Entretien d’embauche : les 10 questions les plus fréquentes

Question n°1 – Pouvez-vous me parler de vous ?
En d’autres termes, votre interlocuteur vous demande de vous présenter, professionnellement parlant. L’exercice n’est pas compliqué si ce n’est qu’il doit suivre certaines règles.
Veillez à rester synthétique et ne pas monopoliser la parole plus de quelques minutes.
Vous devez donc être précis en un délai assez court : pour cela, ne parlez que des expériences en lien direct avec le poste proposé.

Question n°2 – Pourquoi avez-vous quitté votre dernier poste ?
Et sous-entendu : Que pensez-vous de la dernière entreprise pour laquelle vous avez travaillé ?
Le but ici n’est pas de critiquer votre ancien emploi ou entreprise. En étant positif, vous pourrez exposer brièvement les raisons de votre départ.
Les recruteurs recherchent des candidats positifs, loyaux et aptes au travail d’équipe.
Cette question rejoint souvent la précédente. L’objectif est de voir ce que vous avez retiré de votre précédente expérience, quel est votre état d’esprit vis-à-vis de votre ancienne structure, de vos anciens collègues et employeurs.
Les recruteurs ont besoin de voir si pouvez rester concentré(e) sur ce que cet ancien poste vous a apporté de bénéfique.

Question n°3 – Quels sont vos succès / échecs ?
Il s’agit là de succès ou échecs professionnels. Pour les succès, cela peut aller de l’obtention d’un poste que vous souhaitiez particulièrement à la réussite d’un projet important.
Quant aux échecs, l’important est de montrer comment vous les avez surmontés.
Veillez pour chacun des évènements à apporter des arguments précis, idéalement chiffrés.

Question n°4 – Quels sont vos qualités et vos défauts ?
Répondez honnêtement à la question. Sans devenir votre pire critique, n’allez pas jusqu’à dire que vous n’avez pas de défaut et faire votre propre apologie.
Vous devez montrer au recruteur que vous vous connaissez bien et que vous êtes sincère.
Chacune de vos réponses doit être argumentée d’exemples. Choisissez des exemples professionnels et pour vos défauts, montrez comment vous travaillez à vous améliorer.
Par exemple, pour faire face à une gestion de projets toujours plus nombreux et améliorer votre gestion du temps, vous lisez certains ouvrages ou revues (à citer)…
Évitez de mentir ou de citer un faux défaut (“je m’investis trop professionnellement”), le recruteur n’apprécierait pas la tentative de supercherie.
Si votre interlocuteur vous demande qualités et défauts : limitez-vous à une qualité et un défaut.
Si la question ne porte que sur l’un ou l’autre, vous pouvez allez jusqu’à trois maximum.

Question n°5 – Pourquoi voulez-vous travailler chez nous ?
Comme vous le savez, il est primordial de bien vous renseigner sur l’entreprise qui vous reçoit (voir notre article : Entretien d’embauche : Ce qu’il faut savoir à propos de l’entreprise).
Ce sont ces informations qui vous permettront de répondre à cette question.
Son activité, son histoire… sont autant d’éléments qui vous donnent envie de la rejoindre et leur connaissance vont démontrer votre intérêt au recruteur.

Question n°6 – Que savez-vous sur notre activité ?
Cette question arrive généralement à la suite de la n°5 : vous avez montré que vous connaissiez un minimum l’entreprise, assez pour être intéressé(e).
Du coup, le recruteur veut creuser plus loin : que savez-vous réellement à part les quelques informations de leur page d’accueil du site ? Votre intérêt est-il réel ou feint ?
C’est à ce moment que vous devez prouver que vous êtes réellement intéressé(e) et que vous avez recherché de l’information pour votre entretien.
C’est aussi l’occasion de poser une question si un élément ne vous a pas paru assez clair suite à votre recherche.

Question n°7 – Qu’attendez-vous de ce poste ?
A vous de jouer franc jeu : vous recherchez un poste au sein duquel vous pourrez vous épanouir professionnellement, avec une bonne dynamique d’équipe et un environnement de travail agréable ?
Parlez-en ! Si la rémunération est un facteur important pour vous, cela peut aussi être le moment pour aborder le sujet.

Question n°8 – Qu’est-ce qui vous motive pour ce poste ?
Pour répondre, vous pouvez réutiliser ce que vous aura appris le recruteur sur le poste au début de votre entretien ainsi que le descriptif des missions dans l’annonce.
S’il s’agit d’un projet en général, ou encore d’un contexte particulier vous pouvez bien sûr le mentionner.
À éviter cependant de mettre trop l’accent sur la rémunération, notamment si elle est le facteur principal de votre motivation.

