something juste like this

J'ai lu des livres anciens 
Les légendes et les mythes 
Achille et son or 
Hercules et ses dons 
Le contrôle de Spiderman 
Et Batman et ses poings 
Et clairement je ne me vois pas sur cette liste 

Elle a dit "Où veux-tu aller ? 
Combien veux-tu risquer ? 
Je ne cherche pas quelqu'un 
Avec quelques pouvoir surhumains 
Des super-héros 
Quelques félicités féerique 
Juste quelque chose vers laquelle je peux me tourner 
Quelqu'un à qui je peux manquer." 

"Je veux quelque chose comme ça 
Doo-doo-doo, doo-doo-doo 
Doo-doo-doo, doo-doo 
Doo-doo-doo, doo-doo-doo 
Oh je veux quelque chose comme ça 
Doo-doo-doo, doo-doo-doo 
Doo-doo-doo, doo-doo 
Doo-doo-doo, doo-doo-doo" 

"Oh je veux quelque chose comme ça 
Je veux juste quelque chose comme ça" 

J'ai lu les mythes anciens 
Les légendes et les mythes 
Les testaments qu'ils m'ont raconté 
La lune et son éclipse 
Et Superman déroulant 
Un costume avant de s'envoler 
Mais je ne suis pas le genre de personne à qui cela va 

Elle a dit "Où veux-tu aller ? 
Combien veux-tu risquer ? 
Je ne cherche pas quelqu'un 
Avec quelques pouvoir surhumains 
Des super-héros 
Quelques félicités féerique 
Juste quelque chose vers laquelle je peux me tourner 
Quelqu'un à qui je peux manquer." 

"Je veux quelque chose comme ça 
Je veux quelque chose comme ça" 

"Je veux quelque chose comme ça 
Doo-doo-doo, doo-doo-doo 
Doo-doo-doo, doo-doo 
Doo-doo-doo, doo-doo-doo 
Oh je veux quelque chose comme ça 
Doo-doo-doo, doo-doo-doo 
Doo-doo-doo, doo-doo 
Doo-doo-doo, doo-doo-doo" 

"Où veux-tu aller ? 
Combien veux-tu risquer ? 
Je ne cherche pas quelqu'un 
Avec des pouvoirs surhumains 
Des super héros 
Des félicités féeriques 
Juste quelque chose vers laquelle je peux me tourner 
Quelqu'un à qui je peux manquer 
Je veux quelque chose comme ça" 

"Oh je veux quelque chose comme ça 
Oh je veux quelque chose comme ça 
Oh je veux quelque chose comme ça 
Oh je veux quelque chose comme ça"



Il faudra bientôt des psychologues pour intelligence artificielle, selon ces chercheurs

Nous nous inspirons du cerveau pour créer les algorithmes, alors pourquoi pas pour résoudre leurs problèmes ?

TECHNO - On entend souvent que l'intelligence artificielle et les robots risquent de nous mettre au chômage, mais ces technologies pourraient aussi faire naître de nouveaux métiers. Et pourquoi pas celui de psychologue pour machines?
C'est ce que se demande ce jeudi 28 juin le site Axios, citant un article écrit par trois chercheurs en informatique. Ils plaident pour des recherches approfondies sur l'analyse de possibles troubles psychologiques de nos algorithmes.
Les trois auteurs partent du principe que l'intelligence artificielle cherchant à copier le cerveau, si nous arrivons à en créer une "générale", similaire à l'Homme, "elle pourrait être soumise aux mêmes maladies".
L'idée de l'émergence proche d'une intelligence artificielle générale est loin d'être partagée par toute la communauté scientifique. L'un des auteurs, Roman Yampolskiy, croit lui qu'une telle révolution va arriver et qu'il faut commencer à réfléchir dès maintenant à la manière de l'encadrer pour éviter toute mauvaise surprise.

Quoi qu'il en soit, le fait d'analyser les intelligences artificielles avec un regard de psychologue pourrait aussi nous aider à résoudre des problèmes bien plus concrets, qui commencent à se poser dès maintenant.
La boîte noire des algorithmes
Le comportement de ces machines apprenantes, même si elles sont extrêmement rudimentaires et spécialisées, peut parfois laisser perplexe les chercheurs. Car pour fonctionner, ces algorithmes apprennent seuls à reconnaître des modèles via des millions d'exemples. Ce qui implique qu'il est quasi-impossible pour les chercheurs de retracer le chemin logique parcouru par la machine.
On appelle ce phénomène la boîte noire, un problème longuement développé dans le rapport Villani sur l'intelligence artificielle. Le souci, c'est que cela laisse le champs libre à des dérives possibles. Par exemple, si les données fournies sont biaisées. Ce qu'ont montré des chercheurs en développant une intelligence artificielle "psychopathe", Norman, nourrie des pires exemples de légendes de photo trouvées sur le web.
Il y a d'autres dérives possibles, qui font penser à des problèmes psychologiques bien humains. Un certain type d'intelligence artificielle, par exemple celui qui a gagné contre le champion du monde de jeu de Go, apprend via un système de récompense quand il prend la décision voulue. Les auteurs de l'article imaginent ainsi un algorithme similaire qui pourrait "développer un comportement addictif".
Comment? Axios cite l'exemple d'un robot de nettoyage qui pourrait salir un endroit propre afin de le nettoyer encore plus.
Diagnostic et traitement artificiel
Les auteurs de l'article exhortent donc la communauté scientifique à se pencher sur la question. D'abord, en définissant comment adapter les critères utilisés en psychopathologie pour définir des troubles chez l'être humain: déviance dans le comportement, détresse individuelle, dysfonctionnement qui empêche d'agir normalement ou qui peuvent être dangereuses.
Pour diagnostiquer ce genre de problème chez un algorithme, les auteurs ont imaginé quelques pistes: utiliser les techniques de cybersécurité pour identifier des dérives statistiques et entraîner des intelligences artificielles avec des données biaisées, faites pour simuler des problèmes. Il faudrait également créer une sorte de catalogue des "troubles" des algorithmes, afin de mieux les traiter.
Pour le traitement, justement, les trois chercheurs veulent que leurs confrères s'inspirent également de la psychopathologie. Il serait simple de débrancher une intelligence artificielle biaisée, mais cela voudrait dire perdre tout ce qui a été appris depuis. A la place, les auteurs préconisent de réfléchir à des techniques d'interventions minimalistes.
Par exemple, placer l'algorithme dans un terrain contrôlé afin de "corriger" son comportement avec des données plus saines. Dans l'idée, on voit bien comment appliquer cette logique à Norman ou encore à Tay, l'intelligence artificielle de Microsoft devenue raciste après sa discussion avec des milliers de personnes cherchant à biaiser l'algorithme. Quelque chose de similaire à une psychothérapie en quelque sorte.
Les auteurs évoquent également la possibilité de changer artificiellement le système de récompense pour modifier le comportement de la machine. Ici, on serait plus proche de l'autre solution utilisée chez les êtres humains: les médicaments, à l'instar des anti-dépresseurs.
Evidemment, tout cela est encore un peu abstrait. Mais le but des trois auteurs est justement de pousser leurs confrères à "de futures recherches et développement dans cette direction à peine explorée mais prometteuse".
Et cela a déjà commencé, comme le rappelle Axios. DeepMind, la société de Google dont le programme a dominé le champion du jeu de Go, a utilisé des techniques de psychologie cognitive pour comprendre comment leur algorithme classe les images qui lui sont montrées.

https://www.huffingtonpost.fr/2018/06/28/il-faudra-bientot-des-psychologues-pour-intelligence-artificielle-selon-ces-chercheurs_a_23470155/

Top des rooftops de Paris

C’est un peu le graal dès que l’été pointe le bout de son nez. Ils nous font rêver, même s’ils sont souvent blindés. Depuis peu, ils fleurissent aux quatre coins de la capitale, même s’ils ne sont parfois qu’éphémères. On y boit des coups, on s’y pose ou on y danse, mais toujours avec une vue imprenable sur Paris. Ils nous coupent le souffle, nous donnent l'impression de dominer le monde, ils sont devenus incontournables. Ce sont, ce sont ? Les rooftops parisiens bien sûr !

