapes successives. 2Les outils de vente : les documents publicitaires et techniques, les argumentaires de vente ou pour un commerçant l’agencement de son lieu de vente ou de sa vitrine. 3La gestion de l’information commerciale : l’organisation en interne, les outils et procédures permettant de suivre et d’assurer la bonne communication et la bonne utilisation des informations, la gestion des différents fichiers. Même dans une petite structure, les questions de communication sont des aspects sensibles. 4La politique et les actions marketing : le marché, les produits, les prix, l’image et la notoriété. Et cela n’a rien à voir avec la taille de l’entreprise. 5La communication : les axes et les actions de communication à développer pour soutenir les efforts de vente, la publicité et ses différentes formes. Et ce, quel que soit le budget. 6La gestion de l’équipe de vente (si vous en possédez une) : la mise en place d’un système de management commercial par objectifs, la mise en place d’un système de reporting des vendeurs et de contrôle et d’analyse des résultats.
Bonus : 4 erreurs а йviter dans sa stratйgie marketing
Йlaborer sa stratйgie marketing est une йtape cruciale а ne pas nйgliger. Elle conditionnera en partie l’atteinte de vos objectifs d’affaires. Voici quelques erreurs а ne pas commettre.
1- Ne pas dйfinir clairement ses buts et ses objectifs. Souvent on lance notre stratйgie avec des buts, mais sans fixer des objectifs clairs. Pourtant, si l’on souhaite voir ses projets se rйaliser, il faut avoir les deux.
Quelle est la diffйrence entre un but et un objectif ?
Vos buts sont des dйclarations que vous faites sur l’avenir pour votre entreprise. Vous pourriez dire : « Nous cherchons а кtre le dйtaillant le plus connu dans notre marchй. » Cette dйclaration dйmontre que vous avez des ambitions йlevйes pour votre entreprise, mais elle ne dit pas prйcisйment comment vous allez vous y prendre pour y arriver?
Vos objectifs sont les йtapes exactes que vous devez prendre pour atteindre vos buts. Vos objectifs peuvent кtre dйfinis en utilisant la mйthode S.M.A.R.T. : Spйcifique, Mesurable, Atteignable, Rйaliste et Temporel. Par exemple, dans l’exemple prйcйdemment citй, un objectif pourrait кtre : « Nous allons croоtre notre communautй Facebook par 10 nouveaux membres par semaine d’ici la fin du 1er trimestre. »
А noter que vous devriez avoir des objectifs S.M.A.R.T. pour chacun de vos canaux de communication et marketing. Des objectifs clairs vous permettront de dйterminer les actions а prendre pour atteindre votre but.
2- Ne pas analyser ni dйfinir votre marchй cible. Vous devriez intйgrer а votre stratйgie marketing l’analyse de vos clients actuels et potentiels. Ainsi, vous saurez clairement qui sont les clients que vous ciblez et, en ayant analysй leurs attentes, vous pourrez les approcher de la maniиre la plus appropriйe. Prendre le temps de bien comprendre votre client vous aidera а crйer des messages et des promotions qui interpellent vos prospects et clients actuels. Pour savoir qui cibler, vous pouvez dйjа analyser quel est le profil de vos meilleurs clients, disons les 20% qui contribuent le plus а votre CA?
3- Mal gйrer son budget. Il est nйcessaire, voire crucial, de bien gйrer votre budget de marketing et de publicitй. Vous pouvez vous fixer un budget mensuel, trimestriel ou annuel et investir ensuite dans diffйrentes promotions. Octroyez vos investissements marketing en fonction de vos objectifs S.M.A.R.T. pour chacun de vos canaux de communication. Fixez-vous un budget raisonnable pour tester plusieurs actions et analysez celles qui fonctionnent le mieux. Vous pourrez par la suite continuer avec celles que vous estimerez кtre les plus rentables.
4- Confondre les investissements marketing а court terme avec ceux а long terme. Dans votre mix marketing, vous devez investir dans des activitйs qui gйnиreront des effets sur les ventes. Celles-ci sont faciles а justifier. Toutefois, investir dans des actions marketing qui offrent des rйsultats а moyen et long termes est tout aussi important, mais parfois moins йvident а accepter pour ceux qui tiennent les cordons de la bourse. C’est le cas des ressources consenties pour travailler sur votre positionnement, revisiter votre image de marque, procйder а la refonte d’un site internet ou toute autre action visant а bвtir votre notoriйtй.
La perception de risque qui vous retient d’investir dans vos activitйs marketing diminue dramatiquement lorsque vous avez des objectifs clairs. Alors, vous commencez а capitaliser sur chacune des expйriences que vous faites, pour apprendre а toujours mieux interagir avec vos clients.