Question n°9 – Où vous voyez-vous dans cinq ans ?
Cette question sera posée dans le cadre d’un poste à pourvoir en CDI.
Permettez-vous une certaine ambition, tout en étant réaliste. Vous pouvez parler de votre envie de gagner en responsabilités, de développer vos compétences…
S’il s’agit d’une société au sein de laquelle vous pouvez gravir régulièrement des échelons et que cela fait partie de vos motivations, vous pouvez l’évoquer.
Si ce n’est pas le cas – et que cela vous convient – soyez plus modéré(e) dans l’expression de vos ambitions hiérarchiques et parlez donc de nouvelles missions et responsabilités.

Question n°10 – Avez-vous des questions ?
LA question inévitable, posée en fin d’entretien.
Il se peut que vous ayez déjà posé vos questions pendant le reste de l’entretien ; cependant, lorsque que vous vous préparez (voir notre article : L’entretien d’embauche : comment s’y préparer ?), pensez à garder une question pour la fin.
Que ce soit sur la société en elle-même, le groupe ou encore son site internet, il est préférable de terminer sur une question.

https://blog.comptalia.com/10-questions-entretien-embauche.html

Social selling: 4 étapes pour bien prospecter sur les réseaux sociaux

Internet et les réseaux sociaux ont profondément modifié les comportements des consommateurs, chamboulant les méthodes de prospection commerciale traditionnelles jugées trop intrusives par les consommateurs. Le guide Digital marketing 2018 de l'EBG vous donnent les clés du social selling.

Internet et les réseaux sociaux ont entraîné un changement de paradigme en transférant le pouvoir du commercial au client. Désormais, 70 % des achats sont réalisés sans même l'intervention d'un vendeur et, en BtoB, 60 % de la décision d'achat du consommateur est prise avant de rencontrer un commercial.
Le consommateur préfère désormais rechercher lui-même l'information sur internet plutôt que de se la voir imposer via des actions de prospection agressives qu'il n'a pas demandées. Ce changement de paradigme soulève deux enjeux pour votre entreprise.

D'abord, votre entreprise doit être visible sur Internet pour avoir une chance d'attirer l'attention du consommateur et le convaincre de mettre la main au portefeuille. Ensuite, vos commerciaux doivent revoir leurs méthodes pour séduire un consommateur toujours plus sauvage et sur-sollicité.
Ils ne peuvent plus se contenter de décrocher leur téléphone et réaliser des présentations commerciales pour atteindre leurs objectifs. Désormais, vos consommateurs en savent au moins autant que vos commerciaux sur vos produits et services. Ils ont épluché votre site internet. Ils ne souhaitent pas que vous rabâchiez ce qu'ils ont déjà lu, mais ont plutôt désormais besoin d'être rassurés et convaincus que votre entreprise est bien la meilleure pour les aider à atteindre leurs objectifs ou résoudre leurs problématiques.
La personnalisation est donc la clé de la réussite. Pour prospecter avec succès, vous devez désormais mener des actions visant à établir une relation de qualité avec vos consommateurs bien avant qu'ils aient même conscience d'avoir un besoin. Ensuite, vous devez entretenir cette relation en adaptant vos actions tout au long de leur processus d'achat.

Le processus d'achat : un parcours en 3 temps
Pour prospecter efficacement sur les réseaux sociaux et sur le Web en général, il est important d'appréhender le parcours d'achat de vos consommateurs dans son intégralité. Le parcours d'achat du consommateur se compose de 3 étapes-clés : la prise de conscience d'une problématique, l'analyse des solutions et la prise de décision.
Durant l'étape de la prise de conscience, l'acheteur identifie une problématique à laquelle il est confronté. Il décide alors si cette problématique est suffisamment importante pour être résolue ou si elle ne l'est pas suffisamment pour être traitée.
Lors de l'étape suivante, l'acheteur est convaincu qu'il doit résoudre la problématique qu'il rencontre et analyse les solutions qui se présentent à lui. Il compare les méthodes et évalue les offres à sa disposition. Bien souvent, ces deux étapes sont réalisées avant de rencontrer un commercial.

Pour finir, au moment d'attaquer la troisième étape du parcours d'achat, l'acheteur a déjà retenu le type de solution qu'il juge le plus pertinent. Il a sélectionné quelques offres dans ce sens qu'il compare afin de décider laquelle répond au mieux à ses attentes.
Dans le cadre d'une stratégie de prospection traditionnelle, vos commerciaux ne prennent pas en compte les particularités de ce parcours d'achat et ils abordent les prospects toujours de la même manière. Désormais, avec les réseaux sociaux, vous pouvez optimiser votre stratégie de prospection en privilégiant les prospects les plus chauds et en personnalisant chacune de vos actions. C'est là tout l'intérêt du social selling.

Les 4 étapes de la prospection sur les réseaux sociaux
Pour prospecter efficacement sur les réseaux sociaux, il ne suffit pas de créer un compte sur LinkedIn et d'ajouter le maximum de contacts à votre réseau. La clé du succès réside dans votre capacité à définir et mettre en place une stratégie social selling pertinente.