Le Point Éphémère
Point Éphémère 200, quai de Valmy – 10e



Le rooftop de la Brasserie Barbès
Brasserie Le Barbès 2, bd Barbès – 18e



L'Oiseau Blanc
L'Oiseau Blanc Hôtel Peninsula 19, avenue Kléber – 16e




Le Perchoir et son petit frère, le Perchoir du Marais
Le Perchoir 16h-2h 14, rue Crespin du Gast - 11e



Le Perchoir du Marais 7e étage du BHV Marais Entrée
au 37, rue de la Verrerie – 4e 20h15-2h, 21h15-2h (mercredi), 12h30-2h (dimanche)

Terrass’’ Hotel
Terrass’’ Hotel 12-14, rue Joseph-de-Maistre – 18e




https://www.lebonbon.fr/paris/rooftops/top-des-rooftops-de-paris/

Le transhumanisme

Le transhumanisme prône l'usage des sciences et des technologies pour augmenter les capacités de l'homme et promet de grandes mutations qui suscitent critiques, inquiétudes ou espoirs.

Mais qu'est ce que le transhumanisme? C'est tout d'abord un sujet très sensible car il touche l'intégrité de ce qui fait notre condition biologique et touche notre intimité et notre identité d'homme.
Attention à ne pas jouer aux apprentis sorciers ! Quel monde nous prépare le transhumanisme?  S’agit-il d’une rupture de civilisation  ou de la poursuite logique du « progrès », en particulier de la médecine ? Qui impulse ces recherches et quelles seront les conséquences  sociales et environnementales de ce processus ? Pourquoi est-il si difficile  de penser l’irruption du transhumanisme dans nos vies ?

https://www.franceinter.fr/emissions/la-tete-au-carre/la-tete-au-carre-01-mars-2018

Conquête de Mars : Elon Musk livre les détails de son projet de colonisation

Les sorties d'Elon Musk, le patron et fondateur de SpaceX, sont toujours très attendues. Et commentées. La dernière en date n'échappe évidemment pas à la règle. Celui-ci s'est exprimé à l'occasion du Congrès international d'astronautique (IAC), en Australie, et a dévoilé d'ambitieux projets pour envoyer des Hommes sur Mars.




L'étonnant Elon Musk. SpaceX, qui depuis trois ans n'arrive pas à envoyer des astronautes à bord de la Station spatiale internationale (ISS), située à moins de 500 kilomètres de la Terre, veut, en 2024, envoyer un équipage sur la planète Mars, en moyenne distante de 227.937 millions de kilomètres de nous. Et avec un lanceur qui n'existe pas !
S'exprimant lors du 68e Congrès international d'astronautique (IAC), qui vient de se tenir dans la ville d'Adélaïde, en Australie, Elon Musk a donné les détails de son ambitieux projet d'envoyer des Hommes sur Mars dans cinq ans et de transporter des personnes sur Terre en des temps records.
Une nouvelle version de l'ITS
Lorsqu'il y a un an, lors du précédent Congrès international d'astronautique, Elon Musk dévoilait sa vision détaillée de son voyage humain vers Mars (qui, selon lui, est techniquement réalisable et financièrement accessible), de nombreux observateurs étaient, au mieux, plongés dans l'expectative, voire amusés, notamment en raison des délais annoncés et du système de transport envisagé
À l'époque, Musk avait présenté l'ITS (Interplanetary Transport System), un système de transport avec un étage principal (le booster) surmonté du véhicule habité ou de sa version cargo pour des voyages habités à destination d'un peu partout dans le Système solaire. De ce projet, que certains ont jugé réalisable malgré quelques points durs, SpaceX en dérive aujourd'hui une version réduite en taille (106 mètres contre 122 mètres) et performance. Cette version comporte toujours un étage principal mais d'un diamètre de 9 mètres (contre 12 mètres initialement) et utilise non plus 42 moteurs Raptor méthane-oxygène, mais « seulement » 31. Provisoirement baptisée « putain de grosse fusée » (BFR pour Big Fucking Rocket, en anglais), cette nouvelle version de l'ITS sera capable de se rendre sur la Lune, sur Mars et de réaliser des vols commerciaux de longues distances sur Terre.
Comme pour l'ITS, techniquement, économiquement et en ce qui concerne le calendrier, cette « putain de grosse fusée » est un défi sans nom. Sans surprise, les choix architecturaux du lanceur divisent. Ils sont techniquement réalistes pour certains, mais extrêmement compliqués pour la plupart des observateurs du secteur, voire irréalisables. Quant à nous, nous n'allons pas en juger. D'abord parce que nous n'avons pas suffisamment de recul et d'informations concernant le détail des études de SpaceX et, d'autre part, parce que, après tout, les idées des ingénieurs de SpaceX, dont certains viennent de la Nasa, ne sont peut-être pas si farfelues que ce que veulent nous faire croire certains commentateurs.
Des humains sur Mars dès 2024, vraiment ?
Cela dit, là où le bât blesse, c'est sur le plan calendaire. Elon Musk prévoit des humains sur Mars dès 2024, après deux missions inhabitées qui déposeraient sur la Planète rouge l'infrastructure de survie nécessaire aux premiers arrivants. Pour le coup, cela nous paraît difficilement réalisable. Croire qu'un tel véhicule se développe en seulement moins de 5 ou 6 ans (alors que le moteur Raptor n'en est qu'au début de ses essais au banc), c'est très, très, très optimiste ! Et croire que, deux ans après son utilisation en vol automatique, il sera autorisé à faire du vol habité, ça l'est encore plus...
Certes, les équipes de SpaceX travaillent sur ce concept de lanceur depuis plusieurs mois, et cela trotte dans la tête d'Elon Musk depuis quelques années, mais tout de même. Quand on sait que le Falcon Heavy et la version habitée de la capsule Dragon sont très en retard sur leurs calendriers initiaux, on peut douter des capacités de SpaceX à tenir la feuille de route du BFR.
Enfin, dernières surprises d'Elon Musk : il prévoit aussi d'adapter son BFR aux voyages de longues distances sur Terre, ramenant la durée des trajets entre les principales villes du monde à moins d'une demi-heure. Ainsi, un Bangkok-Dubaï prendrait vingt-sept minutes, tandis que Tokyo serait à trente minutes de distance de New Delhi, tout comme New York de Paris. Par ailleurs, ce futur système de lancement doit également remplacer, à terme, le Falcon 9 et ses capsules Dragon ainsi que le Falcon Heavy, avec, peut-être, en point de mire, une nouvelle façon d'accéder à l'espace et de se déplacer en orbite basse et dans le système Terre-Lune.
https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/astronautique-conquete-mars-elon-musk-livre-details-son-projet-colonisation-63050/

Amazon Echo, Google Home, HomePod d'Apple : vous faites quoi de mes données personnelles ?

