En 1947, étudiant les mathématiques à l'université de Princeton, John Forbes Nash Jr., un brillant élève, élabore sa théorie économique des jeux. Pour lui, les fluctuations des marchés financiers peuvent être calculées très précisément. Au début des années 50, ses travaux et son enseignement au Massachusetts Institute of Technology ne passent pas inaperçus et un représentant du département de la Défense, William Parcher, se présente à lui pour lui proposer d'aider secrètement les États-Unis.
A beautiful mind
J'ai adoré ce film pour ce qu'il montre, que la beauté d'un esprit va au delà de son intelligence, que le courage et la conscience permettent de gravir des montagnes, que l'impossible devient alors possible
En 1947, étudiant les mathématiques à l'université de Princeton, John Forbes Nash Jr., un brillant élève, élabore sa théorie économique des jeux. Pour lui, les fluctuations des marchés financiers peuvent être calculées très précisément. Au début des années 50, ses travaux et son enseignement au Massachusetts Institute of Technology ne passent pas inaperçus et un représentant du département de la Défense, William Parcher, se présente à lui pour lui proposer d'aider secrètement les États-Unis.
En 1947, étudiant les mathématiques à l'université de Princeton, John Forbes Nash Jr., un brillant élève, élabore sa théorie économique des jeux. Pour lui, les fluctuations des marchés financiers peuvent être calculées très précisément. Au début des années 50, ses travaux et son enseignement au Massachusetts Institute of Technology ne passent pas inaperçus et un représentant du département de la Défense, William Parcher, se présente à lui pour lui proposer d'aider secrètement les États-Unis.
Comment détecter le churn et y remédier ?
Comment détecter le churn et y remédier ?
Les entreprises doivent trouver des solutions pour lutter contre la perte de clients ou d'utilisateurs. Toute la difficulté réside dans la capacité à comprendre ce qui incite le client à renoncer aux services d'une marque. Le guide Digital Marketing 2018 de l'EBG répond à cette problématique.
Le churn ou taux d'attrition correspond pour une entreprise à la proportion de clients perdus au cours d'une période. Par exemple, dans le secteur des télécommunications, il peut faire référence aux clients qui changent d'opérateur. Ainsi, le churn peut désigner la résiliation d'un forfait ou plus généralement d'un contrat qui lie le client et l'entreprise.
Le churn volontaire est souvent le résultat d'une insatisfaction sur l'offre ou la qualité des services, il faut alors détecter au plus tôt ces motifs d'insatisfaction afin d'y apporter une réponse appropriée, et au plus vite. Mais encore faut-il être prudent, car les actions commerciales anti-churn peuvent parfois être mal perçues par le consommateur qui s'étonnera par exemple d'une offre promotionnelle attractive qui interviendrait un peu trop tardivement. Le recours à une Data Management Platform (DMP) permet ainsi de détecter très tôt des signaux faibles laissant penser à une attrition possible du client. Une fois le profil détecté, il faudra encore le scorer - toujours grâce à la DMP - afin d'engager la démarche la mieux adaptée pour retenir le consommateur.
Tenir un discours adapté pour retenir les clients
Parmi les secteurs d'activité les plus impactés par le churn, le marché de la téléphonie et le milieu bancaire passent pour des évidences. En effet, particulièrement concurrentiels, en mutation constante, ces deux secteurs sont confrontés à une problématique majeure de rétention de leurs clients.
Pour une société de télécommunication, l'enjeu consiste à adopter une logique cross-canal pour lutter contre le churn. Utiliser une DMP dans une logique d'optimisation des achats média est connu ; y recourir pour la stratégie de rétention tend à l'être davantage. Pour s'adresser au client de manière ciblée, en vue de contrer ses motifs d'insatisfaction ou d'infidélité éventuels, le recours à la data est indispensable.
Il s'agit donc de définir un cahier des charges précis, tout en prenant en considération que les sources de données peuvent être nombreuses et protéiformes. Enfin, le scoring, géré par le CRM, est indispensable afin d'être assuré d'actionner le bon levier, au bon moment.
http://www.e-marketing.fr/Thematique/data-1091/Breves/Comment-detecter-churn-remedier-331283.htm#pORUiW3BWbYFcP6O.97
Les entreprises doivent trouver des solutions pour lutter contre la perte de clients ou d'utilisateurs. Toute la difficulté réside dans la capacité à comprendre ce qui incite le client à renoncer aux services d'une marque. Le guide Digital Marketing 2018 de l'EBG répond à cette problématique.
Le churn ou taux d'attrition correspond pour une entreprise à la proportion de clients perdus au cours d'une période. Par exemple, dans le secteur des télécommunications, il peut faire référence aux clients qui changent d'opérateur. Ainsi, le churn peut désigner la résiliation d'un forfait ou plus généralement d'un contrat qui lie le client et l'entreprise.
Le churn volontaire est souvent le résultat d'une insatisfaction sur l'offre ou la qualité des services, il faut alors détecter au plus tôt ces motifs d'insatisfaction afin d'y apporter une réponse appropriée, et au plus vite. Mais encore faut-il être prudent, car les actions commerciales anti-churn peuvent parfois être mal perçues par le consommateur qui s'étonnera par exemple d'une offre promotionnelle attractive qui interviendrait un peu trop tardivement. Le recours à une Data Management Platform (DMP) permet ainsi de détecter très tôt des signaux faibles laissant penser à une attrition possible du client. Une fois le profil détecté, il faudra encore le scorer - toujours grâce à la DMP - afin d'engager la démarche la mieux adaptée pour retenir le consommateur.
Tenir un discours adapté pour retenir les clients
Parmi les secteurs d'activité les plus impactés par le churn, le marché de la téléphonie et le milieu bancaire passent pour des évidences. En effet, particulièrement concurrentiels, en mutation constante, ces deux secteurs sont confrontés à une problématique majeure de rétention de leurs clients.
Pour une société de télécommunication, l'enjeu consiste à adopter une logique cross-canal pour lutter contre le churn. Utiliser une DMP dans une logique d'optimisation des achats média est connu ; y recourir pour la stratégie de rétention tend à l'être davantage. Pour s'adresser au client de manière ciblée, en vue de contrer ses motifs d'insatisfaction ou d'infidélité éventuels, le recours à la data est indispensable.
Il s'agit donc de définir un cahier des charges précis, tout en prenant en considération que les sources de données peuvent être nombreuses et protéiformes. Enfin, le scoring, géré par le CRM, est indispensable afin d'être assuré d'actionner le bon levier, au bon moment.
http://www.e-marketing.fr/Thematique/data-1091/Breves/Comment-detecter-churn-remedier-331283.htm#pORUiW3BWbYFcP6O.97
Lancement de Xiaomi en France avec l'ouverture de sa première boutique
La marque de smartphones chinois ouvre sa première boutique à Paris ce mardi. Déjà numéro 4 mondial, elle veut accélérer en Europe pour augmenter ses ventes alors que le marché chinois connaît un ralentissement.
Des smartphones, des enceintes bluetooth et des chargeurs de batteries. Mais bien plus étonnant encore des trottinettes électriques et peut être bientôt des bouilloires ou des "rice cookers". Le constructeur de smartphones chinois Xiaomi a ouvert sa première boutique en France ce mardi 22 mai. Situé sur le Boulevard Sébastopol, proche de Châtelet, elle doit être le porte-étendard de la stratégie de conquête agressive de l'opérateur. Quasi inconnu en France, il figure pourtant à la quatrième place au dernier trimestre 2017 (avec 7% du marché), derrière le duo Apple-Samsung et son compatriote Huawei, selon IDC.
La marque n'est pas très âgée. Fondée en 2010, Xiaomi ("Petit-riz" ou "Millet" en V.O.) a grandi grâce à un modèle drastique: une maîtrise des coûts de production en réduisant les intermédiaires grâce à la vente en ligne de ses produits à des clients, transformés en "Mi-fans" inconditionnels. Cela vous rappelle la stratégie de la marque à la pomme? Il y a du Apple Store dans les boutiques de Xiaomi. Le fondateur, Lei Jun, souvent comparé à Steve Jobs est la 25ème fortune de Chine selon Forbes.
Miser sur les "Mi-fans"
Comme pour Apple, les fans avaient fait la queue et certains avaient même planté leurs tentes la veille au soir afin d'être les premiers à l'ouverture. D'ailleurs une quarantaine de "Mi-fans", avec t-shirts correspondants, étaient présents. Mis en valeur par un spot de la marque au cours de la présentation, ils doivent être les fers de lance de la marque en France. Multipliant selfies et commentaires dytirambiques sur la marque chinoise, ils affirment avoir hâte de pouvoir tester les produits en magasin
https://www.challenges.fr/high-tech/xiaomi-ouvre-en-grandes-pompes-sa-boutique-a-paris-pour-croquer-samsung-et-huawei_588826
Des smartphones, des enceintes bluetooth et des chargeurs de batteries. Mais bien plus étonnant encore des trottinettes électriques et peut être bientôt des bouilloires ou des "rice cookers". Le constructeur de smartphones chinois Xiaomi a ouvert sa première boutique en France ce mardi 22 mai. Situé sur le Boulevard Sébastopol, proche de Châtelet, elle doit être le porte-étendard de la stratégie de conquête agressive de l'opérateur. Quasi inconnu en France, il figure pourtant à la quatrième place au dernier trimestre 2017 (avec 7% du marché), derrière le duo Apple-Samsung et son compatriote Huawei, selon IDC.