Étape #1 : l'optimisation de vos réseaux sociaux
Cela peut paraître naturel, mais on constate bien souvent en entreprise que des commerciaux essaient de prospecter sur les réseaux sociaux avec un profil vide... Sans intérêt ! La première chose à faire pour prospecter efficacement sur les réseaux sociaux est d'optimiser vos profils.
Pour cela, prenez la peine d'ajouter des photos à votre profil. On parle ici d'abord de la photo de profil qui doit être professionnelle et en adéquation avec les préférences de votre cible et votre image de marque. Ensuite, et elle est bien trop souvent oubliée, on parle également de la photo de couverture qui est une excellente opportunité de renforcer votre image et d'en dire un peu plus sur votre domaine d'activité. Sur un profil LinkedIn, il est ainsi courant de mettre par exemple une photo de couverture qui démontre que vous disposez d'une autorité suffisante pour intervenir en public.
Ensuite, prenez bien soin de remplir toutes les sections à votre disposition. C'est comme cela que vous vous démarquerez de vos concurrents et gagnerez en visibilité sur les réseaux sociaux :

Définissez un titre évocateur qui reflète bien votre métier ;
Remplissez la section description en incitant à la prise de contact ;
Détaillez vos expériences et la valeur ajoutée que vous apportez à vos clients.

Pensez également à demander à vos clients de vous recommander. Sur LinkedIn notamment, vous avez la possibilité d'afficher des recommandations et celles-ci convaincront à elles seules vos prospects de donner suite à votre sollicitation et même de vous contacter directement.
Enfin, partagez sur vos réseaux sociaux du contenu à forte valeur ajoutée traitant des problématiques que rencontre votre cible. Ce contenu peut être directement créé par vous, votre entreprise, ou alors provenir de sites faisant autorité dans votre domaine d'activité. Ainsi, votre profil sera attirant et renforcera votre image d'expert.

http://www.e-marketing.fr/Thematique/social-media-1096/Breves/Social-selling-etapes-bien-prospecter-reseaux-sociaux-329483.htm

L’Intelligence Artificielle Peut-Elle Être Discriminante ?

Hier, lors de la signature d’un contrat d’assurance ou pour l’obtention d’un prêt, votre interlocuteur analysait les éléments que vous lui aviez apportés, et la décision dépendait en partie de votre présentation du dossier. Mais demain, avec l’intelligence artificielle, l’algorithme donnera une réponse basée sur des milliards de données corrélées et personne ne sera en mesure d’analyser ou de contester cette décision.
Des milliards de données mémorisées et corrélées

Si l’algorithme a mémorisé un fort taux d’impayés dans le quartier où vous habitez, s’il a déduit de vos achats que vous étiez en surpoids, ou que vous fumiez, si par votre nom ou prénom il vous a identifié comme étant d’une origine ayant un fort taux d’infractions au code de la route, alors même que vous êtes, vous, irréprochable, la réponse à votre demande de prêt ou d’assurance sera refusée, et vous n’aurez alors aucune explication.

Explicabilité de la décision de l’intelligence artificielle
L’explicabilité n’est pas prévue par ce réseau de neurones dit artificiel ou profond qu’on appelle le Deep Learning, outil fustigé jusqu’aux années 80 mais de plus en plus présent dans l’intelligence artificielle aujourd’hui. Il faut savoir que si on est capable de décoder un programme informatique standard, on est incapable de savoir ce qu’il se passe dans la « black box » du Deep Learning. On connaît ce qui y entre et on considère comme juste ce qui en sort, alors qu’on est incapable d’expliquer ce qu’il se passe dedans.
Les américains ont pris conscience du problème, c’est pourquoi ils ont lancé un programme militaire dont la seule ambition est d’expliquer l’intelligence artificielle : https://www.darpa.mil/program/explainable-artificial-intelligence

Prolifération de biais indirects et habiles
De quels biais parle-t-on ? Du sexe, de la zone d’origine du candidat, de l’historique de sa famille, de son lieu d’habitation, de son comportement, de sa conduite, consommation et éventuellement vie privée et secrète. L’algorithme ne fera en fait que reproduire et amplifier les discriminations déjà existantes . Si aucune femme n’a occupé tel poste, ou n’a jamais réussi dans tel secteur d’activité,  il en déduira que les femmes sont moins performantes dans ce secteur , et rejettera la demande, et cela ne fera qu’amplifier les discriminations, et les certitudes mathématiques du Deep Learning.
Autre biais, les geeks féminins étant peu présents dans l’IA dont le «Deep Learning» (moins de 15%), l’algorithme est donc le plus souvent construit par des hommes qui sont pour beaucoup passés directement des jeux en ligne aux algorithmes. On peut donc imaginer que cela amplifiera la discrimination dont les femmes sont victimes.