Alors que la marque à la pomme vient de sortir en France son enceinte HomePod, franceinfo revient sur les enjeux soulevés par les assistants vocaux en matière de confidentialité.
Il espère bien se faire une place dans votre salon. Disponible en France depuis lundi 18 juin, le HomePod d'Apple marque l'entrée de la célèbre marque à la pomme sur le marché des enceintes connectées, jusqu'à présent dominé par le Home de Google et l'Echo d'Amazon.



Ces appareils n'obéissent pas au doigt et à l'œil, mais à la voix : vous prononcez une suite de mots précise et ils sont censés répondre à vos moindres requêtes. Prévisions météo, questions de culture générale, recherche de recettes de cuisine… Sur le papier, les possibilités sont immenses. Mais est-on sûrs que ces appareils destinés à envahir les foyers ne nous écoutent pas à votre insu ? Et sait-on vraiment ce qu'ils font des données qui leur sont envoyées ? Franceinfo répond à ces questions.

1-"OK Google" / "Dis, Siri" / "Alexa" : écoutes-tu les conversations que j'ai avec mes proches ?

Normalement, non. Sur le papier, le principe de ces enceintes connectées est simple. Il faut prononcer une phrase bien précise pour les activer : "OK Google" pour Google Home, "Alexa" pour Amazon Echo et "Dis, Siri" pour le HomePod d’Apple. Une fois la formule déclamée, un petit voyant s'éclaire pour indiquer que l'enceinte est bien à l'écoute de votre requête. Seul hic : "Pour pouvoir détecter les mots-clés, il faut que les micros soient en veille en permanence", rappelle Geoffrey Delcroix, membre du Laboratoire d'innovation numérique de la Cnil, à franceinfo. Normalement, quand il n'y a pas de faille, pas de bug, pas d'attaque, il ne transmet rien en dehors de l'appareil."
Mais des bugs, il y en a déjà eu. Aux États-Unis, l'assistant vocal Alexa d'Amazon a enregistré à son insu la conversation d'un couple et l'a envoyée à l'un de ses contacts… La raison ? Une série improbable de commandes vocales mal comprises par l'enceinte qui aurait abouti à l'envoi par e-mail de la conversation à une tierce personne, selon Amazon. Une autre faille a aussi été détectée dans la version "mini" du Google Home, indiquent Les Numériques. Le micro enregistrait intempestivement l'utilisateur, sans qu'il lui demande. Les leds de l'appareil, indiquant un enregistrement en cours, s'allumaient sans le moindre ordre physique ou oral. Google a reconnu que ce bug affectait certains appareils et a rapidement déployé une mise à jour pour éliminer cette faille.
En France, la Cnil a effectué quelques tests pour vérifier que les enceintes fonctionnaient bien comme l'annonçaient leurs constructeurs. Verdict : les connexions réseaux semblent indiquer que les données sont bien transmises uniquement quand les mots-clés sont détectés.

2 Tu ne te servirais pas de ce que je te dis pour faire de l'argent ?
Soyons clairs : certaines données peuvent être utilisées pour alimenter le modèle économique des géants du web. Concrètement, comment ça se passe ? Une fois les mots magiques prononcés, l'enceinte connectée enregistre la requête de l'utilisateur. La phrase est alors transmise aux serveurs de l'entreprise pour analyse. "Le traitement ne se fait pas localement dans la machine", explique Geoffrey Delcroix. Au passage, les informations récupérées peuvent donc être utilisées à des fins commerciales.
Chez Google, cela fonctionne comme lorsque vous utilisez le fameux moteur de recherche ou que vous regardez une vidéo sur YouTube. "On ne vend pas de données aux entreprises", rappelle le géant du web. Les informations récoltées avec Google Home permettent d'alimenter et de préciser votre profil avec vos habitudes. Google peut ensuite l'utiliser pour proposer des publicités ciblées aux annonceurs. D'ailleurs, si Google Home ne déclame pas encore de pub, cette possibilité n'est pas complètement écartée par l'entreprise. Du côté d'Amazon, les enceintes permettent aussi d'accroître le nombre de ventes sur la plateforme. Un bon moyen de conquérir de nouveaux marchés et de fidéliser des clients.
Bref, il ne faut pas se leurrer : "Quand on voit les prix pratiqués chez Amazon et Google, les promotions agressives, on imagine bien que le modèle économique n'est pas seulement de gagner de l'argent en vendant un produit connecté", explique Geoffrey Delcroix. Certains assistants vocaux sont désormais vendus autour de 50 euros, quand ils ne sont pas carrément offerts pour l'achat d'autres produits. On n'est pas loin du fameux dicton : "Si c'est gratuit (ou pas cher), c'est que vous êtes le produit".
Pour Apple, le modèle semble un peu différent. Avec son HomePod à 350 euros, le constructeur propose un produit supplémentaire pour compléter son offre et éviter que ses clients ne sortent de son écosystème. Ainsi, HomePod est conçu pour être piloté par un autre produit Apple (et pas un smartphone Android, par exemple).

https://www.francetvinfo.fr/internet/securite-sur-internet/amazon-echo-google-home-homepod-d-apple-vous-faites-quoi-de-mes-donnees-personnelles_2810683.html

The Chainsmokers, Drew Love - Somebody


The Chainsmokers, Drew Love - Somebody


Kiss : Keep it short and simple : La présentation réussie

On vous demande de vous exprimer en public sur un sujet que vous maîtrisez parfaitement, c’est donc le moment idéal pour parler de tout ce que vous savez, de A à Z, non ? Avant de vous lancer dans cette présentation, réfléchissez un instant.
Il ne faut pas confondre communication et prétention. Même si vous vous adressez à un public de connaisseurs, comme à des collègues par exemple, il est préférable de rester concis et direct plutôt que de profiter de cette occasion pour étaler votre science. Votre objectif premier doit simplement être d’établir un lien de confiance avec votre public, de présenter une vision simplifiée qui permettra de faire passer votre message.

