Imagine Dragons - Demons

Imagine Dragons - Demons





When the days are cold
And the cards all fold
And the saints we see
Are all made of gold
Lorsque les jours sont froids
Et toutes les cartes jetées
Et les saints que l'on voit
Sont tous faits d'or

When your dreams all fail
And the ones we hail
Are the worst of all
And the blood’s run stale
Quand tous tes rêves échouent
Et que les seuls qui nous tombent dessus
Sont les pires de tous
Et que le sang s'est figé
I want to hide the truth
I want to shelter you
But with the beast inside
There’s nowhere we can hide
Je veux cacher la vérité
Je veux te protéger
Mais avec ce monstre à l'intérieur
Il n'y a nulle part où se cacher
No matter what we breed
We still are made of greed
This is my kingdom come
This is my kingdom come
Peu importe ce que l'on engendre
On reste fait d'avidité
C'est la fin pour moi
C'est la fin pour moi
When you feel my heat
Look into my eyes
It’s where my demons hide
It’s where my demons hide
Don’t get too close
It’s dark inside
It’s where my demons hide
It’s where my demons hide

Lorsque que tu sens ma chaleur
Regarde dans moi dans les yeux
C'est là que se cachent mes démons
C'est là que se cachent mes démons
Ne t'approche pas trop
C'est sombre à l'intérieur
C'est là que se cachent mes démons
C'est là que se cachent mes démons

At the curtain’s call
It's the last of all
When the lights fade out
All the sinners crawl
Le rappel
Est le dernier de tous
Lorsque les lumières s'évanouissent
Tous les pêcheurs s'avancent lentement

So they dug your grave
And the masquerade
Will come calling out
At the mess you made
Alors ils creusent ta tombe
Et la mascarade
Viendra en criant
Après la pagaille que tu as mis

Don’t want to let you down
But I am hell bound
Though this is all for you
Don’t want to hide the truth
Je ne veux pas t'abandonner
Mais je suis limité à l'enfer
Même si c'est tout ce que j'ai pour toi
Je ne veux pas cacher la vérité

No matter what we breed
We still are made of greed
This is my kingdom come
This is my kingdom come
Peu importe ce que l'on engendre
On reste fait d'avidité
C'est la fin pour moi
C'est la fin pour moi

When you feel my heat
Look into my eyes
It’s where my demons hide
It’s where my demons hide
Don’t get too close
It’s dark inside
It’s where my demons hide
It’s where my demons hide

Lorsque que tu sens ma chaleur
Regarde moi dans les yeux
C'est là que se cachent mes démons
C'est là que se cachent mes démons
Ne t'approche pas trop
C'est sombre à l'intérieur
C'est là que se cachent mes démons
C'est là que se cachent mes démons

They say it's what you make
I say it's up to fate
It's woven in my soul
I need to let you go

Ils disent c'est ce que tu fais
Je dis c'est le destin qui veut ça
C'est inscrit dans mon âme
J'ai besoin de te laisser partir
Your eyes, they shine so bright
I want to save their light
I can't escape this now
Unless you show me how
Tes yeux, ils brillent tellement
Je veux préserver leur éclat
Je ne peux pas y échapper pour le moment
Sauf si tu me montres comment

When you feel my heat
Look into my eyes
It’s where my demons hide
It’s where my demons hide
Don’t get too close
It’s dark inside
It’s where my demons hide
It’s where my demons hide
Lorsque que tu sens ma chaleur
Regarde moi dans les yeux
C'est là que se cachent mes démons
C'est là que se cachent mes démons
Ne t'approche pas trop
C'est sombre à l'intérieur
C'est là que se cachent mes démons
C'est là que se cachent mes démons


Une chambre à soi

Une chambre à soi (titre original : A Room of One's Own1) est un essai pamphlétaire de Virginia Woolf, publié pour la première fois en 1929. Il se base sur plusieurs conférences données par Woolf en octobre 1928 dans deux collèges de l'université Cambridge qui étaient alors réservés aux femmes, Newnham College et Girton College.
Le sujet principal de ce texte est la place des auteurs de sexe féminin dans l'histoire de la littérature. Woolf se penche sur les facteurs qui ont empêché l'accession des femmes à l'éducation, à la production littéraire et au succès. L'une de ses thèses principales, qui a donné son titre à l'ouvrage, est qu'une femme doit au moins disposer « de quelque argent et d'une chambre à soi » si elle veut produire une œuvre romanesque.
Ce texte est considéré comme tenant une place importante dans l'histoire du féminisme



https://fr.wikipedia.org/wiki/Une_chambre_à_soi

Muse & méditation : j’ai testé la méditation « connectée »

J'ai testé Muse (de la société Choose Muse), un objet connecté permettant de s'initier et de se perfectionner aux techniques de méditation. Un appareil surprenant, puisqu'il est capable de lire dans tes pensées. Enfin… presque.

Mais avant que les mauvaises langues se délient, je précise que cet article n'est pas sponsorisé. Je parle de ce produit car je l'ai testé, qu'il fonctionne, qu'il me plait et qu'il peut t'intéresser.

J'ai commencé à pratiquer la méditation au lycée, rendu curieux par un bouquin offert par mes collègues. 10 ans plus tard, je reste en phase avec certains enseignements de ce livre, sortis tout droit d'un film d'Arts martiaux : « lacher prise, faire le vide, vivre l'instant présent... »







OK là je te vois venir : « Ouaaaaah il est perché ! "......C'est simplement des exercices mentaux qui aident à rester concentré et à vivre plus sereinement. Et tu ne vas rire mais… ça fonctionne.

Peut être que je serai plus crédible avec quelques chiffres. La méditation m'a permis d'améliorer mes performances en apnée. En pratiquant des exercices réguliers j'ai littéralement explosé mon ancien record personnel d'apnée statique en passant de 3min20sec à 4min. Je suis encore loin des 10 minutes d'apnée, mais la méditation devrait encore me permettre de progresser, une poignée de secondes après l'autre. Bref, revenons au sujet principal de cet article.

Muse, premier assistant personnel de méditation
Muse ? Ce n'est pas seulement groupe de rock britannique. C'est également le premier objet connecté grand public capable d'analyser l'activité cérébrale pour pratiquer la méditation. Une fois posé sur la tête, les capteurs de Muse détectent l'activité cérébrale, qui s'affiche sous la forme d'un électroencéphalogramme et de graphiques de type « camembert ».

Pour utiliser Muse, il faut le connecter en Bluetooth à un smartphone après y avoir installé l'application Muse. Ensuite, c'est très simple : il suffit de démarrer une session de méditation et de se laisser guider par l'ambiance sonore. Si tu réussis à faire le vide dans tes pensées, Muse diffuse dans le haut-parleur de ton smartphone (ou dans tes écouteurs) un son relaxant et léger : le clapotis de vaguelettes qui s'étalent au bord d'un lac, le chant d'oisillons... Par contre, dès que ton esprit se met à vagabonder (en pensant au temps qui passe, à ton envie de te gratter le dos, à la liste de tes prochaines courses… etc.) Muse détecte ton changement d'activité cérébrale et l'ambiance sonore diffusée devient de plus en hostile : rafales de vent, au tonnerre qui gronde…

http://www.adiosparis.fr/2016/materiel/muse-meditation-objet-connecte

Marketing automation

Le marketing automation fait référence à l'ensemble des techniques et des outils permettant d’automatiser les tâches régulières et répétitives considérées faible valeur ajoutée et à fournir des outils analytiques aux départements marketing (email, social media, website, etc.)
Le marketing automation désigne en particulier les techniques et outils permettant d’automatiser les tâches répétitives en déroulant des scénarios marketing préconçus, dans le but de stimuler le prospect dans l’avancement de son processus d’achat1.

Ainsi l’avantage d'une solution de « marketing automation » est d’améliorer la productivité des équipes marketing en leur permettant de traiter les dizaines ou centaines de leads générés en quelques jours par une campagne.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Marketing_automation



le marketing automation envoie des emails automatiques et ciblés (one to one), déclenchés par des actions précises de vos contacts. Il s’agit donc de messages plus opportuns et calibrés individuellement pour chaque utilisateur en fonction de son progrès dans le parcours client

Surtout, le marketing automation ne se limite pas à l’envoi d’emails : vous pouvez également l’utiliser pour ajouter automatiquement vos contacts à des listes d’envoi spécifiques en fonction de leurs actions, leur attribuer un score dans votre base de donnée, et bien d’autres façons d’affiner votre relation avec vos utilisateurs les plus engagés.

Comment ça marche ?
La première étape pour automatiser une tâche est de mettre en place un scénario, aussi appelé workflow.