L’intelligence artificielle a-t-elle pris le pas sur les humains ?
Si on s’intéresse un peu aux mathématiques, l’intelligence artificielle basée sur les probabilités, mais truffées de biais, voire de doublons, ne laissera plus aucune chance à l’ascenseur social, un outil d’humains, pour ne pas dire manuel.  
Car en théorie des probabilités, l’espérance mathématique d’une variable aléatoire réelle est, intuitivement, la valeur que l’on s’attend à trouver, en moyenne, si l’on répète un grand nombre de fois la même expérience aléatoire. Pour simplifier, si vous êtes une personne originaire de telle partie du monde, si vous résidez dans un quartier dit difficile, avant l’IA, si vous répétiez inlassablement vos candidatures, vous aviez des chances de réussir, c’est ce que l’on appelle « l’espérance mathématique ». Cette espérance mathématique disparaît avec l’intelligence artificielle.
Autre exemple de la perte de contrôle de l’IA qui a incité l’université Carnegie Mellon aux USA à créer un centre de recherche sur l’éthique de l’intelligence artificielle, le K&L . L’université avait remarqué lors d’une de ses études qu’une intelligence artificielle offrait systématiquement des postes moins bien rémunérés aux femmes qu’aux hommes. Les chercheurs n’avaient alors pu identifier ni le biais ni l’origine de ce fait, d’où l’idée de création de ce centre d’études.
À quoi s’attendre alors qu’il est impossible d’auditer une décision algorithmique de « Deep Learning » ?
On lit beaucoup de textes enthousiastes sur les perspectives de développement, on lit moins de textes sur l’éthique, les biais cognitifs algorithmiques ou sur les doublons (grand sujet) lors de la construction de l’Algo.
Bien sûr, il n’est pas question que la France devienne le donneur de leçons d’éthique en intelligence artificielle alors que les Etats-Unis et la Chine, eux, font du business.
Néanmoins, la non-neutralité des machines et des calculs construits par des humains doit nous mettre en garde contre une confiance aveugle et une vision naïve des données produites par les algorithmes. On rappellera les déboires de Facebook lors des présidentielles américaines, ou encore récemment cette recherche douteuse sur la reconnaissance faciale concernant l’identification des homosexuels.
La réalité “gênante”, c’est que les algorithmes qui sont mis en service contiennent nombre de biais voire des erreurs de doublons, et que personne ne peut auditer ce qu’il se passe dans cette « black box » du « Deep Learning ». Pour faire un parallèle, la black box est un peu comme un médicament dont on ne connaît pas les actions, dont ne peut juger que les résultats et les effets secondaires.
En conclusion, les techniciens et autres super geeks devraient cesser de se considérer comme de purs scientifiques, car ils construisent les outils de notre vie de demain, mais ça, c’est une autre histoire.

https://www.forbes.fr/technologie/lintelligence-artificielle-peut-elle-etre-discriminante/

Life, life will never be the same

You are stronger than you think



Life, life will never be
Life, life will never be the same
Time is gettin' cold what is going on
What is on your mind are your feelings gone
Need to see it clear where do we go
Why are you doing things all the things you do yeah
Yeah
Life will never be the same life is changin' yeah yeah
Life will never be the same life is changin'
Everybody needs somebody to love to love
Solo yeah
Yeah oh oh
In the name of love you should draw the line
Got to feel secure
That you're still mine yeah
Yeah
Life will never be the same life is changin' yeah yeah
Life will never be the same life is changin'
Everybody needs somebody to love to love
Solo yeah
Yeah oh oh ...
Life will never be the same Life is changin'
Solo oh oh yeah
Yeah oh oh yeah
Yeah
Oh oh yeah yeah
Life will never be the same life is changin' yeah
Yeah
Life will never be the same life is changin'
Life, life will never be
Life, life will never be the same

I had a black dog

At its worst, depression can be a frightening, debilitating condition. Millions of people around the world live with depression. Many of these individuals and their families are afraid to talk about their struggles, and don't know where to turn for help. However, depression is largely preventable and treatable. Recognizing depression and seeking help is the first and most critical towards recovery.

In collaboration with WHO to mark World Mental Health Day, writer and illustrator Matthew Johnstone tells the story of overcoming the "black dog of depression".



http://matthewjohnstone.com.au



Qu’est-ce que le social selling ?