La marque n'est pas très âgée. Fondée en 2010, Xiaomi ("Petit-riz" ou "Millet" en V.O.) a grandi grâce à un modèle drastique: une maîtrise des coûts de production en réduisant les intermédiaires grâce à la vente en ligne de ses produits à des clients, transformés en "Mi-fans" inconditionnels. Cela vous rappelle la stratégie de la marque à la pomme? Il y a du Apple Store dans les boutiques de Xiaomi. Le fondateur, Lei Jun, souvent comparé à Steve Jobs est la 25ème fortune de Chine selon Forbes.
Miser sur les "Mi-fans"
Comme pour Apple, les fans avaient fait la queue et certains avaient même planté leurs tentes la veille au soir afin d'être les premiers à l'ouverture. D'ailleurs une quarantaine de "Mi-fans", avec t-shirts correspondants, étaient présents. Mis en valeur par un spot de la marque au cours de la présentation, ils doivent être les fers de lance de la marque en France. Multipliant selfies et commentaires dytirambiques sur la marque chinoise, ils affirment avoir hâte de pouvoir tester les produits en magasin
https://www.challenges.fr/high-tech/xiaomi-ouvre-en-grandes-pompes-sa-boutique-a-paris-pour-croquer-samsung-et-huawei_588826
Uber lance un « bouton d'urgence » pour les passagers
Uber lance un « bouton d'urgence » pour les passagers
Le leader mondial des VTC développe de nouveaux outils aux Etats-Unis pour garantir la sécurité de ses passagers après la révélation de plusieurs agressions.
Face à l'accumulation d'affaires d'agressions lors de courses, Uber tente de rassurer ses clients. Mardi, le leader mondial des VTC a ajouté à son application américaine un « bouton d'urgence » permettant aux passagers de prévenir les secours rapidement en cas de danger.
L'entreprise californienne avait annoncé l'arrivée de cette nouvelle fonctionnalité le mois dernier. « Personne ne devrait jamais avoir à appeler les secours en utilisant Uber mais aucune forme de transport n'est infaillible. Si jamais vous êtes confronté à une situation d'urgence, nous voulons vous aider à obtenir l'aide dont vous avez besoin », expliquait l'entreprise dans un communiqué .
Premier essai en Inde
Si Uber ne précise pas à quel type d'urgence cette nouvelle application est censée répondre, elle semble intimement liée à la recrudescence de violences entre clients et chauffeurs voire d'agressions sexuelles. L'application prend d'ailleurs bien soin de ne pas prévenir le conducteur du véhicule lorsque son passager active le « bouton d'urgence ».
Pour utiliser ce « panic button », les utilisateurs doivent simplement ouvrir l'onglet « centre de sécurité » dans l'application et appuyer sur un bouton qui compose directement le 911, le service d'urgence américain. Grâce à son système de géolocalisation, Uber indique à l'utilisateur sa position actuelle afin d'informer les autorités le plus précisément possible.
Plus de 100 cas d'agressions aux Etats-Unis
Mais la fonctionnalité n'est pas nouvelle. En février 2015, Uber avait déjà développé un « panic button » en Inde. Quelques mois auparavant, la firme californienne avait été poursuivie en justice par une femme de New Delhi qui avait été violée par un chauffeur Uber. Celle-ci reprochait à la plateforme de VTC de ne pas avoir garanti sa sécurité.
A l'époque, Uber n'avait évoqué qu'une mise à jour locale et n'avait pas communiqué sur une généralisation de ce « bouton d'urgence » dans d'autres pays.
https://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/0301735402995-uber-lance-un-bouton-durgence-pour-les-passagers-2179660.php
Le leader mondial des VTC développe de nouveaux outils aux Etats-Unis pour garantir la sécurité de ses passagers après la révélation de plusieurs agressions.
Face à l'accumulation d'affaires d'agressions lors de courses, Uber tente de rassurer ses clients. Mardi, le leader mondial des VTC a ajouté à son application américaine un « bouton d'urgence » permettant aux passagers de prévenir les secours rapidement en cas de danger.
L'entreprise californienne avait annoncé l'arrivée de cette nouvelle fonctionnalité le mois dernier. « Personne ne devrait jamais avoir à appeler les secours en utilisant Uber mais aucune forme de transport n'est infaillible. Si jamais vous êtes confronté à une situation d'urgence, nous voulons vous aider à obtenir l'aide dont vous avez besoin », expliquait l'entreprise dans un communiqué .
Premier essai en Inde
Si Uber ne précise pas à quel type d'urgence cette nouvelle application est censée répondre, elle semble intimement liée à la recrudescence de violences entre clients et chauffeurs voire d'agressions sexuelles. L'application prend d'ailleurs bien soin de ne pas prévenir le conducteur du véhicule lorsque son passager active le « bouton d'urgence ».
Pour utiliser ce « panic button », les utilisateurs doivent simplement ouvrir l'onglet « centre de sécurité » dans l'application et appuyer sur un bouton qui compose directement le 911, le service d'urgence américain. Grâce à son système de géolocalisation, Uber indique à l'utilisateur sa position actuelle afin d'informer les autorités le plus précisément possible.
Plus de 100 cas d'agressions aux Etats-Unis
Mais la fonctionnalité n'est pas nouvelle. En février 2015, Uber avait déjà développé un « panic button » en Inde. Quelques mois auparavant, la firme californienne avait été poursuivie en justice par une femme de New Delhi qui avait été violée par un chauffeur Uber. Celle-ci reprochait à la plateforme de VTC de ne pas avoir garanti sa sécurité.
A l'époque, Uber n'avait évoqué qu'une mise à jour locale et n'avait pas communiqué sur une généralisation de ce « bouton d'urgence » dans d'autres pays.
https://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/0301735402995-uber-lance-un-bouton-durgence-pour-les-passagers-2179660.php
Wall E
C'est l'un des films les plus touchant que j'ai vu
Wall E, un petit robot, est le dernier être sur Terre ! 700 ans plus tôt, l'humanité a déserté notre planète en lui laissant le soin de nettoyer la Terre. Mais Wall E a développé un petit défaut technique : une forte personnalité !
Curieux et indiscret, il est surtout très seul.
Sa vie va être bouleversée avec l'arrivée d'Eve, une petite robote.
Wall E va tout mettre en oeuvre pour la séduire
Wall E, un petit robot, est le dernier être sur Terre ! 700 ans plus tôt, l'humanité a déserté notre planète en lui laissant le soin de nettoyer la Terre. Mais Wall E a développé un petit défaut technique : une forte personnalité !
Curieux et indiscret, il est surtout très seul.
Sa vie va être bouleversée avec l'arrivée d'Eve, une petite robote.
Wall E va tout mettre en oeuvre pour la séduire
Les 4 idées à retenir de… « Mon meilleur ami… c'est moi »
Les 4 idées à retenir de… « Mon meilleur ami… c'est moi »
Une seule personne peut réellement contribuer à votre épanouissement, c'est vous-même. Vous avez sur elle le plus de contrôle et d'influence. La qualité de cette relation favorise ou sabote vos projets.
1 En amitié avec soi-même
Imaginons un vrai ami, très cher, existant ou imaginaire, qui serait bienveillant et ouvert d'esprit. Nous avons tellement internalisé les critiques de nos parents que nous les faisons avant que d'autres ne les formulent. Notre autocritique est en place. Cultiver de la compassion à notre propre égard contribue à notre bonheur.
2 L'énergie de l'autoamitié
Autour de nous et dans les médias, le succès est devenu la norme. Rares sont ceux qui révèlent leurs faiblesses. Les journalistes sont beaux, forts, intelligents, audacieux. Ceux qui manquent d'autocompassion ont tendance à s'inquiéter en permanence de leur valeur. Ils s'évaluent par comparaison aux autres. Cette démarche se retrouve aussi au niveau des groupes d'appartenance. Prendre les commandes signifie nous soucier de nous et accorder du crédit à notre opinion personnelle.
3 Désormais amis, que fait-on ?
Entraînez-vous à vous faire du bien, cela vous aidera à améliorer votre vie, vos relations, votre travail… Renforcez votre puissance intérieure (l'« empowerment », c'est-à-dire l'autonomisation). Vous avez du pouvoir sur votre réponse à l'événement.
4 Assumer sa responsabilité
Souvent, nous cherchons des excuses ou nous nous plaignons. Assumer à 100 % notre responsabilité implique de quitter ce mode de fonctionnement inapproprié. Pour être pleinement un bon ami pour soi, il est indispensable d'entrer en amitié avec son corps, en prendre soin pour percevoir, ressentir, interagir. Commencez par choisir vos complices. Eloignez-vous des personnes qui tenteraient de vous décourager. Lorsque je deviens un meilleur ami pour moi, je suis en meilleure condition pour accueillir les autres.
https://business.lesechos.fr/directions-ressources-humaines/management/developpement-personnel/030769303680-les-4-idees-a-retenir-de-mon-meilleur-ami-c-est-moi-315112.php
Une seule personne peut réellement contribuer à votre épanouissement, c'est vous-même. Vous avez sur elle le plus de contrôle et d'influence. La qualité de cette relation favorise ou sabote vos projets.