Et le meilleur moyen d’y parvenir est d’appliquer le “KISS”. La méthode du « keep it short and simple », autrement dit, restez concis et simple.
Il ne faut cependant pas confondre « simple » et « simpliste ». Cela ne signifie pas que vous devez simplifier votre propos à l’extrême, mais plutôt exprimer une idée pouvant être complexe en utilisant un langage simple et clair, sans jargon.
La concision, ça prend du temps
Vulgariser est bien plus difficile qu’élaborer un long discours, truffé d’un lexique spécifique. Comme l’a écrit le mathématicien et philosophe Blaise Pascal dans les Lettres Provinciales en 1657 : « Je n’ai fait celle-ci plus longue parce que je n’ai pas eu le loisir de la faire plus courte. »
Cette citation a cependant souvent été attribuée à d’autres auteurs tels que Voltaire, Mark Twain, George Bernard Shaw, Goethe, Winston Churchill ou encore Benjamin Franklin.
Nous avons découvert que le moyen le plus simple de garantir la simplicité et l’élégance d’une présentation était encore de commencer par la fin, autrement dit, par la conclusion, puis de remonter le fil. C’est une méthode efficace et éprouvée dans le monde anglo-saxon et qui commence à se répandre, étant donné que l’anglais colonise le monde de l’entreprise. De cette manière, votre public sait dès le départ où vous voudrez en venir, et comprend ensuite comment vous en êtes arrivé à cette conclusion.
Cependant, les différences culturelles dans le domaine des présentations publiques peuvent parfois être une barrière. Il subsiste une certaine réticence des publics français et allemands face à cette méthode. Par exemple, dans ces deux cultures, il existe une tendance à surcharger une présentation avec des faits, des nombres et un lexique spécialisé, car on pense que simplicité et élégance sont synonymes d’incompétence. Mais comme vous l’aurez compris, nous ne sommes pas d’accord.
KISS et les réseaux sociaux
L’autre raison de suivre la méthode du KISS, c’est l’omniprésence actuelle des réseaux sociaux pour la diffusion d’informations et de messages. Si vous n’êtes pas assez concis pour communiquer via Twitter, Instagram, Snapchat ou tout autre média, alors quelqu’un d’autre le fera pour vous, et vous ne pourrez donc pas contrôler ce qui sera diffusé.
Comme nous l’a appris André Santini, un ancien homme politique, les journalistes aiment les phrases provocantes car elles créent le buzz. Existe-il une recette pour créer ces phrases ? Il faut un peu d’esprit, et un peu de culture. Mais c’est un talent qui se raréfie ces derniers temps.
Il s’agit presque d’un appel aux armes, un conseil pour présenter votre message de la manière la plus efficace possible pour qu’il survive à votre présentation via tous les médias disponibles. Tout comme certains baisers peuvent être inoubliables, la méthode KISS rendra vos présentations mémorables, pleines de passion et d’imagination, elles pourront éclairer le monde.

https://www.forbes.fr/management/presentation-reussie-opter-pour-le-kiss/

L’AI de Google peut prédire votre mort

PRÉDICTION - Google a mis au point une intelligence artificielle baptisée Medical Brain capable d’analyser les données d’un patient pour prédire la probabilité de sa mort au moment de son hospitalisation.




La nouvelle peut paraître glauque, mais elle pourrait dans le futur accompagner efficacement le personnel hospitalier. Des chercheurs de Google Brain, associé à leurs homologues de l’université de Stanford (Etats-Unis), ont effectué des travaux permettant de prédire le sort des patients hospitalisés.

Les scientifiques ont publié dans la revue Nature une explication de leurs recherches, basées sur des méthodes de deep-learning , un système d’apprentissage automatique complexe fonctionnant grâce à un réseau de neurones artificiels. Avec cette technologie, un système est capable d’assimiler un maximum de données et de les garder en mémoire pour "réfléchir" ensuite de façon autonome.
L’intelligence artificielle Medical Brain a ainsi pu analyser des dossiers médicaux pour se représenter l’état de santé d’un patient. En partenariat avec l’Université de Californie et celle de Stanford, ainsi que l’Université de médecine de Chicago, Google a eu accès à 216 221 dossiers dépersonnalisés de patients hospitalisés pendant au moins 24 heures. Au total, 46 milliards de points de données ont été enregistrés par le système.

Grâce à cela, Medical Brain s’est montré capable de prédire la durée du séjour hospitalier d’un patient ou ses probabilités de mourir, en fonction des éléments présents dans son dossier. Dans le futur, il pourrait ainsi permettre d’adapter un traitement en fonction de ces prévisions.
Concernant la mortalité des patients, l’intelligence artificielle a obtenu une note de 0,95 sur le score parfait de 1,0 pour ses prédictions, contre 0,86 pour les méthodes traditionnelles. Une réussite qui enthousiasme Google, lui permettant d’envisager une arrivée dans le domaine de la santé et son énorme marché économique.

https://www.lci.fr/sciences/l-intelligence-artificielle-de-google-veut-predire-votre-mort-2091198.html

L'intelligence artificielle au service des demandeurs d'emploi

Dix-sept grands projets ont été dévoilés ce mercredi par le gouvernement pour améliorer les actions publiques. Parmi eux, l'usage de l'intelligence artificielle au sein de Pôle emploi. 126 millions d'euros : c'est le budget alloué par l'État pour intervenir dans 17 projets destinés à améliorer la qualité des services publics (74 millions d'euros supplémentaires s'ajouteront via un appel à projets innovants). Le ministre de l'Action et des Comptes publics Gérald Darmanin ainsi que le secrétaire d'État chargé du numérique Mounir Mahjoubi ont décidé d'accélérer la transformation numérique de l'administration française.




Parmi tous ces projets (offre de cloud d'État, projet d'identité numérique France Connect, notamment), l'État prévoit d'intégrer l'intelligence artificielle au sein de Pôle emploi. Baptisé "intelligence emploi", ce programme a pour ambition de mettre l'IA au cœur de la recherche d'emploi, d'automatiser certaines tâches et de fluidifier l'offre et la demande. "Le fait d'automatiser des tâches simples permettra aux conseillers de consacrer plus de temps à l'accompagnement", a indiqué Bercy dans un communiqué. "En aucun cas de les remplacer", tente de rassurer le ministère.
"Une meilleure exploitation des données permettra de renforcer le diagnostic de la situation du demandeur d'emploi comme des besoins de recrutement de l'entreprise", indique une source à l'AFP. Selon France Inter, qui a dévoilé l'information mercredi 20 juin, l'objectif serait de croiser notamment les données autour de l'emploi, mais aussi du marché de l'immobilier. En somme, de conjuguer le logement et le travail dans une ville précise dans laquelle le demandeur d'emploi souhaite s'installer.

L'automatisation des tâches concernera notamment le traitement des mails : ces derniers pourront être classés par ordre de priorité, mais également permettre d'organiser des rendez-vous selon les urgences. Un gain de temps considérable pour les conseillers...

Une dotation de 20 millions d'euros est prévue pour ce projet qui intègre le Fonds pour la transformation de l'action publique et qui devrait atteindre au total 700 millions d'euros durant le quinquennat du président Emmanuel Macron.

https://www.lesnumeriques.com/vie-du-net/l-intelligence-artificielle-service-demandeurs-emploi-n75325.html

Vice Versa

Vice Versa 




Quand Chercher À Faire De L’Argent Améliore La Satisfaction Clients


A l’occasion de son « conversion summit », la désormais scale-up AB Tasty et Forrester Consulting dévoilent une étude selon laquelle les programmes d’optimisation du taux de conversion (CRO)  permettent d’augmenter la satisfaction clients. 94% des entreprises déclarent ainsi que ces initiatives ont permis d’augmenter la satisfaction de leurs clients.

Alors que s’ouvre aujourd’hui son « conversion summit », la start-up de la AdTech AB Tasty et Forrester Consulting dévoilent une étude selon laquelle les initiatives d’optimisation du taux de conversion (CRO) permettent d’augmenter la satisfaction des clients. Intitulée Maximize Customer Value Through Strategic Conversion Rate Optimization, l’étude examine le processus, l’organisation, les avantages et les challenges des entreprises qui mettent en place des programmes de CRO. Résultat, 94% des entreprises déclarent que de telles initiatives ont permis d’augmenter leur satisfaction clients.