Le social selling n’est pas simplement la création de profils sur les réseaux sociaux par vos équipes marketing et commerciales. Le social selling est un processus de recherche, de sélection, d’écoute et d’interaction avec des prospects potentiels via les réseaux sociaux. Il permet de détecter, d’accélérer et/ou de développer des business.
Le social selling est une des conséquences de la transformation numérique : aujourd’hui en BtoB, 57% des décisions d’achats sont prises bien avant le premier contact avec un commercial. Les acheteurs et décideurs se sont simplement forgés une opinion, un avis, grâce à des recherches sur Google et sur les réseaux sociaux. C’est ce que l’on appelle le pré-achat : c’est un cycle plus ou moins long (en fonction de l’importance de l’achat, du secteur, du type de produit / service) de prise d’informations, de benchmark et de tri avant de faire le pas vers une démo de votre logiciel, une présentation de votre service ou encore une demande de devis.
Comment préempter cette phase de pré-achat ? C’est là que les contenus entrent en jeu : vos équipes commerciales doivent diffuser au bon endroit, au bon moment et surtout aux bonnes personnes des contenus qui vont prouver votre expertise, votre savoir-faire, démontrer la performance de votre produit / service mais aussi des contenus qui répondent à une problématique chez vos clients potentiels. Bref, tout ce qui va influencer l’acheteur pendant son cycle de pré-achat.
Le social selling ne remplace pas les techniques commerciales et marketing classiques (prospection téléphonique, mailing, salons, réseaux, etc.) ; c’est simplement un canal supplémentaire qui permet de générer plus de leads, de réduire le cycle de vente de vos équipes et potentiellement de mieux convertir.
Comment mettre en place une démarche de social selling ?



1) Sélectionnez votre dream team de social sellers !
Le social selling s’appuie sur vos équipes et il doit être incarné. Vos commerciaux doivent mettre à disposition de votre entreprise leurs profils sur les réseaux sociaux et donc leurs réseaux sur les différentes plateformes. Tous vos commerciaux ne seront pas prêts à entreprendre une démarche de social selling. Vous devez en amont repérer les profils susceptibles d’être intéressés. Comment ? En commençant par regarder leur pratique actuelle : sont-ils présents sur Twitter, LinkedIn ? Est-ce qu’ils font de la veille ? Sont-ils friands de contenus professionnels ?
Le plus simple est de faire une annonce et d’inviter les volontaires à participer plutôt que d’imposer le social selling à toutes vos équipes. Dans tous les cas, il est toujours plus simple de commencer avec une petite équipe !
La question de la frontière entre perso / pro est une problématique importante. Il faut voir le social selling comme une méthode gagnant-gagnant : en étant actif sur les réseaux sociaux, les commerciaux gagnent en expertise, en crédibilité et en visibilité et ce sera toujours utile pour leur carrière. Pour l’entreprise, le social selling permet d’intégrer les équipes, de les souder et de les motiver autour d’une nouvelle pratique.

2) Optimisez les profils sur les réseaux sociaux
Bien que le social selling ne soit pas une simple création de profil, la première étape est forcément de construire sa présence sur les différentes plateformes  et de bien partager sur les réseaux sociaux (en BtoB, on va privilégier LinkedIn et Twitter) et surtout d’optimiser les profils sur les plateformes.
Pour faire simple, vous devez penser les profils pour qu’ils soient attractifs aux yeux de vos prospects. Vous devez utiliser les bons mots clés liés à vos domaines d’expertise dans les sections de présentation, résumé et bio.
Pour maîtriser les codes des différents réseaux sociaux, vous devez mettre en place plusieurs vagues de formations et accompagner vos commerciaux dans cet apprentissage.

http://invox.fr/ressources/quest-ce-que-le-social-selling/



UPW : libérez votre puissance intérieure

Suivre ce séminaire a été la plus belle chose qui me soit arrivée en 2017, je le conseille à tous et toutes, votre vie ne sera plus jamais comme avant.

Comment maîtriser les stratégies pour atteindre ce que vous voulez...
Les clés de la confiance pour dépasser avec sérénité les obstacles à franchir... même si vous pensez déjà avoir tout essayé ! Comment en permanence augmenter votre énergie physique et votre niveau de concentration...



Le programme du séminaire ? 

Jour 1 : transformer vos peurs en pouvoir 
Ceux qui ont une vie extraordinaire, qui réalisent leur plus grande ambition et leurs rêves les plus fous ont un dénominateur commun : ils savent transformer la peur en pouvoir.

Pour cette première journée, vous allez non seulement recevoir des enseignements fondamentaux, mais vous allez également les intégrer activement en vous pour générer en vous un sentiment de puissance, de victoire qui vous donnera une confiance en vous inébranlable, afin de réaliser les résultats concrets que vous voulez dans votre vie.


Jour 2 & Jour 3 : transformer vos rêves en réalité 
La puissance du conditionnement du succès

« Clarity is Power » (Tony Robbins)
Clarté est synonyme de puissance. Les leaders la possèdent…. Ceux qui les envient sont constamment à sa recherche. Dans cette session, peu importe votre point de départ, peu importe où vous en êtes maintenant dans votre vie, vous repartirez avec une connaissance claire et précise de ce que vous voulez véritablement faire de votre vie de votre carrière, de votre entreprise, de vos finances, de votre corps ou de vos relations.

Vous allez découvrir ce qui vous passionne réellement dans votre vie,

Apprendre comment les vivre et les exploiter. Vous allez prendre des décisions capitales pour votre futur. Elaborer un plan avec les stratégies adaptées, commencer à les exécuter et créer en vous la certitude de sa réalisation.