1 En amitié avec soi-même
Imaginons un vrai ami, très cher, existant ou imaginaire, qui serait bienveillant et ouvert d'esprit. Nous avons tellement internalisé les critiques de nos parents que nous les faisons avant que d'autres ne les formulent. Notre autocritique est en place. Cultiver de la compassion à notre propre égard contribue à notre bonheur.
2 L'énergie de l'autoamitié
Autour de nous et dans les médias, le succès est devenu la norme. Rares sont ceux qui révèlent leurs faiblesses. Les journalistes sont beaux, forts, intelligents, audacieux. Ceux qui manquent d'autocompassion ont tendance à s'inquiéter en permanence de leur valeur. Ils s'évaluent par comparaison aux autres. Cette démarche se retrouve aussi au niveau des groupes d'appartenance. Prendre les commandes signifie nous soucier de nous et accorder du crédit à notre opinion personnelle.
3 Désormais amis, que fait-on ?
Entraînez-vous à vous faire du bien, cela vous aidera à améliorer votre vie, vos relations, votre travail… Renforcez votre puissance intérieure (l'« empowerment », c'est-à-dire l'autonomisation). Vous avez du pouvoir sur votre réponse à l'événement.
4 Assumer sa responsabilité
Souvent, nous cherchons des excuses ou nous nous plaignons. Assumer à 100 % notre responsabilité implique de quitter ce mode de fonctionnement inapproprié. Pour être pleinement un bon ami pour soi, il est indispensable d'entrer en amitié avec son corps, en prendre soin pour percevoir, ressentir, interagir. Commencez par choisir vos complices. Eloignez-vous des personnes qui tenteraient de vous décourager. Lorsque je deviens un meilleur ami pour moi, je suis en meilleure condition pour accueillir les autres.
https://business.lesechos.fr/directions-ressources-humaines/management/developpement-personnel/030769303680-les-4-idees-a-retenir-de-mon-meilleur-ami-c-est-moi-315112.php
Six pratiques managériales du monde entier pour travailler autrement
Nouvelles règles Redéfinir le mot « travail » : nombreuses sont les entreprises dans le monde qui changent leurs pratiques managériales pour améliorer le quotidien des salariés.
Hugo et François , deux étudiants de l'EM Lyon Business School et de l'Edhec, « baroudeurs de l'innovation managériale » 2017, ont réalisé un tour du monde de six mois, dont le voyage a été sponsorisé par la chaire Leadership de l’Edhec, en vue de répertorier les pratiques managériales innovantes. Aperçu de six d'entre elles, qui améliorent le quotidien des salariés.
1. Patagonia, Etats-Unis
Intégrer la famille au coeur de l'entreprise
Le fabricant de vêtements écoresponsables américain est précurseur dans l'installation de crèches dans l'entreprise. Très tendance aux Etats-Unis, elles facilitent le quotidien des salariés en leur permettant de réconcilier vie professionnelle avec vie personnelle. Résultat ? Moins de congés parentaux et moins d'absentéisme. Le réceptionniste de l'accueil « était ravi de voir ses enfants grandir et aujourd'hui, son fils travaille pour le groupe », témoigne Hugo. Un moyen très efficace de fidéliser ses salariés.
2. Palo IT, Singapour
Faire respecter des valeurs
Créé en 2009, le cabinet de conseil Palo IT, qui aide les entreprises à tirer parti de la révolution digitale, veut faire de l'éthique un fil rouge. Au travers de son pratiques managériales , l'entreprise veille au respect de ses valeurs. Ce groupe de personnes indépendantes basé à Singapour s'assure que les missions effectuées par les collaborateurs ne sont pas nocives pour la société. Selon Hugo, de cette façon, « les salariés auront confiance en une entreprise qui met un point d'honneur à faire respecter ses valeurs plutôt que de les afficher simplement sur un mur ».
3. Semco, Brésil
Fini le top management
Chez Semco, fabricant brésilien de matériel industriel, tous les salariés sont valorisés, quel que soit leur niveau hiérarchique. L'entreprise leur propose de participer aux réunions stratégiques, habituellement réservées aux dirigeants. Le nombre de places reste néanmoins limité. « Le salarié d'une usine située à 500 kilomètres du siège peut venir s'asseoir autour de la table, en compagnie des plus hauts responsables de l'entreprise », explique Hugo. « Cela lui permet de faire entendre sa voix. » Les salariés se sentent écoutés et, surtout, valorisés.
4. Great Little Box Company, Canada
Faire des rêves une réalité
Le designer et fabricant canadien de packaging s'est récemment lancé dans un projet innovant. A travers le programme « Dream Outside the Box », le groupe propose à chaque salarié d'afficher sur un mur, de manière anonyme, un rêve qu'il aimerait réaliser. Parmi les exemples, Hugo cite « le financement des études de ses enfants » ou « offrir un voyage à un proche qui n'en a pas les moyens ». L'ensemble des employés vote pour le rêve qu'il préfère. Une fois par an, l'entreprise se charge de le financer et de le réaliser.
Selon le même principe, l'entreprise Aneo en France propose un « mur des exploits ». Depuis 2016, chaque collaborateur peut déposer un dossier qui détaille un exploit accompli. Après un vote collectif, celui qui l'emporte gagne un prix. « Ce genre d'initiative stimule la reconnaissance au sein de l'entreprise, ajoute Hugo. Le succès est tel qu'Aneo a décidé de réitérer le projet, mais en séparant cette fois l'action individuelle et l'action collective. »
5. Crisp, Suède
Rester à l'école
En Suède, beaucoup n'en reviennent pas et considèrent que la promesse était pourtant impossible à tenir. Crisp, une entreprise spécialisée dans le conseil digital, bloque une journée par semaine pour l'apprentissage. La quarantaine de salariés l'utilisent soit pour enseigner soit pour apprendre. Comme le précise Hugo, « ils investissent une partie de leur temps à donner ou à suivre des cours, à lire, à s'enrichir afin de toujours progresser et exceller dans leur domaine ». Une initiative qui stimule le salarié dans son travail, lui apporte un épanouissement et lui offre une liberté dans ses choix.
6. Siclo, Vietnam
Un simple merci suffit
Siclo est une petite entreprise vietnamienne qui a trouvé le moyen de remercier ses collaborateurs en créant une boutique en ligne reliée à la plate-forme de communication collaborative Slack. A la fin de la journée, chacun peut envoyer un emoji en forme de taco pour remercier un collègue. Chaque fois qu'un taco est distribué dans la conversation, il est comptabilisé dans la boutique en ligne. Le salarié choisit ensuite parmi les cadeaux qu'il préfère : une activité, un bon d'achat, des accessoires… « Il se sent reconnu et encouragé publiquement, ce qui est particulièrement valorisant », confie Hugo.
https://business.lesechos.fr/directions-marketing/communication/communication-interne/0301538978814-six-pratiques-manageriales-du-monde-entier-pour-travailler-autrement-320780.php
Hugo et François , deux étudiants de l'EM Lyon Business School et de l'Edhec, « baroudeurs de l'innovation managériale » 2017, ont réalisé un tour du monde de six mois, dont le voyage a été sponsorisé par la chaire Leadership de l’Edhec, en vue de répertorier les pratiques managériales innovantes. Aperçu de six d'entre elles, qui améliorent le quotidien des salariés.
1. Patagonia, Etats-Unis
Intégrer la famille au coeur de l'entreprise
Le fabricant de vêtements écoresponsables américain est précurseur dans l'installation de crèches dans l'entreprise. Très tendance aux Etats-Unis, elles facilitent le quotidien des salariés en leur permettant de réconcilier vie professionnelle avec vie personnelle. Résultat ? Moins de congés parentaux et moins d'absentéisme. Le réceptionniste de l'accueil « était ravi de voir ses enfants grandir et aujourd'hui, son fils travaille pour le groupe », témoigne Hugo. Un moyen très efficace de fidéliser ses salariés.
Faire respecter des valeurs
Créé en 2009, le cabinet de conseil Palo IT, qui aide les entreprises à tirer parti de la révolution digitale, veut faire de l'éthique un fil rouge. Au travers de son pratiques managériales , l'entreprise veille au respect de ses valeurs. Ce groupe de personnes indépendantes basé à Singapour s'assure que les missions effectuées par les collaborateurs ne sont pas nocives pour la société. Selon Hugo, de cette façon, « les salariés auront confiance en une entreprise qui met un point d'honneur à faire respecter ses valeurs plutôt que de les afficher simplement sur un mur ».
3. Semco, Brésil
Fini le top management
Chez Semco, fabricant brésilien de matériel industriel, tous les salariés sont valorisés, quel que soit leur niveau hiérarchique. L'entreprise leur propose de participer aux réunions stratégiques, habituellement réservées aux dirigeants. Le nombre de places reste néanmoins limité. « Le salarié d'une usine située à 500 kilomètres du siège peut venir s'asseoir autour de la table, en compagnie des plus hauts responsables de l'entreprise », explique Hugo. « Cela lui permet de faire entendre sa voix. » Les salariés se sentent écoutés et, surtout, valorisés.