Faisons un pas en arrière. Le CRO consiste à transformer les visiteurs d’un site Internet en clients.
Le CRO est aujourd’hui une démarche considérée comme clé sur Internet dans la mesure où cette technique permet d’éviter de voir passer entre les filets les internautes arrivés sur le site grâce à l’acquisition de trafic. Les programmes de CRO requièrent souvent l’utilisation d’outils ou de méthodes, notamment l’A/B testing, dont la start-up AB Tasty tire son nom.
Entreprises visionnaires
En avril 2018, Forrester Consulting a mené une enquête auprès de 163 experts de l’expérience utilisateur et du CRO aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, et en France dans les secteurs de la finance, l’assurance, les médias, l’e-commerce, les voyages et l’hôtellerie. L’objectif était d’identifier et de comprendre comment les entreprises obtiennent les meilleurs retours sur investissement de leurs stratégies d’optimisation des conversions.
Pour le cabinet de consultation, les entreprises visionnaires sont celles qui ont un pôle d’expertise dédié (20%) et/ou celles qui suivent un processus cadré tout au long de leur stratégie de CRO (23%). Toutes les entreprises qui mettent en place ce type de stratégie obtiendraient de meilleurs résultats business.
Ainsi, les entreprises ayant un processus de CRO très structuré ont enregistré une amélioration de plus de 10% dans le temps passé sur l’application : 50% pour les entreprises avant gardistes contre 38% pour les autres, et la valeur moyenne des commandes est de 47% pour les entreprises leaders contre 36% pour les autres.
A noter que 90% des entreprises ont qualifié leur programme de CRO de « précieux », voire « extrêmement précieux » pour atteindre leurs objectifs stratégiques. Avec une certaine disparité selon les pays : 60% des entreprises américaines et 50% des entreprises britanniques considèrent les programmes CRO comme extrêmement précieux, contre seulement 35% des entreprises françaises, laissant penser qu’un certain retard en la matière a été pris dans l’adoption de ces outils.

Satisfaction clients
Le business n’est pas l’unique élément de valeur aux yeux des entreprises. En effet, l’étude montre que la mise en place d’une stratégie CRO entraîne l’augmentation de la satisfaction clients. C’est en effet l’élément le plus cité par les entreprises : 43% d’entre elles ont indiqué que leur satisfaction clients avait augmenté de 11% ou plus.
Le CRO fonctionne si bien que 83% des entreprises prévoient d’augmenter leurs dépenses globales en CRO au cours des douze prochains mois, indique l’étude.
En avril dernier, nous rencontrions Alix de Sagazan, cofondatrice en 2011 d’AB Tasty. La désormais scale-up édite des solutions de Conversion Rate Optimization (CRO), redonnant la main aux équipes marketing, notamment grâce à une vision en temps réel du parcours client et à son algorithme prédictif. L’entreprise, qui a levé 16 millions d’euros en 2017, vient d’ouvrir un bureau aux Etats-Unis et se lance à Singapour à la fin de l’année.

https://www.forbes.fr/entrepreneurs/cro-quand-chercher-a-faire-de-l-argent-ameliore-la-satisfaction-clients/

IBM présente le superordinateur le plus puissant au monde


« Summit » effectue 200 quadrillons de calculs par seconde, deux fois plus que le précédent recordman, l'ordinateur chinois « Sunway TaihuLight ».





En 2016, la Chine  frappait un grand coup dans le monde des superordinateurs en dévoilant le « Sunway TaihuLight », une machine entièrement « made in China » capable de réaliser 93 quadrillons de calculs par seconde. Ce qui en faisait le plus puissant au monde.
Mais la semaine dernière, le géant IBM a replacé les Etats-Unis en tête de cette course technologique en dévoilant le « Summit » au Oak Ridge National Laboratory, un grand centre de recherche pluridisciplinaire dépendant du gouvernement américain se situant dans le Tennesse.
340 tonnes de technologie
Coûtant plus de 200 millions de dollars, le « Summit » est capable de réaliser 200 quadrillons de calculs par seconde (le chiffre 2 suivi de 26 zéros), soit deux fois plus que le précédent record du « Sunway TaihuLight ».
Comme le note le « New York Times » , un être humain réalisant un calcul par seconde devrait plancher sur sa calculatrice pendant 6,3 milliards d'années pour effectuer le travail réalisé par le « Summit » en une seconde. Et si vous voulez égaler les performances de ce géant chez vous, vous aurez besoin de 2 millions d'ordinateurs portables standards.

Ce supercalculateur, qui occupe un espace de plus de 800 m2 au sein du Oak Ridge National Laboratory, contient 9.216 processeurs IBM et 27.648 cartes graphiques conçues par Nvidia, le tout relié par près de 300 kilomètres de câbles en fibre optique. Pour éviter que ce monstre de 340 tonnes (soit le poids d'un avion de ligne long-courrier) surchauffe, 15.000 litres d'eau sont injectés dans le système de refroidissement chaque minute.
Etudier le cancer, le climat ou le soleil
Derrière ces chiffres impressionnants, quelle est l'utilité d'un tel engin ? Selon ses créateurs, sa capacité de calcul impressionnante permettrait de faire avancer la recherche dans des domaines aussi larges que la médecine, l'étude du climat ou l'astrophysique.
Ainsi, les chercheurs du Oak Ridge National Laboratory ont déjà prévu d'exploiter le « Summit » pour trois projets différents : une recherche sur les causes du cancer, une modélisation du centre du soleil pour mieux comprendre le phénomène de fusion nucléaire et une étude des protéines humaines afin de prévenir les risques de toxicomanie.
Selon IBM, la capacité de calcul inégalée du « Summit » peut permettre aux chercheurs de traiter des données jusqu'ici trop complexes ou trop nombreuses pour être exploitables. « C'est une étape importante dans l'histoire de l'humanité », s'enthousiasme même l'entreprise  dans son communiqué .
Pour autant, la course aux superordinateurs ne s'arrête pas. Plusieurs géants du secteur ont déjà annoncé qu'ils travaillaient sur des machines d'une capacité de 1.000 quadrillons de calculs par seconde,

https://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/0301817417767-ibm-presente-le-superordinateur-le-plus-puissant-au-monde-2184563.php

PickMeUp, cabinet de recrutement expert de la tech


Lancé en 2015, PickMeUp propose à une large clientèle de professionnels, des consultants spécialisés dans le développement des systèmes d’information, actifs centraux de n’importe quelle société en 2018. Découverte d’un cabinet de recrutement réactif.