Lors du Deuxième et Troisième Jour, vous allez…

Concevoir la vie que vous avez toujours rêvée et voulu au plus profond de vous même à l'aide des techniques les plus performantes qui existent aujourd'hui telles que :
Les 7 étapes de la Science du Momentum
Les 3 Étapes qui créent un changement immédiat et durable.
Utiliser la puissance de votre inconscient et apprendre comment bâtir des relations exceptionnelles dans votre vie personnelle, professionnelle et intime.
Inspirer votre entourage à constamment produire le meilleur d'eux-mêmes.
Développer des stratégies pour mieux comprendre et inspirer les autres.
Identifier et remplacer les croyances limitantes pour obtenir des résultats durables. Vous vous libérerez de vos croyances limitantes en les transformant en des croyances dynamisantes qui vous donneront la certitude et la force pour
Vivre votre Légende Personnelle… Votre Destinée (celle qui vous rendra heureuse le sourire sur vos lèvres en vous levant le matin)



http://www.upw-anthonyrobbins.com/le-seminaire

Pourquoi Donald Trump S’attaque à Apple

Le président américain a, une fois n’est pas coutume dans un tweet ravageur, taclé Apple sur les réseaux sociaux exhortant la marque à la pomme à fabriquer ses produits aux Etats-Unis et non plus en Chine afin d’éviter les droits de douane. Une nouvelle sortie qui cause, ce lundi matin, la baisse en bourse de tous les fournisseurs du fabricant de l’iPhone.



« Les prix Apple pourraient augmenter en raison des énormes droits de douane que nous allons peut-être imposer à la Chine – mais il existe une solution simple où il y aurait ZERO impôt et même une incitation fiscale. Fabriquez vos produits aux États-Unis au lieu d’en Chine. Commencez à construire de nouvelles usines maintenant ». Un tweet sans équivoque dont le président américain est coutumier du fait et qui engendre sur les marchés, ce matin, la baisse à l’unisson de pléthore de fournisseurs européens (mais pas que) de la marque à la pomme. Ainsi à Paris, STMicroelectronics cède 1,05% à 16,03 euros en milieu de matinée, soit le plus fort repli du CAC 40. A Francfort, Dialog Semiconductor lâche 2,07% et Infineon Technologies perd 1,24%.L’autrichien AMS, coté à Zurich, et le britannique IQE perdent autour de 1,8%. Plus globalement, l’indice Stoxx des valeurs technologiques abandonne 0,22%, la deuxième plus forte baisse des indices sectoriels européens après l’automobile et la chimie. Une « déferlante » baissière qui a, sans surprise, également atteint l’Asie plutôt dans la journée puisque les taiwanais Largan Precision (-8,88%) ou encore Foxconn (Hon Hai Precision Industry) (-3,35%) perdait beaucoup de terrain. Idem  à la Bourse de Shenzhen, où les chinois Luxshare Precision Co , Shenzhen Sunway Communication et Suzhou Dongshan Precision Manufacturing ont perdu jusqu’à 10%. Enfin, à Tokyo, Sharp a reculé de près de 1%. Une véritable hécatombe.

« C’est un peu la panique aujourd’hui », a abondé Kevin Chung, analyste chez JihSun Securities Investment Consulting à Taipei, cité par Reuters. Mais celui-ci estime que cette « folie baissière » n’est que passagère, les investisseurs allant rapidement davantage se focaliser sur la sortie prochaine de nouveaux modèles d’iPhone. Néanmoins avec cette annonce, ou plutôt ce « coup de sang » au regard du passif de Donald Trump sur Twitter, le président américain met une fois de plus la pression sur un des fleurons de l’économie américaine et accessoirement mondial, Apple étant, depuis le mois dernier, la plus importante capitalisation boursière au monde(avec Amazon) avec plus de 1 000 milliards de dollars. Car dans cette « guerre  commerciale » avec la Chine, le secteur technologique est en première ligne des 200 milliards de dollars (173 milliards d’euros) d’importations chinoises supplémentaires que la Maison blanche menace de taxer. Donald Trump a, en outre, indiqué vendredi que 267 milliards de dollars d’autres produits pourraient être concernés. Si  Apple n’a pas voulu faire de commentaire et réagir à la dernière sortie du président américain, la firme de Cupertino avait, dans une lettre, évoqué les potentiels conséquences d’une taxation plus importante des produits en provenance de Chine.
“C’est un peu la panique aujourd’hui”
« Notre crainte avec ces droits de douane, c’est que les Etats-Unis soient les plus durement touchés, ce qui entraînera une baisse de la croissance américaine, de la compétitivité et des prix plus élevés pour les consommateurs américains », explique, dans cette missive, le groupe dirigé par Tim Cook. Si l’Apple Watch figure au premier rang des produits potentiellement touchés par ces droits de douane, le produit phare de la firme de Cupertino, en l’occurrence l’iPhone, n’a pas été cité par Apple, à l’inverse des écouteurs sans fil AirPods, les casques Beats et la nouvelle enceinte intelligente HomePod qui rejoignent donc la liste de ces appareils qui pourraient être taxés à hauteur de 10%. Apple a également signalé également que des pièces d’ordinateurs pour ses opérations américaines seraient également touchées par ces tarifs douaniers ainsi que certains équipements utilisés pour la recherche et le développement. Divers éléments qui, comme évoqué en préambule, pèsent sur les marchés asiatiques car les premières taxes déjà imposées par l’administration Trump à la Chine peinent à produire leurs effets.