4. Great Little Box Company, Canada
Faire des rêves une réalité
Le designer et fabricant canadien de packaging s'est récemment lancé dans un projet innovant. A travers le programme « Dream Outside the Box », le groupe propose à chaque salarié d'afficher sur un mur, de manière anonyme, un rêve qu'il aimerait réaliser. Parmi les exemples, Hugo cite « le financement des études de ses enfants » ou « offrir un voyage à un proche qui n'en a pas les moyens ». L'ensemble des employés vote pour le rêve qu'il préfère. Une fois par an, l'entreprise se charge de le financer et de le réaliser.
Selon le même principe, l'entreprise Aneo en France propose un « mur des exploits ». Depuis 2016, chaque collaborateur peut déposer un dossier qui détaille un exploit accompli. Après un vote collectif, celui qui l'emporte gagne un prix. « Ce genre d'initiative stimule la reconnaissance au sein de l'entreprise, ajoute Hugo. Le succès est tel qu'Aneo a décidé de réitérer le projet, mais en séparant cette fois l'action individuelle et l'action collective. »
5. Crisp, Suède
Rester à l'école
En Suède, beaucoup n'en reviennent pas et considèrent que la promesse était pourtant impossible à tenir. Crisp, une entreprise spécialisée dans le conseil digital, bloque une journée par semaine pour l'apprentissage. La quarantaine de salariés l'utilisent soit pour enseigner soit pour apprendre. Comme le précise Hugo, « ils investissent une partie de leur temps à donner ou à suivre des cours, à lire, à s'enrichir afin de toujours progresser et exceller dans leur domaine ». Une initiative qui stimule le salarié dans son travail, lui apporte un épanouissement et lui offre une liberté dans ses choix.
6. Siclo, Vietnam
Un simple merci suffit
Siclo est une petite entreprise vietnamienne qui a trouvé le moyen de remercier ses collaborateurs en créant une boutique en ligne reliée à la plate-forme de communication collaborative Slack. A la fin de la journée, chacun peut envoyer un emoji en forme de taco pour remercier un collègue. Chaque fois qu'un taco est distribué dans la conversation, il est comptabilisé dans la boutique en ligne. Le salarié choisit ensuite parmi les cadeaux qu'il préfère : une activité, un bon d'achat, des accessoires… « Il se sent reconnu et encouragé publiquement, ce qui est particulièrement valorisant », confie Hugo.
https://business.lesechos.fr/directions-marketing/communication/communication-interne/0301538978814-six-pratiques-manageriales-du-monde-entier-pour-travailler-autrement-320780.php
La stratégie marketing de Starbucks : la fidélisation à l'extrême
Depuis cinquante ans, Starbucks mise sur la personnalisation et la fidélisation. De quoi convertir certains de ses clients en vrais fans, pour le meilleur… et pour le pire.
Aujourd’hui, mardi 29 mai, Starbucks ferme simultanément tous ses établissement américains afin de permettre à ses employés de participer à une formation de sensibilisation au racisme. Cette décision fait suite à l’indignation déclenchée par la publication d’une vidéo en avril dans laquelle on voyait deux clients noirs se faire arrêter dans un Starbucks, après que les baristas aient appelé la police. Leur crime ? Ne rien avoir commandé… parce qu’ils attendaient simplement l’arrivée d’un ami pour le faire.
Si la marque à la Sirène ne s’est pas contentée d’un communiqué, ou d’une formation discrète, c’est parce qu’un scandale de ce type remet en cause toute sa stratégie marketing : Starbucks se présente comme une grande famille dans laquelle tout le monde est accueilli.
Comme à la maison, depuis 1971
Revenons à la genèse de la marque : en 1971, le premier établissement Starbucks ouvre à Seattle avec comme devise : “une tasse à la fois”. L’entreprise veut chouchouter ses clients, en leur proposant un service individualisé.
“Dès le départ ils se sont positionnés comme n’étant pas un café standard mais comme un endroit intermédiaire entre la maison et le bureau. L’endroit est accueillant et les employés, qui sont eux-mêmes considérés comme des partenaires, sont encouragés à engager la conversation avec le client, à tout faire pour qu’il se sente à l’aise”, explique Pascale Dubouis, fondatrice et directrice d’Actinaria, société de conseil spécialiste des marques..
Dès l’entrée dans un établissement, les signes ne trompent pas : personnalisation du gobelet avec votre prénom, canapés confortables, espaces privés, grandes tables pour travailler, avec prises électriques et wifi de qualité.
José Antonio, Péruvien de 22 ans qui se définit comme un fan de Starbucks, confirme qu’il s’y sent comme chez lui, et qu’à force de fréquenter le café près de chez lui, il s’est lié d’amitié avec plusieurs baristas. “Ils discutent vraiment avec toi : si tu restes toute la journée ils finiront par s’approcher, juste te faire une blague ou pour savoir comment tu vas.”
Une stratégie risquée sur les réseaux sociaux
“Ce désir d’individualisation et de relation directe se poursuit sur les réseaux sociaux : la marque a été l’une des premières à les investir et aujourd’hui, elle compte 37 millions de fans sur Facebook et 15 millions sur Instagram”, précise Pascale Dubouis.
“De manière générale, les réseaux sociaux représente une véritable force pour la marque car elle en a une très bonne maîtrise : elle sait être présente sans harceler, elle laisse ses fans parler pour elle, répond en commentaires, et passe en privé quand il s’agit de régler un conflit.”
Mais cette forte présence en ligne peut aussi être risquée. Starbucks se présente comme une marque avec des valeurs écologiques et sociales : ses fans derrière leurs écrans sont aux aguets pour rappeler la marque à l’ordre en cas de faux pas. Ca a été plusieurs fois le cas concernant les couverts et les gobelets non recyclables. Il est arrivé aussi que les employés dénoncent sur les réseaux des mauvaises pratiques.
“Pour l’instant, Starbucks assure parce qu’ils réagissent à chaque fois, on en a encore la preuve avec cette journée de sensibilisation contre le racisme”, affirme Pascale Dubouis.
Une commande personnalisable à souhait
Heureusement, Starbucks peut aussi compter sur une véritable communauté de fans pour la défendre coûte que coûte. Des fans qui ont chacun leur raison de préférer la marque à la Sirène. Pour José Antonio, c’est le fait que la commande soit personnalisable à souhait qui a été l’élément déclencheur de sa passion.
“Au début, je me suis juste demandé ce que signifiaient toutes ces abréviations sur les gobelets. En fouillant sur internet, je suis entré dans le monde fabuleux de Starbucks, où chaque recette correspond à une combinaison sur la machine. J’ai découvert l’existence, des toppings, des sirops, la variété des types de café…”, raconte le jeune homme.
Aujourd’hui, il raconte qu’il est prêt à faire des détours sur ses itinéraires pour aller tester un nouveau Starbucks, ou encore pour goûter une édition limitée. Lors de son dernier voyage aux Etats-Unis, il a cherché toute une journée un sirop qui n’existe pas dans son pays. “J’ai acheté une bouteille et de retour chez moi, je la tendais au barista pour que mon café soit préparé avec mon sirop rapporté des Etats-Unis”, raconte-t-il fièrement.
Et la qualité des produits dans tout ça ? “Le café n’est pas spécialement meilleur qu’ailleurs. Mais chez Starbucks, les employés sont bien formés, et ils peuvent bien de te conseiller”, affirme José Antonio.
https://start.lesechos.fr/actu-entreprises/services/la-strategie-marketing-de-starbucks-la-fidelisation-a-l-extreme-11980.php
Aujourd’hui, mardi 29 mai, Starbucks ferme simultanément tous ses établissement américains afin de permettre à ses employés de participer à une formation de sensibilisation au racisme. Cette décision fait suite à l’indignation déclenchée par la publication d’une vidéo en avril dans laquelle on voyait deux clients noirs se faire arrêter dans un Starbucks, après que les baristas aient appelé la police. Leur crime ? Ne rien avoir commandé… parce qu’ils attendaient simplement l’arrivée d’un ami pour le faire.
Si la marque à la Sirène ne s’est pas contentée d’un communiqué, ou d’une formation discrète, c’est parce qu’un scandale de ce type remet en cause toute sa stratégie marketing : Starbucks se présente comme une grande famille dans laquelle tout le monde est accueilli.
Comme à la maison, depuis 1971
Revenons à la genèse de la marque : en 1971, le premier établissement Starbucks ouvre à Seattle avec comme devise : “une tasse à la fois”. L’entreprise veut chouchouter ses clients, en leur proposant un service individualisé.
“Dès le départ ils se sont positionnés comme n’étant pas un café standard mais comme un endroit intermédiaire entre la maison et le bureau. L’endroit est accueillant et les employés, qui sont eux-mêmes considérés comme des partenaires, sont encouragés à engager la conversation avec le client, à tout faire pour qu’il se sente à l’aise”, explique Pascale Dubouis, fondatrice et directrice d’Actinaria, société de conseil spécialiste des marques..
Dès l’entrée dans un établissement, les signes ne trompent pas : personnalisation du gobelet avec votre prénom, canapés confortables, espaces privés, grandes tables pour travailler, avec prises électriques et wifi de qualité.