Chaque scénario commence par un point d’entrée, qui correspond à la condition de déclenchement du scénario. Par exemple, le point d’entrée peut être l’inscription d’un nouveau contact sur votre site ou encore l’ajout d’un produit au panier.

Une fois qu’un de vos contacts entre dans un scénario que vous avez programmé, celui-ci se déroule soit de manière linéaire, soit en fonction de connecteurs d’implication (« si / alors ») qui le séparent en deux branches pouvant elles-même se ramifier à leur tour.

Ça vous parait abstrait ? Ne sortez pas l’aspirine tout de suite…

Chaque workflow est composé de différents cas de figures en fonction d’une question très simple : ce contact répond-il à la condition x ?. Si la réponse est oui, le contact emprunte la branche correspondante du scénario. Si c’est non, l’autre branche du scénario s’active.

Les conditions qui vont déclencher tel ou tel déroulement du scénario peuvent être de deux types :

Identité : ces conditions utilisent les informations récoltées dans votre base de données utilisateurs. Par exemple, l’utilisation des dates de naissance de vos contacts pour leur envoyer un email le jour de leur anniversaire.

Comportement : correspondant à un certain type de comportement ou à une action (action sur votre site, ouverture d’un email…). Par exemple, envoyer une invitation à une vente privée aux clients qui ont acheté au moins x produits au cours des x derniers mois.
En fonction du résultat de chaque condition (oui ou non), vous pouvez déclencher différentes actions envers chaque contact :

Lui envoyer un message automatique,
L’ajouter à une nouvelle liste d’emails,
lui attribuer des points pour votre lead scoring…
Vous pouvez également ajouter les timings et des délais de votre choix. Par exemple, si vous programmez une série d’emails de bienvenue, vous pouvez spécifier que votre contact recevra immédiatement un premier email, puis un deuxième une semaines après, et ainsi de suite.

En résumé
Voici ce que vous devez retenir :

Le marketing automation consiste à automatiser les tâches répétitives qui peuvent être basées sur des conditions prédéfinies : qualification des leads, relance de panier abandonné, etc
Ces tâches automatisées sont programmées au sein de scénarios ou workflows
Les contacts entrent dans un scénario à partir d’un point d’entrée
Ils sont ensuite filtrés en fonction de conditions qui prennent en compte leur identité (genre, age, nombre d’achats…) ou leurs actions
Les scénarios consistent à accomplir différentes tâches en fonction des caractéristiques de chaque contact
Vous devriez désormais avoir une meilleure compréhension de ce qu’est le marketing automation et de comment il peut vous aider à développer votre business.

La question qui vient est : quel logiciel de marketing automation choisir ? Vous remarquerez vite que beaucoup de solutions restent très chères et ne visent que les grosses entreprises. Sendinblue offre un outil plus abordable et facile d’utilisation, sans sacrifier aucune fonctionnalité.


https://fr.sendinblue.com/blog/marketing-automation-definition/

Don't Grow Up, it's a trap

Don't Grow Up, it's a trap :)


Bled : une image du paradis

Aller en Slovénie est dans ma to do list :) I feel Love, I feel Slovenia

Le lac alpin de Bled, avec l'unique île de la Slovénie, est une villégiature mondaine depuis des siècles. Il enchante par ses beautés naturelles, ses histoires du passé et son énergie étonnante, véritable source de bien-être. Contemplez la vue sur le lac dominé par le château sur son éperon rocheux, et partez sur l'île à bord d'une pletna, la gondole traditionnelle de Bled.



Au lac de Bled, pour exaucer les vœux
Depuis des siècles, les pletna de Bled, les traditionnelles gondoles de bois entraînées par des bateliers qui pagayent debout, conduisent les visiteurs sur l'île au milieu du lac. Après avoir débarqué, les visiteurs montent les 99 marches de l'escalier qui mène à l'église de l'Assomption. Sur cette île entourée d'histoires légendaires, écoutez la cloche de l'église et faites-la sonner vous-même. D'après l'une des légendes qui habitent les lieux, la cloche exaucera vos vœux. Après votre retour, allez admirer l'île du lac depuis le château et depuis les promenades et pistes empruntées par les fiacres. Laissez-vous conduire par les fiacres de Bled !



https://www.slovenia.info/fr/destinations/attractions/bled

Google développerait Google Coach

Selon Android Police, Google serait en train de développer Google Coach, un service de coach virtuel, recoupant toutes les données que l’entreprise possède sur les utilisateurs. Ce service devrait d’abord arriver sur les montres connectées.



Google continue de s'occuper de vous. Après Android Pie qui encourage à la déconnexion, le géant de la Silicon Valley s'attaquerait désormais à votre santé et votre condition physique. Selon Android Police, Google développerait ainsi un service transverse, recoupant tout ce que Google sait sur vous, afin de vous aider à adopter un mode de vie sain. Et autant dire que Google sait beaucoup de choses sur vous. Ce service, nommé "Google Coach", prendrait ainsi en main vos habitudes sportives, alimentaires et même médicales.
Un assistant virtuel de vie saine
La où Google Fit se contentait de compter les pas et de fournir un suivi de l'activité physique, Google Coach irait beaucoup plus loin. Selon Android Police, ce nouveau projet vous recommandera des routines sportives, des salles de sport près de chez vous et analysera vos progrès. Si jamais vous manquez une séance, il ira voir dans votre calendrier où caler une session de remplacement.



Ce nouveau service se chargerait également de votre régime alimentaire. Toujours en utilisant votre GPS et en analysant votre location et vos trajets quotidiens, il vous conseillera des restaurants qui proposent de la nourriture saine. Si vous préférez manger chez vous, il pourra vous dresser un planning des repas de la semaine ainsi qu'une liste de courses à faire. Il vous enverra ensuite tout cela par e-mail afin que vous en gardiez une trace. Enfin, ce coach virtuel vous enverrait également une série de conseils le matin, vous rappelant de prendre vos médicaments, de marcher tant de pas ou de boire de l'eau.


Selon Android Police, Google Coach devrait arriver dans un premier temps sur les montres connectées Android, équipées du Wear OS. Une hypothèse plus que probable tant Google doit innover sur ce marché, où il stagne depuis longtemps. Une version smartphone devrait aussi voir le jour. Android Police affirme d'ailleurs que Google réfléchit à adapter son projet pour Android TV et Google Home.

https://www.lesnumeriques.com/montre-connectee/google-developperait-google-coach-n77195.html

Google DeepMind : Son IA Peut Détecter 50 Maladies Oculaires Et Sauver Votre Vue

DeepMind, une société d’intelligence artificielle appartenant à Google, a mis au point un système d’IA capable d’identifier avec précision 50 types différents de maladies oculaires. Le système, capable d’analyser les scans 3D de la rétine pour détecter les signes précurseurs de glaucome, de maladie oculaire diabétique et de dégénérescence maculaire, a été développé grâce à un partenariat de recherche avec l’hôpital Moorfields Eye à Londres, au cours des 18 derniers mois. L’IA, capable d’identifier avec justesse les différents types de maladie grâce aux analyses OCT 94,5% du temps, a appris à détecter les maladies oculaires en étudiant environ 15 000 examens oculaires d’anonymes. Les résultats de l’essai ont été publiés dans la revue Nature Medicine, lundi.




Le co-fondateur de DeepMind, Mustafa Suleyman, à la tête de DeepMind Health, a déclaré sur Internet que ce système d’IA pourrait aider à sauver la vue des gens, ajoutant qu’il pourrait un jour être déployé dans les hôpitaux du monde entier.