https://www.forbes.fr/business/pourquoi-donald-trump-sattaque-a-apple/

Consciousness in Action: The Power of Beauty, Love and Courage in a Violent Time

Consciousness in Action features the thoughts of Julia Butterfly Hill, Deena Metzger, Joanna Macy, Ralph Metzner, John Mack, and many others in an inspiring dialogue between environmental and spiritual activists. Their subject is the seven attributes of consciousness that they have employed in their activism and that have demonstrated their viability across time and cultures to bring about change.

The seven attributes discussed are:
Nonviolence amid passion
Introspection and self-discovery
Not knowing and spontaneity in the moment
Eros, the way of loving-kindness
No enemies and co-creating a healthier world
Vision free of reaction to others
Joy in opening of the heart
Andrew Beath writes: "Our actions reveal our depth of connection. I define conscious activism as engagement in the world that expresses our most profound understanding of the nature of reality. It is imbued with appreciation and reverence and encourages compassionate connection—the basis for lasting social change." Consciousness in Action is a vital contribution to ongoing efforts toward a peaceful, habitable earth.




https://www.amazon.com/Consciousness-Action-Beauty-Courage-Violent/dp/1590560795

Prendre soin de soi

On a parfois l’impression de passer toute la journée à courir d’urgence en urgence sans avoir le temps de souffler. Pas étonnant, donc, que nos propres besoins passent au second plan. Même si nos obligations sont évidemment importantes, nous plaçons rarement notre bien-être au centre de nos priorités. Et pourtant, prendre soin de soi est une nécessité.
Par conséquent, notre état se dégrade avec le temps : il nous devient plus difficile de nous concentrer, de dormir, ou d’avoir autant d’énergie qu’auparavant. Nous ralentissons, car nous essayons de continuer à avancer sans faire de pause pour nous ressourcer, comme une voiture qui roulerait sans essence.

Le simple fait de parler de se recharger peut être source de regards exaspérés, et, pour beaucoup, se concentrer sur soi est synonyme d’égoïsme ou de paresse. Cette vision ne pourrait être plus fausse et injuste : la meilleure façon de tenir la cadence est ainsi de s’assurer de prendre aussi soin de soi.

Pour votre corps
Nous poussons constamment nos corps à bout : nous mangeons un peu trop, travaillons jusqu’à nous écrouler, et nous ne nous reposons pas assez pour pouvoir vraiment nous ressourcer. Une des meilleures choses à faire est de placer la santé au premier plan, ce que vous pouvez accomplir avec ces quelques conseils.
Dites adieu à la malbouffe. Même avec un seul petit changement par mois, s’employer à avoir un régime plus sain peut vous aider à vous sentir en meilleure forme. Réfléchissez aux améliorations que vous pouvez apporter, et préparez un plan pour réaliser des changements graduels mais significatifs.
Bougez plus. Pas besoin de préparer un marathon pour être actif : promenez vous le matin dans votre quartier, ou cuisinez votre dîner en dansant au rythme d’une chanson rétro. Il vous suffit de faire monter votre rythme cardiaque quelques minutes par jour !
Dormez mieux. C’est un cercle vicieux : on se couche tard pour pouvoir faire quelques trucs de dernière minute, et, au matin, on éteint 17 fois la sonnerie du réveil. Mieux vaut plutôt aller au lit à une heure décente et ne pas toucher aux appareils électroniques une demi-heure avant le coucher. Si vous tenez, vous sentirez sans doute une réelle différence au bout de quelques jours.
Faites un checkup. Chacun a ses raisons de ne pas aller régulièrement chez le médecin : manque de temps, éloignement, problèmes de couverture médicale… mais il est important d’être suivi, surtout si quelque chose vous tracasse : votre santé devrait être votre priorité numéro 1.
Étirez-vous. Que vous soyez raidi par le stress ou parce que vous êtes penché sur votre bureau toute la journée, vos muscles peuvent accumuler beaucoup de tension. Rien ne vaut quelques étirements chaque soir avant d’aller au lit. Si possible, rendez-vous régulièrement à des cours de yoga.