José Antonio, Péruvien de 22 ans qui se définit comme un fan de Starbucks, confirme qu’il s’y sent comme chez lui, et qu’à force de fréquenter le café près de chez lui, il s’est lié d’amitié avec plusieurs baristas. “Ils discutent vraiment avec toi : si tu restes toute la journée ils finiront par s’approcher, juste te faire une blague ou pour savoir comment tu vas.”
Une stratégie risquée sur les réseaux sociaux
“Ce désir d’individualisation et de relation directe se poursuit sur les réseaux sociaux : la marque a été l’une des premières à les investir et aujourd’hui, elle compte 37 millions de fans sur Facebook et 15 millions sur Instagram”, précise Pascale Dubouis.
“De manière générale, les réseaux sociaux représente une véritable force pour la marque car elle en a une très bonne maîtrise : elle sait être présente sans harceler, elle laisse ses fans parler pour elle, répond en commentaires, et passe en privé quand il s’agit de régler un conflit.”
Mais cette forte présence en ligne peut aussi être risquée. Starbucks se présente comme une marque avec des valeurs écologiques et sociales : ses fans derrière leurs écrans sont aux aguets pour rappeler la marque à l’ordre en cas de faux pas. Ca a été plusieurs fois le cas concernant les couverts et les gobelets non recyclables. Il est arrivé aussi que les employés dénoncent sur les réseaux des mauvaises pratiques.
“Pour l’instant, Starbucks assure parce qu’ils réagissent à chaque fois, on en a encore la preuve avec cette journée de sensibilisation contre le racisme”, affirme Pascale Dubouis.
Une commande personnalisable à souhait
Heureusement, Starbucks peut aussi compter sur une véritable communauté de fans pour la défendre coûte que coûte. Des fans qui ont chacun leur raison de préférer la marque à la Sirène. Pour José Antonio, c’est le fait que la commande soit personnalisable à souhait qui a été l’élément déclencheur de sa passion.
“Au début, je me suis juste demandé ce que signifiaient toutes ces abréviations sur les gobelets. En fouillant sur internet, je suis entré dans le monde fabuleux de Starbucks, où chaque recette correspond à une combinaison sur la machine. J’ai découvert l’existence, des toppings, des sirops, la variété des types de café…”, raconte le jeune homme.
Aujourd’hui, il raconte qu’il est prêt à faire des détours sur ses itinéraires pour aller tester un nouveau Starbucks, ou encore pour goûter une édition limitée. Lors de son dernier voyage aux Etats-Unis, il a cherché toute une journée un sirop qui n’existe pas dans son pays. “J’ai acheté une bouteille et de retour chez moi, je la tendais au barista pour que mon café soit préparé avec mon sirop rapporté des Etats-Unis”, raconte-t-il fièrement.
Et la qualité des produits dans tout ça ? “Le café n’est pas spécialement meilleur qu’ailleurs. Mais chez Starbucks, les employés sont bien formés, et ils peuvent bien de te conseiller”, affirme José Antonio.
https://start.lesechos.fr/actu-entreprises/services/la-strategie-marketing-de-starbucks-la-fidelisation-a-l-extreme-11980.php
Pourquoi j'aime les licornes ?
J'aime les licornes parce que ce sont des personnages qui n'existent pas
et pourtant elles sont proches d'animaux que nous connaissons, et par cette proximité
ce sont des ponts vers l'imaginaire et le réve,
elles nous emmènent doucement vers un impossible qui devient possible
parce que nous commençons à le rêver
I like unicorns so much, because they are characters that do not exist
and yet they are close to animals we know, and by this proximity
they are bridges to the imaginary and the dream,
they take us slowly to an impossible that becomes possible
because we start dreaming it
et pourtant elles sont proches d'animaux que nous connaissons, et par cette proximité
ce sont des ponts vers l'imaginaire et le réve,
elles nous emmènent doucement vers un impossible qui devient possible
parce que nous commençons à le rêver
I like unicorns so much, because they are characters that do not exist
and yet they are close to animals we know, and by this proximity
they are bridges to the imaginary and the dream,
they take us slowly to an impossible that becomes possible
because we start dreaming it
Classement Des Marques Les Plus Rentables En 2018
Classement Des Marques Les Plus Rentables En 2018
Les entreprises de la tech les plus importantes au monde ont consolidé leur position ces dernières années, grâce à des bénéfices monumentaux et à une valeur marchande croissante. Apple (téléphonie), Google (recherche), Microsoft (logiciels), Facebook (réseau social) et Amazon (vente) dominent leur secteur respectif grâce à des services et des produits gagnants. Mais leur caractéristique la plus précieuse et la plus recherchée, c’est certainement leur solide image de marque
Une image de marque à toute épreuve aide à alimenter la demande et à orienter les prix. Les cinq marques de la tech citées ci-dessus le font mieux que tout le monde, car il s’agit des cinq marques les plus rentables dans le monde, selon Forbes. En effet, elles valent à elles-seules la somme combinée de 586 milliards de dollars, soit 20 % de plus que l’an dernier.
En tête d’affiche, et ce pour la huitième année consécutive, on retrouve Apple, avec une valeur estimée à 182,8 milliards de dollars, soit une croissance de 8 % en un an.
Seul Apple, grâce à ses fans inconditionnels, peut se permettre de vendre 29 millions de smartphones à 999 $ en moins de deux mois, comme c’était le cas fin 2017, selon les recherches de Canalys. Presque un quart de ces ventes ont eu lieu en Chine, ce qui démontre bien la portée mondiale de la marque. Malgré quelques prévisions décevantes concernant la Chine avant la publication de ces résultats ce mois-ci, Apple a annoncé une hausse de ses revenus de 21 % pour le trimestre dans le pays le plus peuplé au monde.
En réalité, Samsung Electronics a vendu davantage de téléphones qu’Apple au cours du dernier trimestre de 2017, mais la société de Wall Street, Canaccord Genuity, a estimé qu’Apple avait capté 87 % des profits du secteur de la téléphonie mobile, grâce à l’ajout de l’onéreux iPhone X à sa gamme. La différence de profits reflète la valeur des marques, et en effet, la marque Apple vaut quatre fois plus que la marque Samsung (47,6 milliards et classée au septième rang).
La société mère de Google, Alphabet, s’essaye à d’autres secteurs avec la technologie des maisons intelligentes, des voitures autonomes, etc. Mais presque tous ces secteurs lui font perdre de l’argent. C’est l’activité de Google qui permet de payer les factures, avec une marge opérationnelle de 26 % l’an dernier. Le terme Google est devenu synonyme de recherche en ligne, malgré les efforts de Yahoo, Baidu et Bing, essayant sans relâche de grignoter les 80 % de parts de marché de Google dans le monde.
Les autres marques présentent dans le top 5 ont toutes connu des chiffres d’affaires astronomiques : 104,8 milliards de dollars pour Microsoft (+ 21 %), 94,8 milliards de dollars pour Facebook (+ 29 %) et 70,9 milliards de dollars pour Amazon (+ 31 %).
Le seul changement de ce top 5, c’est Amazon qui a renversé Coca-Cola. En effet, la marque américaine de sodas a pris 2 % pour atteindre une valeur de 57,3 milliards de dollars, et il s’agit de la seule marque ne faisant pas partie du domaine de la tech à figurer dans le top 7. Les ventes de la marque estampillées Coca-Cola représentent 45 % du total ses revenus de l’an dernier. Les changements d’habitudes alimentaires impactent cette entreprise de plein fouet, mais la marque conserve son importance dans un secteur où l’on ne vend que du sucre et de l’eau, dont Coca-Cola est toujours en tête.
Forbes a évalué plus de 200 marques à travers le monde afin de déterminer la liste des 100 plus importantes. Les marques devaient être présentes sur le sol américain, ce qui a éliminé d’office de grandes marques telles que les chinoises Alibaba et Tencent. Les 100 premières comprennent notamment Gillette de Proctor & Gamble, ou encore American Express.
Forbes a évalué les marques sur trois années de revenus et a pondéré un pourcentage de ces revenus en fonction du rôle que jouent ces marques dans leurs secteurs respectifs. Les 100 marques du classement valent plus de 2 150 milliards de dollars, soit une augmentation de 10 % en un an. Cela va d’Apple avec 200 milliards de dollars, à KFC avec 7,4 milliards de dollars. Les revenus avant les intérêts et les taxes ont augmenté de 14 % en moyenne pour les 100 marques.
Les entreprises de la tech sont les plus présentes, car elles représentent 20 % de la liste, et l’intégralité du top 5. Les services financiers, Visa en tête (24,5 milliards de dollars), comptent treize marques, suivis par l’industrie automobile avec douze marques. Toyota (44,7 milliards de dollars) se classe en neuvième position, et est la première marque de son secteur.
Le top 100 compte des marques de seize pays différents, mais les États-Unis dominent ce classement avec 54 marques, contre 56 l’an dernier. L’Allemagne en compte douze, suivie du Japon et de la France à égalité avec sept.