« Notre système d’IA peut interpréter rapidement, avec une précision sans précédent, les radiographies les plus courantes concernant les yeux. Il peut recommander correctement différents traitements aux patients, sur la base de 50 maladies oculaires menaçant leur vue, et ce avec autant de précision que les plus grands spécialistes » a-t-il écrit sur le blog de DeepMind.
Et d’ajouter : « Ce ne sont que des résultats préliminaires, mais ils montrent déjà que notre système peut gérer une grande variété de patients dans les examens de routine. À long terme, nous espérons que cela aidera les médecins à prioriser rapidement les patients nécessitant un traitement urgent ».
DeepMind a l’intention de laisser les hôpitaux du NHS (pour National Health Service) utiliser gratuitement une version validée de cette technologie pendant cinq ans, à condition que le logiciel respecte toutes les autorisations réglementaires nécessaires.
Le Dr Pearse Keane, un ophtalmologue consultant à Moorfields (Londres), a déclaré dans un communiqué de presse: « Le nombre de scanners oculaires que nous effectuons augmente à un rythme beaucoup trop rapide pour que les experts humains soient capables de tous les interpréter en temps et en heure. Cela peut causer des retards de diagnostic et donc des retards dans le traitement de maladies menaçant la vue des patients ».
« Si nous pouvons diagnostiquer et traiter rapidement les problèmes oculaires, cela nous donne de meilleures chances de sauver la vue d’un patient. Avec des recherches plus poussées, cela pourrait améliorer la cohérence et la qualité des soins pour les patients ayant des problèmes oculaires, à l’avenir », a-t-il précisé.
Monétisation
Le travail de DeepMind avec le NHS a mal commencé après que le Bureau du Commissaire à l’information (ICO), le responsable britannique des données, ait jugé qu’un essai de l’IA avec le Royal Free NHS Foundation Trust n’était pas conforme à la loi sur la protection des données. Plus précisément, l’ICO a déclaré qu’environ 1,6 million de dossiers de patients sensibles avaient été mal traités et que les patients n’étaient pas suffisamment informés que leurs données seraient utilisées dans le cadre de ce test.
Mais DeepMind considère les soins de santé comme un domaine prêt à être révolutionner et il considère probablement le NHS comme une source potentielle majeure de revenus, même s’il ne l’admettra jamais ouvertement. Il accuse déjà certaines organisations du NHS d’avoir accès à différents produits DeepMind et la technologie du scanner oculaire pourrait devenir très lucrative si elle était déployée à grande échelle.
Google aurait déboursé 400 millions de livres sterling pour acquérir DeepMind en 2014, mais l’expansion agressive du laboratoire d’IA signifie qu’il fonctionne actuellement à perte, selon les plus récents documents déposés auprès de Companies House. En 2016, l’entreprie a enregistré une perte totale de 164 millions de livres sterling, une augmentation significative par rapport à la perte de (seulement) 54 millions de livres sterling, enregistrée en 2015.
La majorité des dépenses de DeepMind ont été consacrées au recrutement du plus grand nombre possible de chercheurs mondiaux dans le domaine de l’apprentissage automatique. En 2016, alors qu’il employait environ 600 personnes, il dépensait 104,8 millions de livres pour « les coûts de personnel et autres coûts connexes ».
Un rapport publié par The Information en avril dernier indiquait que certains membres de Google n’étaient pas satisfaits du manque de revenus de DeepMind.
Il convient néanmoins de noter que DeepMind a aidé le géant de la recherche dans un certain nombre de domaines. En juillet 2016, DeepMind a annoncé avoir développé un logiciel permettant à Google de réduire de 40% la quantité d’électricité utilisée par les unités de refroidissement dans ses centres de données. DeepMind IA a également aidé Google à rendre son service de synthèse vocale plus réaliste.

https://www.forbes.fr/technologie/deepmind-sauver-votre-vue/?cn-reloaded=1

Pourquoi je n'aime pas les fleurs coupées

Je n'aime pas les fleurs coupées parce qu'elles sont mortes, et je trouve tellement curieux d'offrir quelque chose de mort aussi beau soit t'il à quelqu'un de vivant. `
Je sais que ce n'est pas en phase avec les habitudes de notre société, et pourtant tout n'est pas perdu, j'adore les fleurs en pot.
Ma fleur préférée est le plumeria, qui est la fleur d'un arbre, plumeria ou frangipanier.
Elle est magnifique esthétiquement parlant, elle sent trés bon, elle reflète la lumière et grandis principalement dans les pays chauds, elle me rappelle Hawaii, il y en a partout là bas, mais aussi la Thailande. C'est une fleur reposante et qui me permet de voyager dans ma tête.
C'est cela le plus importante avec une fleur ce qu'elle évoque pour vous.



La vie est dure pour les rêveurs



A part of me will never grow up


Comment Utiliser Son Intelligence Emotionnelle En Entreprise ?

« Ne montre pas tes émotions sois fort ! » est une injonction parentale classique largement répandue dans nos pays industrialisés.
Sauf que l’émotion, nous en avons besoin en permanence ; c’est elle qui nous permet de fuir lorsqu’un danger se présente, c’est elle qui nous met en joie lorsque l’on reçoit une promotion… En latin, émotion vient de ex-movere, ce qui veut dire littéralement bouger en dehors. Elle nous met en mouvement et en relation. D’ailleurs, il est intéressant d’observer que le Forum Economique Mondial a évoqué cela. Les prévisions montrent que d’ici 2020 le top 10 des compétences demandées par les organisations sera de « se coordonner avec les autres, manager les personnes… et l’intelligence émotionnelle ». Mais qu’est-ce que l’intelligence émotionnelle, et surtout comment l’utiliser en entreprise ?

L’Intelligence Emotionnelle, que se cache-t-il derrière ces deux mots ?
Loin des fonctionnements logico-mathématiques, l’Intelligence Emotionnelle est avant tout la capacité de comprendre ses propres émotions et celles des autres.  C’est aussi la possibilité de gérer ses émotions et de les utiliser pour soi et pour les autres. Finalement, l’Intelligence Emotionnelle est la recherche du comportement ad-hoc face à une situation donnée. C’est détecter chez l’autre la facilité à se mettre sur la même fréquence qu’autrui pour rendre intelligible une situation parfois complexe. Par là-même, il faut comprendre qu’être intelligent émotionnellement c’est aussi être une personne douée d’adaptabilité.
Un rappel sémantique qui a son importance. Emotion ne veut pas dire affection, ni même sentiment ou humeur. Il ne faut pas mélanger ces termes qui n’ont pas la même acception. Donc, lorsque l’on parle d’émotion de quoi parle-t-on ? Paul Ekman psychologue américain qui travaille en étroite coopération avec le FBI et est conseiller scientifique pour la série tv Lie to Me, nous donne des clefs de compréhension. Pour cela, il a classé les émotions dites « premières » de manière très claire. Il y a : la peur, la joie, la tristesse, la surprise, le dégout, la colère. Alors que faire de tout cela en entreprise ? Ce qui est intéressant dans ses travaux, c’est la relation qu’il a faite avec les expressions du visage. On s’aperçoit qu’à chaque émotion correspond une expression qui permet de détecter avec plus ou moins d’exactitude dans quel « état » se trouve autrui. Très utile en entreprise pour repérer (avec un peu d’entrainement) ce qui se joue sur le plan de la communication non-verbale.
En fonction des époques, l’émotion n’est pas comprise de la même façon. Cependant, les travaux de Charles Darwin ont mis en lumière le fait que l’émotion est vitale et qu’elle donne des informations précieuses sur les relations humaines. On essaie de mesurer, d’évaluer, de chiffrer… l’intelligence. Les années 70 ont développé le Quotient Intellectuel avec pléthore de tests en tout genre pour infirmer ou confirmer un profil. Puis, dans les années 90, les organisations ont utilisé les tests dérivés de Binet en passant plus récemment par le WAIS-IV pour évaluer le niveau d’intelligence des futurs collaborateurs. Ensuite, leur ont succédé les tests de personnalité type SOSIE ou PAPI qui donnent plus d’humanité au recrutement. Dépassés, ces « examens » ont laissé place au QE. La notion de Quotient Emotionnel a été utilisé pour la première fois il y a une vingtaine d’années par Reuven Bar-On. Plus proche de nous, Daniel Goleman (psychologue américain et journaliste au NY Times NDLR) écrit Emotional Intelligence (1995 NDLR) où il traite de l’importance de développer sa capacité à mettre en mots ses émotions. Ces travaux et ses écrits (best-seller) ont permis d’installer cette pensée dans le domaine des RH et dans le milieu de l’entreprise. Dans la même dynamique, Mayer, Saovey et Caruso ont crée le test MSCEIT pour comprendre la personnalité de chacun autour de 4 compétences clefs : identifier, comprendre, utiliser et réguler les émotions. Aujourd’hui, le QE semble être le « Graal » de toute entreprise se voulant tournée vers l’humain.

L’intelligence Emotionnelle au service du Management…
En tant que Manager, il est essentiel de pouvoir accueillir et mettre en mots les émotions. Ce qui va permettre de mieux appréhender les déclencheurs responsables de telle ou telle émotion. Ainsi, il pourra évaluer les manifestations (corporelles la plupart du temps) de ces dernières. Par exemple, la gorge serrée exprimant la peur lors d’une prise de parole en public, ou encore le fait de claquer une porte de bureau exprimant la colère. L’essentiel ici est d’arriver à communiquer son vécu émotionnel, répondant à la question : qu’est-ce que je ressens ? Ou tourné vers l’autre : comment tu te sens ? que ressens-tu ?
D’autre part, le Manager doit être habile à comprendre l’émotion et arriver à la contextualiser, prenant en compte le fait qu’elle évolue dans le temps. A la manière d’une vague, l’intensité de l’émotion peut varier. Ce dont on est assuré en revanche, c’est qu’une fois arrivée cette vague disparait. Rien n’est figé !