Trois pôles de spécialité
Après cinq ans dans le monde des ressources humaines du monde de la tech et du développement des offres cloud et open source, Gregory Elisabeth a décidé de se lancer dans l’entreprenariat en 2015, avec PickMeUp, cabinet de recrutement expert dans trois pôles du monde de la tech. Le premier est la recherche de profils en développement sur des technologies telles que Java, Symfony, JS, React et Python, représentant 50% des besoins couverts. Le deuxième pôle s’adresse au domaine Cloud et automatisation, au sein duquel le cabinet est au contact d’experts Linux, Docker, AWS, Google Cloud Platform (GCP), Kubernetes et Terraform. Enfin, PickMeUp dispose d’un troisième pôle concernant l’architecture, l’urbanisme, la business intelligence et le management de transition. À travers tous ces départements, le cabinet accompagne sa clientèle dans l’évolution de leur système d’information, actif principal des entreprises à l’heure actuelle. Les différentes missions proposées concernent la refonte globale de ce dernier, la montée de version d’un site ou encore la migration vers le cloud de l’infrastructure d’un client. L’Intelligence Artificielle a également une part prépondérante dans les besoins traités. Par ailleurs, actualité oblige, l’activité suit l’évolution des législations françaises et européennes avec le recours à des ressources capables de répondre à la mise en conformité de leur système de protection de données avec l’arrivée du RGPD (Règlement général sur la protection des données).
Des clients reconnus à l’instar de Deezer ou du Bon Coin
PickMeUp est la connexion idéale entre les candidats spécialistes et les entreprises. En effet, le recrutement pour ces dernières s’avère de plus en plus rude, étant donné la demande de ressource de plus en plus croissante, couplée à la raréfaction des candidats disponibles. De ce fait, le cabinet de recrutement collabore avec des acteurs reconnus dans le monde de la tech en France, à l’instar de Deezer, Le Bon Coin ou encore Chauffeur Privé. Dans un même temps, PickMeUp travaille également avec des clients startups, éditeurs de logiciels, applications grand public, médias, banques et télécoms. Un véritable panel éclectique. Niveau recrutement, la société située dans le XVIIe arrondissement parisien et à Bordeaux correspond avec des développeurs intervenants sur les briques front, back et fullstack. Une sollicitation également permanente sur la recherche de consultants devops, architectes logiciels, project managers et managers de transition. Pour trouver ces candidats, PickMeUp utilise tous les canaux possibles pour sourcer un candidat dans des temps record : réseaux sociaux, sites spécialisés, bases de données interne, diffusion d’annonces et site web officiel du cabinet.
Gagner en vélocité sur les projets
En moins de trois ans d’existence, le chiffre d’affaire de PickMeUp s’avère plus qu’honorable. Avec une première année à 1,6 million, une année 2017 à 3 millions, Gregory Elisabeth espère atteindre les 4,5 millions d’euros en 2018. Par ailleurs, dans une perspective d’évolution, l’objectif à terme pour PickMeUp serait de pouvoir réussir à on-boarder directement une équipe de trois à cinq experts à qui serait confiée l’intégralité d’un projet client. Une manière de gagner en rapidité et rationnaliser les coûts pour les entreprises. Une démarche déjà réalisée avec succès auprès d’un client phare. À l’heure actuelle, l’équipe de six collaborateurs travaille en parallèle sur le développement d’une plateforme dédiée aux consultants et aux clients avec pour objectif d’améliorer le processus de matching et augmenter leur visibilité sur internet.

https://www.forbes.fr/mediasfrance/pickmeup-cabinet-de-recrutement-expert-de-la-tech/

Lili by Hani Dombe & Tom Kouris

Lili : dreams









7 Conseils Pour Des Réunions Enfin Efficaces


Beaucoup d’entre nous souffrent d’une surcharge de travail d’équipe. Le nombre de réunions quotidiennes, d’appels téléphoniques et de courriels a augmenté de 50 % et pourtant, ils nous prennent 80 % de notre temps, selon une étude publiée par la Harvard Business Review et menée par Rob Cross, Reb Rebele et Adam Grant.

En plus de ça, il est très fréquent qu’un membre de l’équipe travaille à distance, et d’un coup, les longues réunions inefficaces deviennent monnaie courante.

Loli Wright, directrice générale de Microsoft Teams et Skype, offre des conseils pour rendre les réunions quotidiennes moins répétitives et plus inclusives.

Utilisez la vidéoconférence lorsque vous  le pouvez
Bien que tout le monde ne soit pas fan de la vidéoconférence, c’est la manière la plus efficace de mener une réunion si tout le monde ne peut pas être rassemblé dans la même pièce. La vidéo vous permet de pouvoir voir les expressions faciales de vos collègues, ce qui facilite la conversation, explique Loli Wright. De plus, c’est tout de même plus agréable de voir vos collègues que de fixer le téléphone placé au milieu de la table.

Faites participer tout le monde
Si une personne de l’assistance, ou en ligne, n’a pas encore pris la parole, demandez-lui son avis ou incitez-la à poser des questions.

Faites tomber les barrières
Soyez attentif aux éléments pouvant entraver la discussion. Par exemple, retirer la chaise qui se trouve devant la webcam, ou assurez-vous que la salle de réunion est assez spacieuse pour que tout le monde puisse s’assoir  et participer confortablement.

Dites non aux réunions à rallonge
« Une réunion ne devrait durer que le temps nécessaire », explique Loli Wright. Bien souvent, lorsque l’on prévoit une réunion de trente minutes, d’une heure ou de deux heures, les participants ont l’impression de devoir meubler cette durée. Si vous n’avez que quelques sujets à l’ordre du jour, il n’y a aucune raison de rester plus longtemps que nécessaire. Si vous pouvez finir votre réunion en quinze minutes, tant mieux.

Annulez des réunions
Toutes les décisions n’ont pas besoin d’être prises en réunion. « Si vous n’avez pas besoin d’ue réunion pour faire quelque chose, allez-y, affirme Loli Wright. Les réusions ne sont nécessaires que lorsque vous passez trop de temps à discuter d’un problème par courriel sans trouver de solution, ou si vous avez besoin de discuter en face à face. »
Ne tombez pas dans le piège de planifier des réunions régulièrement sans objectif. « N’ayez pas peur d’annuler des réunions si vous n’avez pas d’ordre du jour particulier, ou si les personnes directement concernées ne sont pas présentes ».

Regroupez les réunions
Tous le monde à besoin de temps libre durant sa journée de travail pour pouvoir se consacrer à ses propres tâches. Loli Wright recommande alors de s’assurer que vous et vos collègues disposiez d’au moins deux heures de temps de travail ininterrompu chaque jour.
Évitez les réunions répétitives
Si vous continuez de faire des réunions sur le même sujet, il est alors fort probable que personne ne partage les résultats de la réunion avec l’équipe ou quels sont les rôles de chacun en fonction des réunions. Loli Wright explique : « Après la réunion, il y a une décision ou une direction qui doit être partagée avec les différentes équipes. Nous avons souvent des réunions qui se ressemblent et nous en oublions cette dernière étape ».
https://www.forbes.fr/management/7-conseils-pour-des-reunions-enfin-efficaces/

Harry Styles - Two Ghosts





Same lips red, same eyes blue
Same white shirt, couple more tattoos
But it's not you and it's not me
Tastes so sweet, looks so real
Sounds like something that I used to feel
But I can't touch what I see
We're not who we used to be
We're not who we used to be
We're just two ghosts standing in the place of you and me
Trying to remember how it feels to have a heartbeat
The fridge light washes this room white
Moon dances over your good side
This was all we used to need
Tongue-tied like we've never known
Telling those stories we already told
'Cause we don't say what we really mean
We're not who we used to be
We're not who we used to be
We're just two ghosts standing in the place of you and me
We're not who we used to be
We're not who we used to be
We're just two ghosts swimming in a glass half empty
Trying to remember how it feels to have a heartbeat
We're not who we used to be
We're not who we used to be
We're just two ghosts standing in the place of you and me
We're not who we used to be
We don't see what we used to see
We're just two ghosts swimming in a glass half empty
Trying to remember how it feels to have a heartbeat
Trying to remember how it feels to have a heartbeat
I'm just trying to remember how it feels to have a heartbeat

Luc Poirier : Le Multimillionnaire Québécois Aux Idées Folles


Luc Poirier est un entrepreneur dans l’âme qui carbure aux défis. Le multimillionnaire québécois métamorphose ses idées folles en projets grandioses et en histoires à succès. Entrevue avec un passionné qui n’a jamais hésité à sortir des sentiers battus pour paver la voie de son propre succès.