Netflix (11,5 milliards de dollars, + 35 %) et Paypal (7,5 milliards de dollars, + 33 %) sont les marques ayant le mieux progressé du top 100. Netflix a doublé son nombre d’abonnés dans le monde ces trois dernières années, pour atteindre 125 millions. La marque a instauré une augmentation de ses prix aux États-Unis l’an dernier, mais elle a tout de même réussi à gagner des utilisateurs. Les utilisateurs de PayPal ont quand à eux atteint le nombre de 237 millions cette année, soit une augmentation de 43 % par rapport à 2015. L’engagement des consommateurs est important, avec 35 transactions par compte et par an.
https://www.forbes.fr/business/classement-des-marques-les-plus-rentables-en-2018/
Les entreprises de la tech les plus importantes au monde ont consolidé leur position ces dernières années, grâce à des bénéfices monumentaux et à une valeur marchande croissante. Apple (téléphonie), Google (recherche), Microsoft (logiciels), Facebook (réseau social) et Amazon (vente) dominent leur secteur respectif grâce à des services et des produits gagnants. Mais leur caractéristique la plus précieuse et la plus recherchée, c’est certainement leur solide image de marque
Une image de marque à toute épreuve aide à alimenter la demande et à orienter les prix. Les cinq marques de la tech citées ci-dessus le font mieux que tout le monde, car il s’agit des cinq marques les plus rentables dans le monde, selon Forbes. En effet, elles valent à elles-seules la somme combinée de 586 milliards de dollars, soit 20 % de plus que l’an dernier.
En tête d’affiche, et ce pour la huitième année consécutive, on retrouve Apple, avec une valeur estimée à 182,8 milliards de dollars, soit une croissance de 8 % en un an.
Seul Apple, grâce à ses fans inconditionnels, peut se permettre de vendre 29 millions de smartphones à 999 $ en moins de deux mois, comme c’était le cas fin 2017, selon les recherches de Canalys. Presque un quart de ces ventes ont eu lieu en Chine, ce qui démontre bien la portée mondiale de la marque. Malgré quelques prévisions décevantes concernant la Chine avant la publication de ces résultats ce mois-ci, Apple a annoncé une hausse de ses revenus de 21 % pour le trimestre dans le pays le plus peuplé au monde.
En réalité, Samsung Electronics a vendu davantage de téléphones qu’Apple au cours du dernier trimestre de 2017, mais la société de Wall Street, Canaccord Genuity, a estimé qu’Apple avait capté 87 % des profits du secteur de la téléphonie mobile, grâce à l’ajout de l’onéreux iPhone X à sa gamme. La différence de profits reflète la valeur des marques, et en effet, la marque Apple vaut quatre fois plus que la marque Samsung (47,6 milliards et classée au septième rang).
La société mère de Google, Alphabet, s’essaye à d’autres secteurs avec la technologie des maisons intelligentes, des voitures autonomes, etc. Mais presque tous ces secteurs lui font perdre de l’argent. C’est l’activité de Google qui permet de payer les factures, avec une marge opérationnelle de 26 % l’an dernier. Le terme Google est devenu synonyme de recherche en ligne, malgré les efforts de Yahoo, Baidu et Bing, essayant sans relâche de grignoter les 80 % de parts de marché de Google dans le monde.
Les autres marques présentent dans le top 5 ont toutes connu des chiffres d’affaires astronomiques : 104,8 milliards de dollars pour Microsoft (+ 21 %), 94,8 milliards de dollars pour Facebook (+ 29 %) et 70,9 milliards de dollars pour Amazon (+ 31 %).
Le seul changement de ce top 5, c’est Amazon qui a renversé Coca-Cola. En effet, la marque américaine de sodas a pris 2 % pour atteindre une valeur de 57,3 milliards de dollars, et il s’agit de la seule marque ne faisant pas partie du domaine de la tech à figurer dans le top 7. Les ventes de la marque estampillées Coca-Cola représentent 45 % du total ses revenus de l’an dernier. Les changements d’habitudes alimentaires impactent cette entreprise de plein fouet, mais la marque conserve son importance dans un secteur où l’on ne vend que du sucre et de l’eau, dont Coca-Cola est toujours en tête.
Forbes a évalué plus de 200 marques à travers le monde afin de déterminer la liste des 100 plus importantes. Les marques devaient être présentes sur le sol américain, ce qui a éliminé d’office de grandes marques telles que les chinoises Alibaba et Tencent. Les 100 premières comprennent notamment Gillette de Proctor & Gamble, ou encore American Express.
Forbes a évalué les marques sur trois années de revenus et a pondéré un pourcentage de ces revenus en fonction du rôle que jouent ces marques dans leurs secteurs respectifs. Les 100 marques du classement valent plus de 2 150 milliards de dollars, soit une augmentation de 10 % en un an. Cela va d’Apple avec 200 milliards de dollars, à KFC avec 7,4 milliards de dollars. Les revenus avant les intérêts et les taxes ont augmenté de 14 % en moyenne pour les 100 marques.
Les entreprises de la tech sont les plus présentes, car elles représentent 20 % de la liste, et l’intégralité du top 5. Les services financiers, Visa en tête (24,5 milliards de dollars), comptent treize marques, suivis par l’industrie automobile avec douze marques. Toyota (44,7 milliards de dollars) se classe en neuvième position, et est la première marque de son secteur.
Le top 100 compte des marques de seize pays différents, mais les États-Unis dominent ce classement avec 54 marques, contre 56 l’an dernier. L’Allemagne en compte douze, suivie du Japon et de la France à égalité avec sept.
Netflix (11,5 milliards de dollars, + 35 %) et Paypal (7,5 milliards de dollars, + 33 %) sont les marques ayant le mieux progressé du top 100. Netflix a doublé son nombre d’abonnés dans le monde ces trois dernières années, pour atteindre 125 millions. La marque a instauré une augmentation de ses prix aux États-Unis l’an dernier, mais elle a tout de même réussi à gagner des utilisateurs. Les utilisateurs de PayPal ont quand à eux atteint le nombre de 237 millions cette année, soit une augmentation de 43 % par rapport à 2015. L’engagement des consommateurs est important, avec 35 transactions par compte et par an.
https://www.forbes.fr/business/classement-des-marques-les-plus-rentables-en-2018/
VivaTech : Les Dix Pépites Les Plus Prometteuses
VivaTech : Les Dix Pépites Les Plus Prometteuses
« Le classement a pour objectif de montrer que les étudiants sont capables d’entreprendre et qu’ils sont accompagnés », indique Philippine Vidal, responsable des relations publiques de Pépite France. Les critères prennent en compte le chiffre d’affaires, l’actif brut et la création d’emplois réalisés par les jeunes pousses passées depuis 2014 par ces pôles régionaux.
Après la France et la Belgique, Pépite veut se déployer dans l’ensemble de la francophonie et développer un maillage international pour les étudiants.
Centimeo, Benjamin Dupays
Utiliser ses « pièces rouges » de 1, 2 et 5 centimes pour acheter chewing-gum et monodoses de gel antibactérien dans le métro.
Finoptim, Baptiste Ploquin et David Lépiney
Fabrication de cheminées à foyer ouvert et à haut rendement.
Icare technologies, Jérémy Neyrou et Fabien Raiola
Système d’identification personnel sans contact et sécurisé. Paiement ou ouverture d’une voiture grâce à une bague connectée.
Ornikar, Benjamin Gaignault et Flavien Le Rendu
Auto-école en ligne qui propose un permis de conduire moins cher, sans contrainte et plus rapide.
Privateaser, Raphaël Kolm, Nicolas Furlani, Alexandre Paepegaey
Réserver gratuitement un bar ou une salle pour des anniversaires, afterworks ou pots d’entreprise.
Riminder, Mouhidine Seiv
Utilisation du deep learning pour exploiter le potentiel des données RH pour permettre à chacun de révéler ses talents.
Rhinov, Bastien Paquereau
Réaménagement 3D créé à partir d’une photo et avant/après interactif avec 14 styles de décorations.
The Keepers, François Jaubert
Après un service de consignes pour casques moto, l’entreprise propose un vestiaire connecté dans les centres commerciaux, aéroports, stades et salles de concert.
Workwell, Marie Schneegans
Never eat alone propose l’application Workwell, une plate-forme qui centralise tous les services au bureau comme l’accès aux salles de réunion, la conciergerie, le covoiturage.
Yespark, Thibaut Chary et Charles Pfister
12 000 places de parking souterrains, sans caution et sans préavis.
https://www.forbes.fr/entrepreneurs/vivatech-les-dix-pepites-les-plus-prometteuses/
« Le classement a pour objectif de montrer que les étudiants sont capables d’entreprendre et qu’ils sont accompagnés », indique Philippine Vidal, responsable des relations publiques de Pépite France. Les critères prennent en compte le chiffre d’affaires, l’actif brut et la création d’emplois réalisés par les jeunes pousses passées depuis 2014 par ces pôles régionaux.
Après la France et la Belgique, Pépite veut se déployer dans l’ensemble de la francophonie et développer un maillage international pour les étudiants.
Centimeo, Benjamin Dupays
Utiliser ses « pièces rouges » de 1, 2 et 5 centimes pour acheter chewing-gum et monodoses de gel antibactérien dans le métro.
Finoptim, Baptiste Ploquin et David Lépiney
Fabrication de cheminées à foyer ouvert et à haut rendement.
Icare technologies, Jérémy Neyrou et Fabien Raiola
Système d’identification personnel sans contact et sécurisé. Paiement ou ouverture d’une voiture grâce à une bague connectée.
Ornikar, Benjamin Gaignault et Flavien Le Rendu
Auto-école en ligne qui propose un permis de conduire moins cher, sans contrainte et plus rapide.