Dans le process, une fois que l’on a compris ses émotions il va falloir les utiliser. Elles doivent devenir un ami pour performer. Par exemple, la joie générée par la rencontre d’un nouveau potentiel gros contrat doit mettre la personne en vigilance en développant sa créativité. Et puis, il est essentiel d’être attentif au vécu de la journée. Si la matinée a été émaillée de difficultés impactantes émotionnellement, il est peut-être judicieux (si cela est possible) d’aménager l’emploi du temps de l’après-midi. Ceci permettant de garder son sang-froid et sa clairvoyance.
On peut aussi envisager de modifier son état par rapport aux émotions vécues. Il est possible d’influencer le rapport aux émotions : la peur d’être submergé(e) par un calendrier trop dense ? Faites une « to do list ». Cela parait simpliste, et pourtant les conséquences peuvent être positives, permettant ainsi de prioriser son agenda. De la même manière, il est possible d’être attentif à ses propres réactions. Le Manager doit donc être son propre garde-fou en identifiant les scénarios répétitifs. À tout moment, on peut prendre le contrôle et ce, même lorsque l’on semble être pris dans une « tempête » émotionnelle.
Par conséquent, il est utile de pratiquer le lâcher-prise et s’installer dans l’ici et maintenant. Ceci va permettre de sérier le potentiel émotionnel de l’équipe en cas de grands bouleversements, et d’intégrer l’ensemble des enjeux pas toujours forcément verbalisés. Pour cela, la confiance est un des éléments clefs de ce type d’approche managériale. De plus, l’assertivité et la tenue de la posture de Manager doivent être impeccables afin d’être le mieux comprises par ses équipes et de mieux gérer, voire de désamorcer, les conflits. Le Manager doit travailler sur l’exactitude des mots utilisés afin d’exprimer au mieux ses besoins et ses attentes. Si le Manager doit faire un feed-back négatif à un collaborateur, le faire sans jugement simplement en restant factuel et en exprimant ses attentes pour la prochaine fois.
Dernier point : prenez soin de vous, déconnectez et célébrez avec vos équipes de temps en temps ! RES-PI-REZ,  RA-LEN-TI-SSEZ… Et surtout parlez… Mettez des mots sur vos maux auprès d’un collègue ou de votre n+1, cela permet aussi de prendre du recul.
L’Intelligence Emotionnelle, une vision commune !
Il est évident que l’entreprise doit elle aussi s’inscrire dans l’acceptation des émotions. En effet, cette volonté doit être portée par tous. L’Intelligence Emotionnelle en entreprise se traduit en mettant l’humain au centre de la réflexion. Il est demandé aux Managers d’être positif, devenant ainsi un levier motivationnel fort pour l’équipe. Ce qui se traduit par une vraie énergie émotionnelle au service de la mise en œuvre de la stratégie choisie par le décideur.
L’idée est de rester à l’écoute et ouvert aux idées différentes. D’avoir la capacité de revoir ses positions, de se remettre en cause à tout moment… L’émotion va donner la possibilité d’impacter la performance individuelle et collective. Le Manager va prendre en compte la dimension émotionnelle de chacun et de son équipe. En accompagnant son équipe dans le changement et parfois la réorganisation. Pour cela le manager doit développer son authenticité et la justesse auprès des équipes.
Les nouveaux modèles managériaux sont de plus en plus transverses. Le Manager doit être humain, empathique et à l’écoute de ses équipes.  Les émotions ont des conséquences intra et inter-personnelles. Mais ne rêvons pas les organisations ! Les émotions en entreprise sont parfois cachées et négatives. Le Manager va devoir développer des outils de désamorçage, prenant en compte que l’autre n’est pas moi. Ce qui veut dire qu’il réagit avec son système de croyances, de valeurs et d’expériences propres. D’où l’importance de faire fonctionner son Intelligence Emotionnelle et sa partie empathique : comment aurais-je réagi dans sa situation ? Qu’aurais-je dit à sa place ? C’est vrai, cela demande un effort, mais une fois mis en place, cela se fait automatiquement. L’émotion est la base de la relation humaine et sociale. Aussi l’ensemble des décisions managériales prises en entreprises sont forcément teintées d’émotions dans lesquelles le Manager se trouve à l’instant T. Pour exemple, l’Intelligence Emotionnelle est de répondre, à chaud, à un mail qui génère de la contrariété et de le mettre tout de suite dans le dossier brouillon. Le lendemain ouvrir ce mail et comprendre a posteriori que l’envoyer tel que n’était pas la meilleure des solutions !

https://www.forbes.fr/management/comment-utiliser-son-intelligence-emotionnelle-en-entreprise/

Posséder Ou Vivre Des Expériences : Résultat d’Une Etude Sur La Possession

Lorsque l’on travaille dur chaque jour de la semaine, et qu’il ne reste pas grand chose sur le compte en banque après les dépenses de nécessité, il faut s’assurer que cet argent soit bien dépensé. Il faudrait dépenser nos fonds limités dans ce qui, selon la science, nous rendrait heureux. C’est là qu’intervient le phénomène de possession.
Le paradoxe des possessions

Une étude menée pendant 20 ans par un professeur de psychologie de la Cornell University, Dr Thomas Gilovich, a abouti à une conclusion claire et détonante : nous ne devrions pas dépenser notre argent pour des choses matérielles. L’ennui, avec les objets, c’est que le bonheur qu’ils produisent s’évanouit rapidement. Trois observations critiques viennent expliquer cet effet.
Nous nous habituons aux nouvelles possessions. Ce qui de prime abord était neuf et excitant entre rapidement dans la norme.

Nous ne pouvons nous arrêter de placer la barre plus haut. Les nouveaux achats engendrent de nouvelles expectatives. Dès que nous nous accoutumons à une nouvelle possession, nous en recherchons une autre, encore meilleure.

Nous trouvons toujours un point de comparaison. Les possessions, par nature, suscitent la comparaison. Nous achetons une nouvelle voiture et nous en sommes ravis jusqu’à ce qu’un ami en achète une meilleure, ce qui ne tarde jamais d’arriver puisqu’il se trouve toujours quelqu’un qui a les moyens de nous surpasser matériellement.

“L’un des ennemis du bonheur est l’adaptation”, explique le professeur Gilovich. “Nous achetons des choses pour faire notre bonheur, et nous y parvenons. Mais seulement pour un temps. Les nouvelles acquisitions sont excitantes pour nous au départ, jusqu’à ce que nous nous y adaptions”. Le paradoxe des possessions est que nous considérons que le bonheur reçu par le biais d’un achat va durer aussi longtemps que l’objet lui-même. Il semble évident qu’investir dans une chose que nous pouvons voir, entendre et toucher de manière permanente est le meilleur des investissements. C’est une erreur de penser ainsi.

La force des expériences
Gilovich et d’autres chercheurs ont découvert que les expériences, aussi brèves qu’elles puissent être, résultent en un bonheur plus durable que celui provoqué par les objets. Tentons de comprendre pourquoi.
Les expériences deviennent une part de notre identité. Nous ne sommes pas nos possessions, mais nous sommes l’accumulation de tout ce que nous avons vu, des choses que nous avons faites, et des endroits où nous sommes allés. Acheter une Apple Watch ne changera pas ce que vous êtes ; en revanche, prendre une pause loin du travail pour une randonnée dans les Basses Gorges du Verdon le fera certainement.

“Nos expériences sont une part de nous-mêmes bien plus grande que ne le sont nos possessions matérielles”, observe Gilovitch. “Il se peut que vous aimiez beaucoup ce que vous possédez. Il se peut même que vous pensiez qu’une partie de votre identité est liée à ces choses, mais elles n’en demeurent pas moins séparées de vous. En opposition, vos expériences représentent vraiment une partie de vous. Nous sommes la totalité de nos expériences.”

Les comparaisons importent peu. Nous ne comparons pas les expériences de la même manière que nous comparons les objets. Dans une étude d’Harvard, lorsqu’il a été demandé à des personnes si elles préféreraient avoir un salaire élevé qui serait plus bas que celui des gens de leur âge, ou un salaire bas qui serait plus élevé que celui des gens de leur âge, une bonne partie des interrogés n’étaient pas sûrs de leur réponse. Mais lorsqu’il leur a été posé la même question au sujet de la longueur de leurs vacances, la plupart a choisi de plus longues vacances, même si elles étaient plus courtes que celles des autres. Il est difficile de quantifier la valeur de deux expériences, ce qui rend les expériences plus appréciables.