Au fil du temps, Luc Poirier est devenu un des plus grands promoteurs immobiliers de la région de Montréal. À peine entré dans l’adolescence, le garçon natif de Longueuil – une banlieue située sur la Rive-Sud de Montréal – et issu d’un milieu moins bien nanti, canalise son énergie dans le but de sortir de la pauvreté, tout en utilisant ses réflexes de survie à son avantage. À quatorze ans, il parvient à générer des revenus de 30 000$ en échangeant de simples cartes de hockey. À 16 ans, il possède déjà sa propre Porsche. « Je touchais 1000$ par jour en vendant des cartes de hockey, je faisais plus que mes deux parents réunis ».

Luc Poirier est un homme d’affaires déterminé qui ne craint pas de tout miser s’il juge un projet suffisamment porteur. Dans la vingtaine, après avoir empoché des millions suite à la vente d’un commerce informatique, il fait l’acquisition d’un premier édifice à vocation commerciale. De fil en aiguille, il étend son activité et se lance dans les projets d’habitation d’envergure.
Autre exemple de sa détermination, il a présenté en 2012 le projet de construction d’un nouveau tunnel reliant la Rive-Sud à Montréal. Baptisé le Tunnel centre-ville, ce projet serait entièrement financé par des capitaux privés. Il a également propulsé Bewegen, un service de vélos électriques en libre-service actuellement déployé dans plusieurs villes à travers le monde, notamment à Birmingham aux États-Unis, à Wolfsburg en Allemagne et à Lagoa au Portugal.






Il suffit qu’on mette en doute la possible réussite d’un projet pour qu’il s’efforce de démontrer le contraire. « Le projet Upbrella à Montréal, tout le monde disait que ça ne se pouvait pas, nous on l’a fait. On a construit un édifice en commençant par le toit, et le toit s’élève au fil de la construction. On construit en-dessous et on est toujours protégé du vent, de la pluie, de la glace, de la neige et même du sable et de la chaleur. C’est le seul moyen au monde pour y arriver. » Avec cette technologie audacieuse, il lance un produit des plus innovateurs au potentiel international.
Cet entrepreneur autodidacte possède la capacité de flairer les occasions d’affaires tout étant en mesure de gérer le risque associé. « Je n’ai pas eu de mentor, j’ai tout appris par moi-même ou dans les livres. » À 41 ans, le multimillionnaire lance Voir grand: leçons d’affaires, de vie et de liberté, un ouvrage autobiographique écrit en collaboration avec l’auteur Marc Fisher. Ce livre devient rapidement best-seller au Québec.
Avec l’idée en tête qu’il n’y a pas de succès sans travail, l’homme qui s’est déjà attaqué à l’ascension du Mont Everest n’a jamais compté ses heures de travail. « Je dors cinq heures par nuit plutôt que huit; ces trois heures représentent des mois de travail à la fin de l’année. » Aujourd’hui père de trois enfants, il s’assure de profiter de quatre mois de vacances chaque année afin de passer le plus de temps possible avec sa famille, qu’il qualifie de plus grande richesse. « Le plus bel avantage de l’entrepreneur, c’est la liberté.»
Luc Poirier a même déjà décliné une proposition d’affaires de son idole, le milliardaire Richard Branson, qui lui avait offert un partenariat et une expansion internationale, après avoir visité le Bota Bota, un centre spa innovateur qui flotte au quai du Vieux-Montréal.
Contrairement à plusieurs hommes fortunés au Québec, Luc Poirier accepte de parler de sa fortune sans aucune retenue, c’est d’ailleurs une source de fierté pour lui. « Je suis fier d’avoir réussi et de faire de l’argent, il ne faut pas le cacher, au contraire. Les gens qui réussissent font travailler d’autre monde, ils créent la richesse. Le niveau de vie de tous est amélioré. »
https://www.forbes.fr/entrepreneurs/luc-poirier-le-multimillionnaire-quebecois-aux-idees-folles/

iPhone X, Nouveau Design Pour Le Smartphone D’Apple

iPhone X, Nouveau Design Pour Le Smartphone D’Apple
Au mois de mai, nous avons confirmé une nouvelle gamme iPhone X d’Apple, ainsi qu’une annulation. Aujourd’hui, nous sommes en mesure de vous révéler les designs des nouveaux modèles, les plus excitants depuis la création de ces smartphones, et le changement le plus radical également.

En collaboration avec le célèbre fabricant d’accessoires Ghostek, celui-là même qui avait permis d’en dire plus sur le dernier Galaxy S9 de Samsung en décembre, nous avons obtenu des schémas des iPhone X « budget » et iPhone X Plus. Nous nous attendions tous à ce que le premier soit le bestseller de la nouvelle gamme d’Apple, mais le second pourrait finalement bien bouleverser le monde des smartphones.



Décryptons-les.
iPhone X Plus – Une triple menace
La plus grande nouveauté visible sur ces schémas est l’introduction d’une caméra arrière sur l’iPhone X Plus. Huawei a déjà avancé Apple en intégrant cette technologie sur le P20 Pro, mais l’iPhone X Plus sera le smartphone qui l’apportera au grand public.
La configuration à triple lentilles d’Apple reste pour l’heure inconnue, mais il serait logique de copier l’approche de Huawei d’une caméra monochrome soutenant les modules primaires et les téléobjectifs. Cela produit une photographie en basse lumière. Et le faible éclairage est également un domaine où Apple a lutté contre ses rivaux (un en particulier, le Pixel 2 de Google) ces dernières années.
Nous comprenons donc ici que la deuxième génération de l’iPhone X se tiendra à deux caméras – encore une fois – et qu’Apple va proposer son meilleur système de caméra pour le plus grand (et le plus cher) de ces modèles.
Par ailleurs, les schémas montrent qu’Apple a réussi à combiner un écran de 6,5 pouces dans l’iPhone X Plus, tout en maintenant une empreinte plus petite que sur l’iPhone 8 Plus de 5,5 pouces : 157,2 x 77,1 mm (6,18 x 3,03 pouces), par rapport à 158,4 x 78,1 mm (6,24 x 3,07 pouces). Cela dit, son châssis en acier signifie qu’il devrait peser plus lourd que les 202 grammes en aluminium de l’iPhone 8 Plus.