Pour votre mental
Nous affrontons tous les jours des défis qui nous demandent d’avoir un mental d’acier : qu’il s’agisse d’importantes décisions à prendre, d’inquiétudes concernant le futur, ou de devoir faire preuve de patience face à un enfant qui pose la même question pour la millième fois, notre cerveau fait généralement des heures sup’ : il nous faut donc trouver un moyen d’alléger sa charge.
Méditez. Pas besoin d’être un maître zen pour faire un peu de méditation. Plusieurs fois par jour, ralentissez votre respiration et mettez vos problèmes de côté pour un petit moment.
Enrichissez votre éducation. Si vous pensez à reprendre des études, faites le sans plus attendre : préparez un plan et mettez-le en oeuvre. Si ce n’est pas prévu, vous pouvez tout de même enrichir votre esprit en lisant de bons livres, des articles, ou en visionnant des films suscitant une réflexion.
Ne laissez pas de tâches inachevées. Est-ce qu’il y a des choses que vous devez faire depuis des mois ? Alors notez tout puis consacrez-y toute une journée. Choisissez également une date future à laquelle terminer tout ce que vous n’auriez pas pu faire cette fois-ci.
Déconnectez-vous avant de dormir. Que vous soyez en train de surfer sur le net, de regarder Netflix, ou de vous disputer sur les réseaux, utiliser les écrans avant d’aller dormir maintient votre cerveau en éveil. Une heure avant d’aller au lit, baissez la luminosité de la pièce et préparez vous pour une bonne nuit de sommeil.
Faites du rangement. Vivre dans un bazar perpétuel peut s’avérer stressant. S’il vous arrive de chercher des choses mal rangées ou de vous prendre les pieds dans des objets que vous n’avez pas touchés depuis des mois, il est temps de faire du ménage. Débarrassez-vous de ce qui ne vous sert pas, et rangez le reste.

Pour votre confiance en vous
Certaines choses peuvent égratigner notre amour propre, et il y a de fortes chances que des exemples personnels vous viennent à l’esprit rien qu’en lisant ces lignes. Trouver des façons d’entretenir votre confiance en vous vous permettra de faire face sans perdre pied.
Gérer les personnes négatives. Est-ce que quelqu’un dans votre vie ne fait que vous rabaisser ? Si c’est le cas, il est peut-être temps de couper les ponts avec cette personne. Ces gens sont comme des vampires qui volent la joie de votre journée, et doivent être gardés à distance. Si vous ne pouvez pas les éviter, mettez en place des limites claires à propos de leur comportement, et faites-les respecter.
Quittez ce job que vous détestez. La plupart des gens ne trouveront jamais leur job parfait, mais ça ne veut pas dire pour autant qu’il faut accepter un travail que vous haïssez. Si la simple idée d’aller au boulot vous donne la migraine, il est temps de changer : on mérite tous de faire quelque chose qu’on aime.
Apprenez à dire non. Tout le monde aime se sentir utile, ou fournir une épaule sur laquelle pleurer, mais tout cela n’en est pas moins fatiguant. Il est important d’apprendre à dire non pour que vous respectiez vos propres limites et évitiez de vous surmener. Vous risquez peut être d’en décevoir certains, mais ce n’est pas une raison suffisante pour vous charger de plus de choses que vous ne pouvez gérer.
Offrez-vous une sortie. Vous arrive-t-il de prévoir une soirée remplie de choses qui vous rendent heureux ? Réservez une table dans ce restaurant que vous êtes le seul à aimer, ou regardez ce super film que tout le monde déteste. Pendant quelques heures, la seule personne qui compte, c’est vous !
Entraînez-vous à vous montrer reconnaissant. Se plaindre fait partie de notre culture : inversez la tendance en apprenant à être reconnaissant. Plutôt que de ressasser tous les mauvais moments de la journée, couchez-vous en pensant à ses bons côtés, même si la seule bonne nouvelle à en retirer est que vous respiriez encore. Changez de point de vue !

Prendre soin de soi signifie trouver des façons d’apaiser et de fortifier son esprit : rien d’égoïste ni de paresseux à ça. La vie peut être dure envers nous, et peut nous fatiguer mentalement comme physiquement, mais si  nous pensons à nous ressourcer, nous n’en serons que plus revigorés et prêts à affronter ce que l’avenir nous réserve.

https://www.forbes.fr/lifestyle/prendre-soin-de-soi-15-idees-pour-commencer-des-aujourdhui/?cn-reloaded=1

Modern love

Online dating

THE internet has transformed the way people work and communicate. It has upended industries, from entertainment to retailing. But its most profound effect may well be on the biggest decision that most people make—choosing a mate.
In the early 1990s the notion of meeting a partner online seemed freakish, and not a little pathetic. Today, in many places, it is normal. Smartphones have put virtual bars in people’s pockets, where singletons can mingle free from the constraints of social or physical geography. Globally, at least 200m people use digital dating services every month. In America more than a third of marriages now start with an online match-up. The internet is the second-most-popular way for Americans to meet people of the opposite sex, and is fast catching up with real-world “friend of a friend”

https://www.economist.com/leaders/2018/08/18/modern-love



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