L’anticipation importe.
Gilovich a également étudié le principe de l’anticipation, et a découvert que l’anticipation d’une expérience provoque de l’excitation et de la joie, alors que l’anticipation créée par l’attente d’une possession provoque de l’impatience. Les expériences sont appréciables dès le tout premier moment de leur organisation, et le sont toujours lorsqu’elles prennent la forme du souvenir que vous en retenez.

Les expériences sont instantanées (ce qui est une bonne chose).
Vous est-il déjà arrivé d’acheter quelque chose qui ne soit pas du tout aussi génial que ce à quoi vous vous attendiez ? Une fois que vous l’achetez, la chose reste là sous vos yeux, vous rappelant votre déception. Et même si un achat vous satisfait, les “regrets de l’acheteur” peuvent s’installer : “Oui, c’est sympa, mais ça ne valait probablement pas une telle dépense.” Cela ne nous arrive pas aussi souvent, avec les expériences. Le fait même qu’elles ne durent que pour un court moment participe du fait que nous leur accordons tant de valeur, et que cette valeur tend à augmenter avec le temps.
Ce qui perdure
Gilovich et ses collègues ne sont pas les seuls à croire que les expériences nous rendent plus heureux que les objets. Dr. Elizabeth Dunn, de l’University de la Colombie-britannique a également étudié le sujet. Elle associe le bonheur temporaire ressenti en achetant des choses à ce qu’elle appelle “des flaques de plaisir.”
En d’autres mots, il s’agit d’un genre de bonheur qui s’évapore rapidement et nous laisse sur notre faim. Les objets peuvent durer plus longtemps que les expériences, mais les souvenirs qui nous restent à l’esprit sont ce qui a le plus de valeur.

https://www.forbes.fr/management/posseder-ou-vivre-des-experiences-resultat-dune-etude-sur-la-possession/

10 phrases que j’ai dites et écrites cette semaine et que je ne veux pas oublier


1 Rappelle-toi que tu ne te laisseras pas tomber. Jamais.
2 La leçon n’est pas seulement d’apprendre de tes erreurs. La leçon c’est que tu as droit à l’erreur.
3 Ta capacité à créer est ta meilleure source sécurité et...
4 Si tu peux l’imaginer, alors tu peux le créer...
5 Donc autorise-toi à rêver grand, et autorise-toi à vouloir tout. Même quand ça se contredit.
6 Voir les choses du bon côté a ses limites: autorise-toi à dire que ça ne va pas.
7 La meilleure façon d’aider quelqu’un, c’est lui dire que tu as foi en SA capacité (dit dans une conversation privée)
8 Vouloir rester statique c’est mourir. Bouge. Suis le mouvement de l’énergie. Sois EN vie.
9 Et si je m’en fichais qu’on me prenne pour une folle hystérique ?
10 N’attend pas que le monde extérieur te donne la preuve de ta richesse. Tout est déjà là. Le tout est de le laisser se révéler à toi.



Le pouvoir du moment présent

Ce lundi, Anne Cazaubon nous parle du livre "Le pouvoir du moment présent", écrit par Eckhart Tollé, considéré comme l'un des papes du développement personnel.
Chaque jour, elle vient nous délivrer son antidote dont elle seule a le secret. Bonjour Anne Cazaubon !
Namaste ! Je rappelle, que c’est le mot que l’on emploie en Inde ou au Népal pour se saluer et qu’on pourrait le traduire par : "Je reconnais la lumière qui est en toi." Cela reste surtout l’une des plus belles manières d’entrer en lien avec l’autre. Ce n’est pas religieux, c’est spirituel.
Justement, aujourd’hui il est question de spiritualité…
On dit qu’on ne choisit pas un livre mais que c’est le livre qui nous choisit. Qu’il nous saute dans les mains, ou presque. Que quand plusieurs personnes vous parlent d’un auteur, certes il peut s’agir d’un effet de mode, mais peut-être que c’est aussi le signe que ce livre vient vous chercher, qu’il a un message pour vous. C’est exactement ce qui peut arriver avec le bestseller d’Eckhart Tollé : Le pouvoir du moment présent, l’un des ouvrages de référence de développement personnel, le genre de livre qui vous ouvre les yeux, que l’on vous offre et que vous vous mettez à offrir à la pelle autour de vous. Trois millions d’exemplaires vendus dans le monde et 35 millions d’internautes qui ont visionné ses webinaires, des conférences en ligne, réalisées avec Oprah Winfrey, star des talk-shows américains.
Eckhart Tollé est un Allemand, qui jusqu’à l’âge de 30 ans, a vécu dans un état presque permanent d’anxiété ponctué de périodes de dépression suicidaire. Bref, il ne pouvait plus vivre avec lui-même, comme ça peut arriver souvent à des gens très bien ! Une nuit, il a ressenti comme une "épiphanie", qui l’a laissé avec une question sans réponse : "Qui est ce 'JE' qui ne peut plus vivre avec son ego ? Et d’ailleurs : 'Qu’est-ce que l’ego ?'" À ce moment-là, il s’est senti plongé dans le vide et s’est réveillé le lendemain avec une paix intérieure. Plus du tout d’ego, et juste une sensation de présence, un "état d’être", observant et regardant ce qu’il y avait autour de lui, sans jugement, sans souffrance. Aujourd’hui, Eckhart Tollé a 69 ans, il vit au Canada et a tiré plusieurs livres de cette expérience unique. Il est devenu enseignant spirituel et est considéré comme l’un des papes du développement personnel.
Il était à Paris pour la première fois ce week-end…
Devant 3.000 personnes au Grand Rex, samedi soir, Eckhart Tollé est venu développer son propos et nous titiller un peu. Appuyer juste là où ça fait mal en nous parlant de notre égo qui grandit de plus en plus au fur et à mesure que l’on se plaint, que l’on dit du mal de l’autre. Parce que lorsque l’on se plaint du collègue névrosé, on ne fait que nourrir son égo, en se sentant supérieur ! De même, les discussions qui tirent vers le bas, qui sont responsables d’énormes souffrances. Vous savez, les : "Tu crois que ta vie est dure ? Attends un peu d’entendre la mienne !" Tous ces regrets liés au passé et toutes ces peurs du futur : "Quand j’aurai perdu cinq kilos, je serai heureuse, quand j’aurais un CDI, je pourrai prendre des vacances, quand les enfants seront grands, on pourra voyager à nouveau…" Enfin, dans Le pouvoir du moment présent, Eckhart Tollé s’intéresse à ce qui nous passionne : les relations amoureuses !
Alors, on le sait, au début, c’est l’idylle. Mais très vite, à moins d’être totalement éveillé, le lien peut virer à l’amour/haine. Sauf que plutôt que de reconnaître cet aspect dysfonctionnel, on préfère souvent reconnaître l’origine de la négativité chez notre partenaire plutôt que chez nous. Tu penses, c’est forcément de son côté qu’est le problème ! Alors oui, pour résumer la pensée d’Eckhart Tollé, "soyez aussi intéressé par ce qui se passe à l’intérieur de vous qu’à ce qui se passe à l’extérieur. Si vous remettez chaque pièce du puzzle à sa juste place à l’intérieur de vous, tout ce qui est à l’extérieur, va se poser à sa juste place !"


Intelligence artificielle : le combat sera sur le terrain de l'éthique

Des milliers d’experts en intelligence artificielle s’engagent à ne pas participer à la création d’armes
Elon Musk, les dirigeants de Google DeepMind et des milliers de chercheurs ont promis qu’ils ne s’impliqueraient pas dans le développement d’armes létales autonomes.

« La décision de prendre une vie humaine ne devrait jamais être déléguée à une machine. » Dans une lettre ouverte publiée mercredi 18 juillet, plus de 2 400 chercheurs, ingénieurs et entrepreneurs dans le secteur de l’intelligence artificielle (IA) se sont engagés à « ne jamais participer ou soutenir le développement, la fabrication, le commerce ou l’usage d’armes létales autonomes ».
Parmi les signataires, le PDG de Tesla, Elon Musk (connu pour ses déclarations alarmantes sur les dangers de l’IA), les dirigeants de Google DeepMind (l’entreprise de pointe à l’origine de la victoire de la machine sur l’humain au jeu de go), et d’éminentes personnalités du secteur, telles que Stuart Russell, Yoshua Bengio ou encore Toby Walsh.
« Nous appelons les gouvernements à bâtir un avenir encadré par des normes, des règles et des lois internationales solides contre les armes létales autonomes. Etant donné que cela n’existe pas encore, nous avons décidé de nous en tenir à ce principe. »
Le précédent Google
Les signataires appellent les entreprises du secteur à signer à leur tour cette lettre. Si les signatures de quelques employés de Google, d’Amazon et de Microsoft apparaissent, aucune ne vient de ceux de Facebook ou d’Apple.