iPhone X « Budget » – Adieu Mini iPhone X

En mai, nous vous révélions qu’il n’y aurait pas de « mini iPhone X » et ces schémas prouvent qu’en effet, une fois encore, Apple a vu les choses en grand.
L’iPhone X « budget » (dont le véritable nom n’est pas encore connu), mesurera 147,12 x 71,52 mm (5,79 x 2,81 pouces), ce qui est plus long et plus large que l’actuel iPhone de 5,8 pouces : 143,6 x 70,9 mm (5,65 x 2,79 pouces).
Oui, comme la rumeur le prétend, il s’agirait bel et bien d’un téléphone de 6,1 pouces.
Ses « coupes budgétaires » peuvent être vues au niveau de la caméra arrière, unique (il perdra également le 3D Touch), tandis que vous remarquerez que l’encoche est plus prononcée.
L’iPhone X « budget » disposerait en outre de la première génération de la technologie Face ID, tandis que les nouveaux iPhone X et iPhone X Plus seront équipés de la seconde génération. Mais prenez cela avec des pincettes car cette information vient d’une source non-prouvée.
Bien sûr, la caractéristique la plus intéressante de l’iPhone X « budget » reste son prix, avec Apple qui devrait réduire les prix de l’ordre de près de 300 euros, par rapport à l’année dernière.
Inutile de dire que, aussi loin de la sortie, il est possible que les designs changent, mais avec une production de masse prenant plusieurs mois pour monter en puissance, il n’y a pas vraiment de temps, même pour la plus petite des modifications.
Alors, mesdames et messieurs, vous pouvez d’ores et déjà contempler deux des iPhones les plus excitants jamais produits par Apple…

https://www.forbes.fr/technologie/design-iphonex-apple/

XPRIZE : Comment La Technologie Peut-Elle Mettre Fin À l’Illetrisme Dans Le Monde ?


En septembre dernier, Elon Musk, le PDG de Tesla et SpaceX a fait don de 15 millions de dollars au Global Learning XPRIZE. L’objectif de cette fondation est de développer des méthodes d’enseignement pour les 250 millions d’enfants à travers le monde qui n’ont pas accès à l’éducation primaire ou secondaire. Le but étant de leur donner les moyens d’apprendre eux-mêmes à lire, écrire et compter en seulement 15 mois. Il existe de nombreux programmes de construction d’écoles et de formation d’enseignants, mais leur mise en place est très longue et ils ne peuvent pas répondre à la demande croissante et immédiate.



L’analphabétisme a longtemps empêché ses victimes de participer à l’économie locale. Et cette mise à l’écart ne fait que s’accroître, alors que notre monde devient hyperconnecté. Si l’on prend l’exemple d’un enfant illettré dans un pays en voie de développement, il y a une dizaine d’années, ça l’aurait seulement empêché de gérer une ferme dans sa ville natale. Aujourd’hui, avec la connectivité, les plateformes de commerce en ligne, et les innovations omniprésentes, telles que le programme e-Residency en Estonie, un enfant illettré sera coupé de toutes opportunités à l’échelle mondiale.


Une solution radicale
Les progrès technologiques ont mis en exergue le problème mondial de l’analphabétisme, mais ils renferment certainement le remède de ce fléau. « Le génie indispensable pour résoudre les problèmes se trouve dans la population », a déclaré Matt Keller, directeur général de Global Learning XPRIZE. « Et la technologie permet à XPRIZE d’atteindre la population ».

Fondée par Peter Diamandis, XPRIZE est un « moteur d’innovations » à but non lucratif, qui utilise la ludification, le crowdsourcing et des récompenses pour motiver la population à participer à une compétition, avec pour objectif final de mettre en place des outils ou méthodes révolutionnaires pour relever les grands défis de l’humanité à l’échelle mondiale. Il y a eu un grand nombre de compétitions réussies, et notamment, le XPRIZE Ansari de 10 millions de dollars, qui a permis de catalyser la course privée à l’espace.
Des équipes participant au défi du Global Learning XPRIZE se sont formées tout autour du monde afin de développer un logiciel open source stable, qui permettra aux enfants des pays en voie de développement, âgés de sept à dix ans, d’apprendre les bases de la lecture, de l’écriture et du calcul, sans l’aide d’un adulte et en seulement quinze mois. Des centaines d’équipes provenant de plus de quarante pays ont participé à la compétition. Et l’an dernier, cinq finalistes ont été sélectionnés.

Des tests élargis
Récemment, lors d’un évènement qui s’est tenu à Washington D.C., à l’Innovation Center de 3M, XPRIZE a élargi la portée et l’échelle des phases de test en annonçant la création d’une nouvelle « Impact Coalition ». Alors que les finalistes effectuent déjà des tests dans 150 villages de Tanzanie, les essais sur le terrain seront élargis pour proposer plusieurs langues et environnement, sous la direction de chaque partenaires de l’Impact Coalition. L’objectif de cette dernière, selon la directrice de la stratégie de Global Learning XPRIZE, Emily Church, est de « recueillir et partager des ensembles de données accessibles dans le monde entier en lien avec notre logiciel open source .

Les premiers pilotes de tests sur terrain dirigés par l’Impact Coalition sont les suivants :
    •    la Fondation Queen Rania : l’objectif de ce pilote est d’explorer de potentiels cas d’application d’apprentissage mobile afin de soutenir l’alphabétisation  pour les réfugiés jordaniens et syriens. La fondation Queen Rania mènera des recherches dans les domaines où les technologies d’enseignement peuvent avoir le plus d’impact sur la vie des enfants, que ce soit à l’école, à la maison, ou dans des centres d’apprentissage.
    •    Education Cannot Wait (ECW) : en tant que premier et unique fonds mondial pour l’enseignement dans des contextes d’urgence, Education Cannot Wait a investi dans quinze pays en crise. ECW reconnaît l’importance de l’innovation pour donner aux enfants, et aux jeunes en général, l’opportunité d’apprendre, même dans les circonstances les plus précaires. Cette organisation cherche des partenariats afin d’élargir son action dans des pays tels que la Syrie, le Bangladesh et l’Ouganda.
    •    Teach the World Foundation : elle a déjà mené des tests similaires au Pakistan et au Bangladesh au cours des deux dernières années et lancera deux nouveaux programmes de grande envergure en Asie du sud et en Afrique subsaharienne en 2018, dans le but d’aider plus de 10 000 enfants, y compris des réfugiés Rohingya au Bangladesh.
    •    Imagine Worldwide : actuellement appliqué dans deux écoles primaires, ce programme à long terme, qui devrait durer au moins deux ans, utilisera son logiciel pour donner à des milliers d’enfants du Malawi, l’opportunité d’apprendre à lire et à compter dans leur langue natale, le chichewa. Ce programme devrait permettre de mieux appréhender l’impact de la technologie sur l’apprentissage. Imagine Worldwide prévoit également de mettre en place une série de programmes à court terme dans le camp de réfugié de Dzaleka au Malawi, afin d’étudier l’impact du logiciel dans différents contextes.
    •    la Global Alliance for Humanitarian Innovation (GAHI) : avec XPRIZE et la Foudation Queen Rania, GAHI et son partenaire Education Cannot Wait, développeront un cadre permettant d’évaluer l’efficacité des innovations dans un contexte d’urgence.

Des méthodes diverses
XPRIZE pense que l’expérimentation rapide de plusieurs méthodes est le moyen le plus efficace de développer une solution. La diversité des méthodes était exposée lors du Global Learning Impact Summit, où étaient présentes les cinq équipes finalistes, rassemblées pour la première fois depuis le début de la compétition.
Regardons de plus près les logiciels développés par deux des équipes finalistes : CCI et RoboTutor.

https://www.forbes.fr/technologie/xprize-comment-la-technologie-peut-elle-mettre-fin-a-lilletrisme-dans-le-monde/