Privateaser, Raphaël Kolm, Nicolas Furlani, Alexandre Paepegaey
Réserver gratuitement un bar ou une salle pour des anniversaires, afterworks ou pots d’entreprise.
Riminder, Mouhidine Seiv
Utilisation du deep learning pour exploiter le potentiel des données RH pour permettre à chacun de révéler ses talents.
Rhinov, Bastien Paquereau
Réaménagement 3D créé à partir d’une photo et avant/après interactif avec 14 styles de décorations.
The Keepers, François Jaubert
Après un service de consignes pour casques moto, l’entreprise propose un vestiaire connecté dans les centres commerciaux, aéroports, stades et salles de concert.
Workwell, Marie Schneegans
Never eat alone propose l’application Workwell, une plate-forme qui centralise tous les services au bureau comme l’accès aux salles de réunion, la conciergerie, le covoiturage.
Yespark, Thibaut Chary et Charles Pfister
12 000 places de parking souterrains, sans caution et sans préavis.
https://www.forbes.fr/entrepreneurs/vivatech-les-dix-pepites-les-plus-prometteuses/
Amazon : Un Outil De Surveillance De Masse ?
Mardi, le PDG d’Amazon, Jeff Bezos, a reçu une lettre de la part de l’Union américaine pour les libertés civiles et de ses soutiens. Cette lettre demande l’arrêt d’un service fourni par l’entreprise et peu connu des autorités américaines : la reconnaissance faciale, alimentée par l’intelligence artificielle.
Cet outil, Rekognition, peut reconnaître jusqu’à une centaine de personnes sur une seule image et il est capable de retrouver des visages dans une base de données contenant des dizaines de millions de photos. Selon la description d’Amazon : « cela facilite l’ajout de l’analyse d’images et de vidéos à nos applications ».
« Il suffit de fournir une image ou une vidéo à l’API Rekognition afin que le service puisse identifier les objets, les personnes, les textes, les lieux, les activités ou encore détecter du contenu inapproprié. Rekognition fourni également des analyses et une reconnaissance faciale précises. Vous pouvez détecter, analyser et comparer des visages pour vérifier, cataloguer, comptabiliser une large gamme d’identités et s’en servir pour assuere la sécurité publique. » Il s’agit du même outil que Sky News a utilisé pour identifier les invités ayant assisté au « royal wedding » qui a eu lieu ce weekend en Angleterre.
D’après une enquête de près de six mois menée par ACLU, Rekognition est utilisée par bon nombre d’agences à travers les États-Unis, notamment la police d’Orlando en Floride et dans l’Oregon. Dans le conté de Washington, une application mobile reposant sur Rekognition a été créée afin que les agents de police puissent scanner des images et les comparer avec une base de données regroupant plus de 300 000 visages.
Depuis juin dernier, Chris Adzima, un analyste spécialisé dans les systèmes informatiques pour le sheriff du conté de Washington, entretient un blog portant sur les services internet d’Amazon. Il détail des cas dans lesquels Rekognition a été utilisé. Par exemple, lorsqu’un voleur est parti d’un magasin de bricolage sans payer, les images ont été traitées par les systèmes de reconnaissance faciale et qui ont trouvé quatre personnes avec une ressemblance à plus de 80 %. L’u d’eux affichait un score plus élevé que les autrs, et lorsqu’un enquêteur a mené une recherche sur les réseaux sociaux, il a trouvé une photo où le suspect portait le même sweatshirt que dans le magasin de bricolage.
« Nous avons d’autres exemples. Une caméra de surveillance a filmé un homme utilisant une carte de crédit qui a par la suite fait l’objet d’une déclaration de vol, explique Chris Adzima. À cause de la mauvaise qualité de l’image et du grand angle, il était assez difficile d’identifier la personne à l’œil nu. Lorsque nous l’avons passé dans Rekognition, nous avons eu un résultat avec plus de 95 % de ressemblance. »
À Orlando, en Floride, on se sert de Rekognition pour trouver des « personnes d’intérêt » en utilisant les caméras de surveillance de la ville. Dans une vidéo postée ce mois-ci sur YouTube, Ranju Das d’Amazon affirme qu’à Orlando, le système pourrait même localiser le maire ou toutes les « personnes d’intérêt ». Cet outil est également disponible pour surveiller sa propre maison.
« Une surveillance de masse abordable »
Les détails de l’accord avec la police d’Orlando indiquent qu’Amazon a adopté son modèle commercial habituel avec Rekognition : commencer bon marché et attendre que les clients viennent. Pour le traitement de 30 989 images, la police n’a dû payer que 30,99 $, à en croire un document obtenu par ACLU.
« C’est une machine de surveillance de masse très abordable, et c’est justement en partie pourquoi je suis inquiet », a déclaré à Forbes Matt Cagle, l’avocat d’ACLU. « Cette société qui s’est construite autour du client vient d’entrer sur le marché de la surveillance ».
Il ajoute que les outils marketing d’Amazon semblent pouvoir fournir un système de surveillance à un état « autoritaire » et qu’il faut également se poser des questions concernant les autres grandes entreprises spécialisées dans les tech, qui lancent des services de reconnaissance faciale similaires. « Les utilisateurs d’Amazon ont raison d’être surpris par le fait qu’ils font dorénavant partie d’un nouvel ensemble de consommateurs, de gouvernements qui veulent s’en servir pour la surveillance ». Matt Cagle prévient que Rekognition pourrait être utilisé pour suivre des manifestants, des migrants ou les habitants de quartiers entiers.
Certains acteurs du secteur de la surveillance sont intrigués par la possibilité qu’Amazon s’introduise sur ce marché. Zak Doffman, PDG de l’entreprise britannique de reconnaissance facile Digital Barriers, a même affirmé vouloir établir un partenariat avec Jeff Bezos : « Amazon deviendra une vraie menace pour les autres acteurs du marché, où toutes les vidéos de bonne qualité peuvent être chargées sur le centre ou le cloud ».
Mais cela ne signifie pas pour autant qu’il n’est pas inquiet concernant la sécurité de tous ces visages et des données associées stockées sur le cloud d’Amazon : « Là où toutes les informations personnelles sont traitées dans un cloud central, l’utilisation et le stockage de ces données, après les problèmes rencontrés récemment par Facebook et Google, sont les points clés sur lesquels Amazon devra travailler. S’il subsiste des inquiétudes en matière d’éthique, elles proviendront du stockage et de l’utilisation de ces données ».
La réponse d’Amazon
Un porte-parole d’Amazon a fait savoir à Forbes que l’entreprise étudiera les cas d’utilisation et lorsqu’elle jugera l’usage abusif, elle interdira au client en question d’accéder à Rekognition.
« En tant que technologie, Rekognition présente plusieurs applications utiles dans la vraie vie (par exemple, de nombreuses agences ont utilisé Rekognition pour retrouver des personnes enlevées, les parcs d’attraction utilisent le système pour retrouver les enfants égarées) », expliquait le porte-parole de l’entreprise. « Et, l’utilité de tels services reposant sur l’intelligence artificielle ne feront qu’augmenter car de nombreuses entreprises commenceront à utiliser des technologies sophistiquées comme Amazon Rekognition dans les années à avenir. Notre qualité de vie serait bien pire aujourd’hui si nous rendions illégales les nouvelles technologies juste parce que certaines personnes pourraient en faire un usage abusif. Imaginez que les consommateurs ne puissent pas acheter d’ordinateurs parce qu’ils pourraient l’utiliser à des fins illégales ? Comme pour tous nos services Amazon Web, nous demandons à nos utilisateurs de respecter la loi et de faire un usage responsable de Rekognition ».
https://www.forbes.fr/business/amazon-un-outil-de-surveillance-de-masse/
Cet outil, Rekognition, peut reconnaître jusqu’à une centaine de personnes sur une seule image et il est capable de retrouver des visages dans une base de données contenant des dizaines de millions de photos. Selon la description d’Amazon : « cela facilite l’ajout de l’analyse d’images et de vidéos à nos applications ».
« Il suffit de fournir une image ou une vidéo à l’API Rekognition afin que le service puisse identifier les objets, les personnes, les textes, les lieux, les activités ou encore détecter du contenu inapproprié. Rekognition fourni également des analyses et une reconnaissance faciale précises. Vous pouvez détecter, analyser et comparer des visages pour vérifier, cataloguer, comptabiliser une large gamme d’identités et s’en servir pour assuere la sécurité publique. » Il s’agit du même outil que Sky News a utilisé pour identifier les invités ayant assisté au « royal wedding » qui a eu lieu ce weekend en Angleterre.
D’après une enquête de près de six mois menée par ACLU, Rekognition est utilisée par bon nombre d’agences à travers les États-Unis, notamment la police d’Orlando en Floride et dans l’Oregon. Dans le conté de Washington, une application mobile reposant sur Rekognition a été créée afin que les agents de police puissent scanner des images et les comparer avec une base de données regroupant plus de 300 000 visages.