La question de l’implication des chercheurs en intelligence arficielle, et notamment des entreprises du secteur, dans le développement d’armes, est revenue sur le devant de la scène en mars, quand les employés de Google ont appris que leur entreprise collaborait avec le Pentagone sur un projet d’analyse d’images filmées par les drones. Sous la pression, l’entreprise avait finalement mis un terme à ce projet, et annoncé dans la foulée une série de principes éthiques. Elle s’engageait notamment à ne pas mettre ses technologies d’IA au service de l’armement. Les autres se sont gardées de lui emboîter le pas.
Cette lettre, publiée sur le site du Future of Life Institute, un organisme états-unien à but non lucratif habitué aux mises en garde sur l’IA, vise à accentuer la pression, alors que se tient à Stockholm l’IJCAI, une grande conférence sur l’intelligence artificielle.

https://www.lemonde.fr/pixels/article/2018/07/18/des-milliers-d-experts-en-intelligence-artificielle-s-engagent-a-ne-pas-participer-a-la-creation-d-armes_5333024_4408996.html

Zone de confort : Osez en sortir

N'hésitez plus à rêver : changer c'est se developper

Avec cette vidéo ludique et pédagogique, vous comprendrez mieux le principe de "Zone de Confort", vous verrez comment pouvoir en sortir et quels sont les autres "Zones" qui existent autour de celle-ci. Vous comprendrez pourquoi il est souvent difficile d'en sortir et quels sont les choses extraordinaires qui peuvent arriver lorsque nous quittons cette "Zone"


Découvrez Auchan Box, le mini magasin 100% automatique ouvert 24h/24

Auchan Retail Chine a ouvert son premier Auchan Box à Shanghai. Ce magasin d'ultraproximité de 13 m² couvre les besoins immédiats, et surtout il est complètement phygital : il fonctionne sans personnel, l’identification et le paiement s’effectuant uniquement via le smartphone.




Un magasin sans personnel, ouvert 24h/24, ou l’on peut venir les mains dans les poches, sans porte-monnaie ni carte de paiement ? Et bien il existe vraiment, et ce n’est pas Amazon Go. C’est à Shanghai, dans le quartier de Yangpu, qu’Auchan Retail Chine a déployé depuis quelques semaines sa Auchan Box. Ce magasin d’ultraproximité au format container occupe, selon nos informations, une surface de 13 m². Outre son format, sa particularité est de fonctionner entièrement via le smartphone, sans personnel. En clair, le client débloque la porte d’entrée avec son téléphone via l’appli Auchan ou WeChat, très populaire dans le pays. Une fois entré dans les lieux, il fait son choix parmi 500 références de produits destinés à une consommation quasi immédiate (boissons, snacking, et quelques produits non alimentaires du quotidien) et dépose ses achats sur un tapis lecteur RFID, qui les ajoute dans un panier virtuel et calcule le montant automatiquement. Le paiement s’effectue ensuite avec les solutions AliPay ou Wechatpay. Si une aide est nécessaire, il est possible de faire appel à un conseiller via un écran.Installée sur roues, cette Box d’un genre un peu particulier peut même être transportée, et placée dans les lieux de flux.
Le magasin 100% automatique, perçu -à tort ou à raison- comme un Graal de la distribution est l’objet de toutes les attentions depuis des mois. Fin 2016, Amazon avait présenté son magasin révolutionnaire Amazon Go, qui a fait le buzz mais n’en est toujours qu’à l’état de prototype et rencontrerait des problèmes de fonctionnement. En janvier, c’est la Bingo Box (dont s’est largement inspiré Auchan) qui avait fait parler d’elle, toujours à l’état de prototype. Mais aujourd’hui, le distributeur français devance ses concurrents avec ce modèle qui est déjà opérationnel. Environ 300 clients l’utilisent chaque jour depuis son lancement, et une vingtaine d’unités pourraient être déployées d’ici la fin de l’année en Chine, un pays ou le commerce mobile a pris une part énorme.

https://www.lsa-conso.fr/decouvrez-auchan-box-le-mini-magasin-100-automatique-ouvert-24h-24,262390

Warren Buffet l’homme d’affaire le plus célèbre

Warren Buffet l’homme d’affaire le plus célèbre


Son enfance et son éducation
Warren Buffett, connu sous le nom d’ « Oracle d’Omaha », est l’un des hommes d’affaires les plus connus et respectés dans le monde des affaires.
Warren Buffet est né dans l’Omaha au Nebraska le 30 août 1930. Il est issue d’une famille aisée, son père Howard, était broker d’actions et a également était membre du Congrès Américain. Sa mère, Leila Stahl Buffet, était femme au foyer. Warren Buffet est le benjamin d’une famille de 3 enfants et est le seul garçon.

Il a démontré dès son plus jeune âge un don prononcé pour la finance et les sujets d’investissements. Ses proches ont indiqué qu’il était un prodige des mathématiques, qui pouvait facilement résoudre des problèmes sophistiqués et complexes. Pendant son enfance, Warren Buffet rendait souvent visite à son père sur son lieu de travail et a grandi en suivant le cours de la bourse.



Il a effectué son premier investissement à l’âge de 11 ans, en achetant 3 actions de la société « Cities Service Preferred », à 38 dollars l’unité. Suite à son investissement, l’action a chuté à 27 dollars, mais Buffet a tenu l’action jusqu’à ce qu’elle remonte à 40 dollars. Il les a par la suite revendu, faisant un léger profit, mais a rapidement regretté sa décision quand le prix de l’action de l’entreprise est monté en flèche pour atteindre 200 dollars. Durant sa carrière, il reviendra souvent sur cette expérience en expliquant que la patience est une qualité nécessaire dans le monde des affaires.

A l’âge de 13 ans, Buffet dirigeait déjà son propre business de livreur de journaux. En 1942, son père fut élu à la Chambre des représentants, et sa famille déménagea à Fredericksburg en Virginie afin de lui permettre de poursuivre sa carrière politique. Buffet est allé au lycée « Woodrow Wilson » à Washington D.C., où il continuait à développer de nouveaux moyens de se faire de l’argent. Par exemple, durant ses années de lycée, lui et un de ses amis ont acheté un flipper d’occasion pour une modique somme de 25 dollars et l’ont installé dans un salon de coiffure. En l’espace de quelques mois, le profit amassé leur a permis d’en acheter d’autres et de les placer à différentes locations pour ensuite revendre leurs affaires pour 1200 dollars, soit un retour sur investissement de 48.

Suite à ses années de lycée, Buffet a été accepté à l’Université de Pennsylvanie à l’âge de 16 ans afin d’étudier la vie d’entreprise. Il y est resté deux ans avant de changer pour l’Université du Nebraska où il a obtenu son diplôme à l’âge de 20 ans avec pratiquement 10,000 dollars en poche, argent qu’il a épargné de ses profits réalisés pendant sa jeunesse.

Son empire
Largement influencé par le livre de Benjamin Graham (1949), « L’investisseur intelligent », Buffet a été accepté à « Columbia Business School » et a eu la chance d’étudier avec Benjamin Graham, l’un des précurseur de value investing, il obtenu son diplôme en 1951 mais à l’obtention de son diplôme, Graham a refusé de l’embaucher et lui a même suggérer d’éviter une carrière à Wall Street. Le père de Buffet était du même avis et Buffet retourna à Omaha où il travailla avec son père à vendre des produits financiers au sein de Buffet-Falk & Company. Il s’est marié avec Susan Thompson et ont fondé une famille. Trois ans plus tard, son mentor Graham changea d’avis et il lui offrit un travail à New York au sein de Graham-Newman Corp pendant 2 ans.

En 1956, il créa sa propre entreprise nommée Buffter Partnership Ltd. dans sa ville Natale Omaha. Il s’est largement inspiré des techniques apprises par Graham, et a brillamment identifié des entreprises sous évalués, ce qui a fait sa fortune. Notamment Berkshire Hathaway, une entreprise de textile pour laquelle il a progressivement acheté des actions et a acquis le contrôle en 1965.

Malgré le succès de l’entreprise Buffet Partnership, Buffet l’a dissous pour se concentrer sur le développement de Berkshire Hathaway. Il a éliminé la division textile et a à la place acheté des biens dans des domaines plus porteurs comme les médias (The Washington Post), l’assurance (GEICO) ou le pétrole (Exxon). Il a réussi à transformer une usine de textile en difficulté en un des groupes financiers les plus profitables du monde. La philosophie d’investissement de Buffet consiste à identifier une entreprise sous-évalue mais bien géré et à investir dedans indéfiniment.

A la suite d’un investissement conséquent de Berkshire Hathaway au sein de Coca-Cola, Buffet en est devenu le directeur de 1989 à 2006. Il a également occupé des postes de directeur au sein de prestigieux groupes tels que Citigroup, Graham Holdings Company ou Gillette Company.

Ses causes
En juin 2006, Buffet a effectué une annonce considérable en déclarant qu’il donnerait la totalité de sa fortune à des associations caritatives, dont 85% à l’association de Bill and Melinda Gates. La donation se fera sous forme d’actions de son entreperise Berkshire Hathaway, elle est estimée à 10 million d’actions (i.e 37 milliards de dollars). En 2010, Buffet et Gates ont annoncé la création d’une campagne « The Giving Pledge » (i

https://www.droitdunet.fr/warren-buffet-lhomme-daffaire-le-plus-celebre/.e. l’engagement de donner) afin d’enrôler plus de personnes aisés pour des causes philanthropiques.



Iphone X Plus : Apple Le Dévoile Accidentellement

Il semblerait qu’Apple rattrape le bug de Samsung. Après avoir accidentellement inclut des détails concernant ses nouveaux iPhones dans la version bêta d’iOS 12, sortie cette semaine, des utilisateurs se sont rendus compte qu’il ne s’agissait pas là de la seule erreur d’Apple. En passant en revue le code d’iOS 12 beta 5, le méticuleux Guilherme Rambo de 9to5Mac a trouvé une iconographie dans le logiciel, qui fournit la première confirmation officielle de la firme de Cupertino que son iPhone X Plus existe bel et bien.

https://www.forbes.fr/technologie/iphone-x-apple-le-devoile-accidentellement/?cn-reloaded=1


L'indonésie

C’est vraiment une destination formidable à visiter et à explorer… !

Comprenant plus de 17 000 îles, l’Indonésie est le plus grand archipel du monde et compte au moins 235 millions d’habitants. Le vaste archipel indonésien s’étend sur 5 120 km au niveau de l’équateur, et se place entre les continents Asiatique et Australien. Quatre cinquièmes de sa surface sont constitués par la mer et les îles principales Sumatra, Java, Kalimantan, Sulawesi et la Papouasie. Les 300 groupes ethniques qui coexistent en harmonie donnent naissance à un melting-pot de cultures et de personnes fascinantes. L’Indonésie est le Quatrième pays le plus peuplé au monde.
Le paysage indonésien est également très varié. Java et Bali sont les îles les plus fertiles et les rizières sont concentrées dans ces deux régions, tandis que Sumatra, Kalimantan, Sulawesi, Maluku et la Papouasie sont toujours en grande partie recouvertes de forêts tropicales exotiques. Les savanes ouvertes et prairies verdoyantes sont caractéristiques de Nusa Tenggara. La basse-terre qui comprend la plus grande partie de l’Indonésie montre les caractéristiques d’un climat tropical avec des précipitations abondantes, et un niveau de températures et d’humidité élevé. Le climat pluvieux de l’Indonésie tropicale et son caractère géographique unique abritent une grande diversité de faune et de flore. Le pays, riche en ressources naturelles, a attiré de nombreux marchands, pirates, et aventuriers venus du monde entier à travers l’histoire. Situées sur d’anciennes routes commerciales et riches en ressources botaniques, ces îles recluses ont vite suscité l’intérêt général. Les mers aux eaux claires, les destinations de surf impressionnantes et les merveilleuses plages se mêlent aux volcans en activité et aux forêts vierges pour faire de cette nation un paradis tropical.

Les cultures individuelles et les pratiques traditionnelles côtoient les lieux de vacances romantiques et des hôtels, spas et terrains de golf parmi les meilleurs au monde.


https://indonesie-tourisme.fr


Tyler Ward - The Scientist feat Lindsey Stirling & Kina Grann | Suits Music


Come up to meet you, tell you I'm sorry
You don't know how lovely you are
I had to find you, tell you I need you
Tell you I set you apart
Tell me your secrets, and ask me your questions
Oh let's go back to the start
Running in circles, coming up tails
Heads on a science apart

Nobody said it was easy
It's such a shame for us to part
Nobody said it was easy
No one ever said it would be this hard
Oh take me back to the start

I was just guessing at numbers and figures
Pulling your puzzles apart
Questions of science, science and progress
Do not speak as loud as my heart
Tell me you love me, come back and

Nobody said it was easy
It's such a shame for us to part
Nobody said it was easy
No one ever said it would be this hard
Oh take me back to the start haunt me
Oh and I rush to the start
Running in circles, chasing our tails

Coming back as we are


L’expérience d’être humain n’est pas censée être parfaite.

L’expérience d’être humain n’est pas censée être parfaite.
Elle est censée être bordélique et chaotique. Pour qu’on apprenne, et qu’on grandisse… mais surtout pour qu’on s’amuse encore plus.

Et si… et si on se laissait vivre ?
Et si on on se lâchait la grappe ?
Et si on acceptait que parfois ça va, et que d’autres fois, pas ?
Que parfois on dit et on fait ce qu’il faut, et que d’autres fois, pas ?

Qu’on ne sait rien de toute façon. Nous sommes ignorants.
Nous jouons à la vie, mais en oubliant que c’est un jeu.

Rien de tout cela n’a d’importance.

Tant pis… si on s’est trompé. Si on a mal jugé. Si on a ri quand il fallait pleurer.

Tant pis.

Nous sommes tellement durs avec nous-mêmes.
Je suis tellement dure avec moi-même.
A me dire que les choses doivent se passer d’une façon et pas autrement.

Amour, indulgence, compassion,
Envers nous-mêmes d’abord.

Être humain n’est pas chose facile…
Si nous nous prenions un peu moins au sérieux ?

https://lyviacairo.com

Ready for vacation :)

En route pour les vacances :)


Street Art City, la "Villa Médicis"

Street Art City, la "Villa Médicis" de l'art urbain, a ouvert ses portes au public le 28 avril 2017 et propose une découverte artistique éblouissante, au cœur de la bucolique campagne de Lurcy Lévis.
Au-delà des murs... un perpétuel chantier artistique au rayonnement international !
Unique !


https://www.street-art-city.com


Hommage à Joel Robuchon

I gonna miss you, RIP Joel 





NewBiz, Kam, CSM ...bonjour le jargon

Par ici, la version simplifiée :

Customer Success Manager ou CSM

Customer Succes Manager est un acronyme pour le terme anglais de Customer Success Manager à savoir en français Responsable du Succès Client. Dans les nouvelles formes d’organisation commerciale qui prône la spécialisation des vendeurs en fonction de leur activité, le Customer Success Manager est en charge de :
la formation du client pour bien appréhender le produit ou le service de l’entreprise (en particulier si c’est un logiciel),
la bonne utilisation par le client du produit ou service,
la satisfaction client,
la revente sur le compte client (nouvelles fonctionnalités, nouveaux services, etc.),
la fidélisation client et la baisse du churn.
Le CSM intervient une fois que l’Account Executive a finaliser une vente.

Cette nouvelle forme d’organisation commerciales est inspirée de celle des équipes de Salesforce et est promue par Aaron Ross dans son livre best seller de la vente “Predictable Revenue” qui a démocratisé les techniques d’Outbound Prospecting en complément de la vague d’Inbound Marketing.



« Le multitasking nous rend pathétiquement inefficaces »

Génération Multitasking : Et Si On Arrêtait De Tout Faire En Même Temps ?

Répondre à ses mails pendant un rendez-vous, envoyer un texto en rédigeant son business plan … Autant de gestes anodins mais qui, une fois superposés, nuisent gravement à notre pensée. Zoom sur le multitasking, entre impératif de la notification et illusion de l’efficacité.
En ce mois d’août, vous réservez peut-être vos billets d’avion tout en assistant à une réunion. Vous avez pourtant l’impression de suivre la discussion attentivement. Félicitations, vous êtes en plein multitasking ! Derrière ce terme, se cache le fait d’accomplir plusieurs tâches simultanément. Mais voilà, comme l’explique le Pr. Dr. Théo Compernolle, neuropsychiatre et auteur de Comment déchaîner votre cerveau, c’est déjà là que le bât blesse : le cerveau pensant est incapable de se concentrer sur deux choses à la fois. Il doit en permanence commuter entre les tâches.