Depuis juin dernier, Chris Adzima, un analyste spécialisé dans les systèmes informatiques pour le sheriff du conté de Washington, entretient un blog portant sur les services internet d’Amazon. Il détail des cas dans lesquels Rekognition a été utilisé. Par exemple, lorsqu’un voleur est parti d’un magasin de bricolage sans payer, les images ont été traitées par les systèmes de reconnaissance faciale et qui ont trouvé quatre personnes avec une ressemblance à plus de 80 %. L’u d’eux affichait un score plus élevé que les autrs, et lorsqu’un enquêteur a mené une recherche sur les réseaux sociaux, il a trouvé une photo où le suspect portait le même sweatshirt que dans le magasin de bricolage.
« Nous avons d’autres exemples. Une caméra de surveillance a filmé un homme utilisant une carte de crédit qui a par la suite fait l’objet d’une déclaration de vol, explique Chris Adzima. À cause de la mauvaise qualité de l’image et du grand angle, il était assez difficile d’identifier la personne à l’œil nu. Lorsque nous l’avons passé dans Rekognition, nous avons eu un résultat avec plus de 95 % de ressemblance. »
À Orlando, en Floride, on se sert de Rekognition pour trouver des « personnes d’intérêt » en utilisant les caméras de surveillance de la ville. Dans une vidéo postée ce mois-ci sur YouTube, Ranju Das d’Amazon affirme qu’à Orlando, le système pourrait même localiser le maire ou toutes les « personnes d’intérêt ». Cet outil est également disponible pour surveiller sa propre maison.
« Une surveillance de masse abordable »
Les détails de l’accord avec la police d’Orlando indiquent qu’Amazon a adopté son modèle commercial habituel avec Rekognition : commencer bon marché et attendre que les clients viennent. Pour le traitement de 30 989 images, la police n’a dû payer que 30,99 $, à en croire un document obtenu par ACLU.
« C’est une machine de surveillance de masse très abordable, et c’est justement en partie pourquoi je suis inquiet », a déclaré à Forbes Matt Cagle, l’avocat d’ACLU. « Cette société qui s’est construite autour du client vient d’entrer sur le marché de la surveillance ».
Il ajoute que les outils marketing d’Amazon semblent pouvoir fournir un système de surveillance à un état « autoritaire » et qu’il faut également se poser des questions concernant les autres grandes entreprises spécialisées dans les tech, qui lancent des services de reconnaissance faciale similaires. « Les utilisateurs d’Amazon ont raison d’être surpris par le fait qu’ils font dorénavant partie d’un nouvel ensemble de consommateurs, de gouvernements qui veulent s’en servir pour la surveillance ». Matt Cagle prévient que Rekognition pourrait être utilisé pour suivre des manifestants, des migrants ou les habitants de quartiers entiers.
Certains acteurs du secteur de la surveillance sont intrigués par la possibilité qu’Amazon s’introduise sur ce marché. Zak Doffman, PDG de l’entreprise britannique de reconnaissance facile Digital Barriers, a même affirmé vouloir établir un partenariat avec Jeff Bezos : « Amazon deviendra une vraie menace pour les autres acteurs du marché, où toutes les vidéos de bonne qualité peuvent être chargées sur le centre ou le cloud ».
Mais cela ne signifie pas pour autant qu’il n’est pas inquiet concernant la sécurité de tous ces visages et des données associées stockées sur le cloud d’Amazon : « Là où toutes les informations personnelles sont traitées dans un cloud central, l’utilisation et le stockage de ces données, après les problèmes rencontrés récemment par Facebook et Google, sont les points clés sur lesquels Amazon devra travailler. S’il subsiste des inquiétudes en matière d’éthique, elles proviendront du stockage et de l’utilisation de ces données ».
La réponse d’Amazon
Un porte-parole d’Amazon a fait savoir à Forbes que l’entreprise étudiera les cas d’utilisation et lorsqu’elle jugera l’usage abusif, elle interdira au client en question d’accéder à Rekognition.
« En tant que technologie, Rekognition présente plusieurs applications utiles dans la vraie vie (par exemple, de nombreuses agences ont utilisé Rekognition pour retrouver des personnes enlevées, les parcs d’attraction utilisent le système pour retrouver les enfants égarées) », expliquait le porte-parole de l’entreprise. « Et, l’utilité de tels services reposant sur l’intelligence artificielle ne feront qu’augmenter car de nombreuses entreprises commenceront à utiliser des technologies sophistiquées comme Amazon Rekognition dans les années à avenir. Notre qualité de vie serait bien pire aujourd’hui si nous rendions illégales les nouvelles technologies juste parce que certaines personnes pourraient en faire un usage abusif. Imaginez que les consommateurs ne puissent pas acheter d’ordinateurs parce qu’ils pourraient l’utiliser à des fins illégales ? Comme pour tous nos services Amazon Web, nous demandons à nos utilisateurs de respecter la loi et de faire un usage responsable de Rekognition ».
https://www.forbes.fr/business/amazon-un-outil-de-surveillance-de-masse/
J’ai compris quelque chose : on peut s’aimer et être incompatible. Quand ce n’est pas fluide, ce n’est pas fluide.
J’ai compris quelque chose : on peut s’aimer et être incompatible. Quand ce n’est pas fluide, ce n’est pas fluide.
Je n’y croyais pas quand on m’en parlait
Quand on me disait : c’est juste simple, facile, naturel
Je n’y croyais pas quand on me disait
Il n’y a pas de compromis à faire, on trouve un terrain où les deux sont heureux
Je n’y croyais pas quand on m’affirmait
Oh le sexe c’est la meilleure chose du monde !
Je n’y croyais pas, car je n’avais pas appris ça.
J’avais appris que dans une relation, c’est normal d’avoir des drames et des conflits
Que s’il n’y en a pas, presque, tu t’ennuie
J’avais appris que c’était normal de faire des compromis, de se plier en quatre, pour rendre l’autre heureux
J’avais d’ailleurs appris que c’était ça l’objet d’une relation : rendre l’autre heureux
J’avais appris qu’on devait passer tout notre temps ensemble
Et que quand je n’avais pas envie, j’étais une mauvaise personne.
Que je n’aimais pas assez. J’avais appris qu’aimer c’était s’accrocher à tout prix, le contraire de la liberté.
Alors, ces couples heureux où les choses sont simples et fluides,
Au début je ne les voyais pas. Eh puis peu à peu j’ai réalisé que… Dormir dos à dos plusieurs fois par semaine suite à une dispute : ce n’est pas normal.
Bouder, ou voir l’autre bouder car on n’a pas répondu à ses attentes : ce n’est pas normal.
Ne pas pouvoir exprimer qui on est, ne pas pouvoir dire ce que l’on veut, pour ne pas blesser l’autre : ce n’est pas normal.
Se refuser d’être heureux pour ne pas envoyer à l’autre sa misère : ce n’est pas normal.
Pleurer une fois par semaine au moins, à chaudes larmes et le coeur serré sans savoir pourquoi : ce n’est pas normal.
Et le réflexe qu’on a, c’est regarder ce qui cloche chez nous.
C’est regarder ce qu’on ne fait pas encore assez bien.
C’est du coup travailler et lutter et pousser. Mettre en place des choses pour que ça aille mieux.
On essaie, on essaie.
On mouline, on mouline.
J’ai compris quelque chose : on peut s’aimer et être incompatible.
Quand ce n’est pas fluide, ce n’est pas fluide.
Une relation épanouissante est censée te porter.
Appuyer sur tes boutons certes, mais pour t’élever.
Une relation épanouissante, c’est une relation dans laquelle tu peux relâcher les épaules,
Te relaxer, être toi, en entier.
C’est un endroit où tu te sens comme à la maison.
Où tu sais que rien que tu ne puisses dire ou faire ne la fera exploser.
Dans une relation épanouissante, tu te sens en sécurité.
Cela ne veut pas dire que c’est tout rose, mais cela veut dire que tu as l’espace de te présenter en entier.
Tu as l’espace d’être toi, et pas seulement.
C’est encouragé !
La personne veut en savoir encore plus sur qui tu es,
Pour avoir encore plus à aimer.
Ca existe, c’est possible.
C’est cette personne qui est ton égal énergétique,
Eh bien quand tu la croiseras, tu te rendras compte que le reste des humains ne collerait pas !
Tellement elle est unique et spéciale et magique.
Tellement elle dit les choses qui font s’ouvrir ton coeur.
Avec elle, tes gardes tombent.
Et plutôt que d’essayer d’être quelqu’un d’autre pour l’accommoder,
Tu es encore plus toi pour l’encourager.
C’est possible d’attirer ça.
C’est même possible de transformer les relations que l’on a pour qu’elles deviennent fluides.
Mais cela commence par soi.
Cela commence par s’aimer soi, tel qu’on est.
Cela commence à s’accepter soi, tel qu’on est.
Avec notre passé, nos erreurs, nos défauts, nos qualités.
Cela commence par soigner ses blessures de façon à ce qu’il y ait moins de brèches dans lesquelles se faufiler.
Cela passe par devenir quelqu’un de complet, d’entier.
Avant d’avoir des exemples de relations fluides,
Je croyais ce que me disaient les films
Que les drames, les stratégies et les mensonges étaient la norme.
Que sans cela, on s’ennuyait.
Aujourd’hui j’apprécie le calme, la douceur, la simplicité, je peux juste être moi.
Je nous souhaite à tous de créer cela.
Que l’on soit en exploration ou déjà engagé dans une relation.
Parce que c’est possible.
Et c’est à portée et c'est ce que je vais faire
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