 « Le multitasking nous rend pathétiquement inefficaces »
L’American Psychology Association estime que le multitasking peut causer 40% de perte d’efficacité. En parallèle, d’après une étude menée par le Bryan College, ce manque de productivité coûterait 450 milliards de dollars par an à l’économie états-unienne. Un phénomène tout sauf anecdotique donc.
Ces « switch » perpétuels nous font perdre du temps, de l’énergie, et altèrent la profondeur de la réflexion et de l’apprentissage. Un phénomène expérimenté par Andrew Filev, fondateur et CEO de Wrike, une des plates-formes de gestion du travail collaboratif les plus utilisées dans le monde : « quand je suis en ‘mode réflexe’, je réponds immédiatement à mes sollicitations. Mais si quelqu’un me demande ce que j’ai fait dans la journée, je sais que j’ai beaucoup travaillé, mais qu’ai-je vraiment accompli ? »
Le diagnostic du Pr. Dr. Théo Compernolle est sans appel : « le multitasking nous rend pathétiquement inefficaces ». C’est la tyrannie de la notification qui fait de notre cerveau un organe uniquement réactif, à défaut de développer sa pensée profonde, source de l’innovation et de la créativité. « À terme, le cerveau s’optimise pour la succession rapide de tâches, mais ce au détriment de la réflexion », explique Andrew Filev.
D’autant qu’avec la révolution numérique, les tentations de passer à un autre écran sont nombreuses. Le Pr. Dr. Wim Pullen estime que les employés qui travaillent en open-space sont distraits toutes les deux minutes en moyenne [1]. Le multitasking serait-il une manière de se soustraire aux problèmes en se cachant derrière la sensation trompeuse d’être débordé ? On va au plus pratique, mais pas 
forcément au plus logique.

« Switch » is the new « think »
Qu’en est-il alors pour les digital natives, cette génération née avec un smartphone greffé à la main ? Si l’on se fie à l’évolution de l’humanité, on pourrait penser qu’une mutation génétique leur permettrait d’être des multitaskers aguerris. Le Pr. Dr. Théo Compernolle y croyait également : « il y a dix ans, quand le smartphone a commencé à être présent dans toutes les poches, je pensais que le multitasking était un problème générationnel et que l’espoir se trouvait chez les digital natives ». Verdict ? « C’est la déception la plus importante de toute ma recherche ». S’il y a bien une évolution, ses conséquences ont un prix.
La Chambre de Commerce des États-Unis rapporte que le multitasking est en passe de modifier notre cerveau en lui permettant de « switcher » plus rapidement entre les tâches ; mais cette faculté se développe au détriment de notre pensée profonde et créatrice. Comme le dit l’écrivain Nicholas Carr, repris par Andrew Filev « les multitaskers sont plus à même de se reposer sur des idées et des solutions conventionnelles plutôt que de se challenger avec des lignes de pensée originale ».
Au-delà de l’inefficacité qu’il génère, le multitasking entraîne également des difficultés à hiérarchiser les impératifs. Or, pour Andrew Filev, la priorisation est l’une des clés de la performance dans l’entreprise : « il est physiquement impossible de tout faire au bureau. La nécessité de cerner ses priorités est encore plus importante dans le travail d’équipe parce que si nos priorités sont différentes de celles des autres – ce qui peut arriver, il peut aussi arriver que rien ne soit fait ».

La concentration à l’épreuve des incessantes distractions
Rien ne sert de se trouver des excuses ! D’après une étude de David Strayer, directeur du laboratoire des sciences cognitives à l’université de l’Utah, 98% des êtres humains sont incapables de faire du multitasking. Si ce phénomène résulte des incessantes sollicitations liées à l’environnement de travail, Andrew Filev et le Pr. Dr. Théo Compernolle évoquent d’une même voix des solutions pour en finir avec le flot continu de distractions : rassembler les tâches analogues et les regrouper, s’en occuper les unes après les autres, prendre une demi-heure pour répondre à ses mails, puis une heure de réflexion sur un projet, etc.

Il faut également se donner le temps de s’écouter. Faire de courtes pauses permet au cerveau de repartir de zéro et de préparer la transition vers une nouvelle activité. Andrew Filev insiste sur la nécessité de s’accorder des moments pour penser. « C’est très important de simplement s’asseoir et se demander : ‘quelles sont mes priorités ? Qu’est-ce qui est important et que j’ai envie d’achever aujourd’hui ?’ Vous rentrerez chez vous le soir avec un sentiment de travail bien fait ». Inutile de rappeler la nécessité de séparer la vie privée de la vie professionnelle et de ne pas s’éparpiller pendant les réunions ; vos mails peuvent en attendre la fin.
Les impératifs sont ceux que l’on se crée : apprendre à découper son temps pour (re)devenir, selon l’expression de l’entrepreneur, « le boss de son cerveau ».

https://www.forbes.fr/entrepreneurs/generation-multitasking-et-si-on-arretait-de-tout-faire-en-meme-temps/

Comment faire pour bien gérer les attaques de panique ?

L'attaque de panique est un trouble de l'anxiété plus communément appelé crise d'angoisse. Elle apparait de façon brutale et dure entre quelques minutes et quelques heures. Que ressent-on lors de ces attaques, et comment les gérer ?

Que ressent-on lors d'une attaque de panique ?

Lors d’une attaque de panique, on ressent une peur intense, accompagnée de sensations physiques qui peuvent varier d’une personne à l’autre : palpitations, sueurs, tremblement, difficultés à respirer…
La personne en proie à une crise de panique a l’impression de perdre le contrôle.

Comment reprendre le contrôle lors d’une crise ?

Respirez

Les attaques de panique vous font vous sentir hors de contrôle, et la respiration est un bon moyen de se reconnecter à soi-même.
Respirez profondément, par le nez et imaginez votre corps se remplir d’air tel un ballon. Puis, expirer lentement par la bouche jusqu’à sentir que tout l’air s’est échappé de votre corps.
Répétez cela 10 fois et restez toujours concentré(e) sur votre respiration.

Prenez la "vague"

Les attaques de panique surviennent souvent par vagues de sensations et d’émotions.
La plupart des gens vont instinctivement chercher à s’en échapper, ce qui peut les amener à se sortir encore plus impuissants face à cette crise.
Pourtant, un bon moyen de calmer l’attaque est de prendre le temps d’observer ce qu’il se passe.
Ainsi, lorsque vous sentez la crise de panique arriver, tentez de visualiser chaque sentiment comme une vague que vous prendriez. Acceptez ce sentiment et rappelez-vous que chaque vague va finir par s’échouer.

Sollicitez votre cerveau

Lors d’une attaque de panique, le stress et les émotions envahissent votre cerveau et votre corps est en mode survie.
Solliciter la partie logique du cerveau est une très bonne manière de prendre le pas sur les émotions.
Raisonnez votre crise : dites-vous « je suis en train de faire une crise de panique, voilà ce que je ressens, mais ce sera très bientôt terminé. »
Vous pouvez également faire une activité qui requiert vos capacités cognitives ou motrices.

En prévention, le yoga et la méditation

ien qu’on ne puisse pas prévenir efficacement les crises d’angoisses, celles-ci survenant de manière imprévisible, on peut jouer sur notre niveau d’anxiété au quotidien.

Et contre le stress et l’anxiété, le yoga et la méditation ont fait leurs preuves.
La méditation a des effets prouvés sur le stress et l’anxiété (1)-(3). En méditant, on apprend à se poser, à renouer avec soi-même et à se détendre.
Quant au yoga, il influence positivement les niveaux d’anxiété et de stress et l’état de bien-être. Il est considéré comme un traitement complémentaire efficace en cas de troubles anxieux (4)-(7).
En cas de crises fréquentes, consultez un professionnel de santé.

https://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Dossiers/DossierComplexe.aspx?doc=bien-gerer-les-attaques-de-panique-en-prevention-le-yoga-et-la-meditation

the happiness project

One rainy afternoon, while riding a city bus, Gretchen Rubin asked herself, “What do I want from life, anyway?” She answered, “I want to be happy”—yet she spent no time thinking about her happiness. In a flash, she decided to dedicate a year to a happiness project. The result? One of the most thoughtful and engaging works on happiness to have emerged from the recent explosion of interest in the subject.

The Happiness Project synthesizes the wisdom of the ages with current scientific research, as Rubin brings readers along on her year to greater happiness.



In fact, Rubin’s “happiness project” no longer describes just a book or a blog; it’s a movement. Happiness Project groups, where people meet to discuss their happiness projects, have sprung up across the country—and across the world. Rights have been sold in more than 35 countries. Hundreds of book groups have discussed the book; professors, teachers, psychiatrists, and clergy assign it. The book has spent more than two years on the bestseller lists, and The Happiness Project was even an answer on the game-show Jeopardy!

The Happiness Project has been a blockbuster bestseller. It spent more than two years on the New York Times bestseller list, including hitting #1, has sold more than 1.5 million copies, and has been published in more than thirty languages.