Recruter Sa Propre Equipe De Trading De Bitcoins ? Les Grandes Banques Y Pensent…
La banque américaine Goldman Sachs serait actuellement, selon une information relayée par Les Echos, en train d’esquisser les contours d’une unité de trading de bitcoins. Une nouvelle étape vers la « démocratisation » des cryptomonnaies ?
Considéré comme une « fraude » il y a moins d’un an par Jamie Dimon, l’omnipotent et fort en gueule PDG de JPMorgan, le bitcoin va-t-il faire prochainement son entrée par la grande porte de l’un des établissements bancaires les plus prestigieux de Wall Street ? L’idée fait son chemin. Même si le tempétueux patron de la banque américaine a quelque peu nuancé son discours, la star des cryptomonnaies serait en passe de pénétrer dans les arcanes d’une autre place forte financière américaine, en l’occurrence Goldman Sachs. En effet, la banque, considérée il est vrai comme l’un des établissements les moins « crypto-sceptiques », vient de recruter le trader Justin Schmidt, 38 ans, qui a notamment fondé l’an passé une société de trading de cryptomonnaies baptisée Translunar Crypto. Dans un premier temps, le trader devrait présider aux destinées de la division « marché d’actifs numériques » de la banque avant de piloter le bureau de trading de bitcoins, et plus largement de cryptomonnaies. La banque n’a ni confirmé ni infirmé l’information de Bloomberg, se bornant à déclarer « explorer plusieurs pistes dans l’intérêt de servir au mieux leurs clients détenteurs d’actifs numériques ». Fin de citation.
« On assiste pour le moment à des expérimentations de la part des institutionnels dans la mesure où le cadre juridique et fiscal international est encore très loin d’être figé sur ces questions », tempère Tristan Colombet, PDG de DomRaider, l’une des premières sociétés de l’Hexagone à avoir eu recours, l’an passé, à une levées de fonds – les fameux « ICO » en cryptomonnaies. Toutefois, le dirigeant souligne que ces grandes banques ne veulent pas « courir le risque de rater ce virage, ayant bien conscience qu’un véritable mouvement était en marche ». Comme évoqué en préambule, Goldman Sachs a fait partie, au même titre que Citigroup ou encore Bank of America des établissements les moins « virulents » à l’encontre du Bitcoin. Même si il convient de rappeler qu’à l’instar de Jamie Dimon, le patron de Goldman Sachs a eu, il y a quelques temps, des propos peu amènes sur le Bitcoin, estimant qu’il s’agissait « d’un moyen pour commettre des fraudes ». Ce qui n’a pourtant pas empêché la banque de franchir le Rubicon au point d’accompagner le lancement en trombe d’un des premiers produits financiers permettant de parier sur le bitcoin à la Bourse de Chicago.
Le Bitcoin retrouve des couleurs
« Il est vraisemblable que d’autres grandes banques emboîtent le pas de Goldman Sachs et posent les jalons d’une unité dédiée à la cryptomonnaie. Ils essaieront a minima d’expérimenter et de comprendre les enjeux relatifs à ces monnaies numériques voire même de les développer », abonde Tristan Colombet. Et de donner un satisfecit à cette initiative. « Je pense qu’il s’agit d’une démarche assez saine de leur part ». Longtemps sous le feu nourri des critiques, le Bitcoin peut-il ainsi s’acheter une virginité auprès de ces établissements ? Il est sans doute prématuré de s’aventurer à répondre à cette question, notamment au regard des turbulences et des fluctuations intempestives du cours de la vedette des « cryptos » au début de l’année 2018. Néanmoins, il semble que le « BTC » ait repris du poil de la bête ces dernières semaines.
Depuis le début du mois, le Bitcoin a en effet gagné environ 27 %. S’il stagne actuellement sous la barre des 9 000 dollars (7 385 euros), il semble toutefois lentement mais sûrement panser ses plaies de son « trop plein » de la fin d’année 2017. « Cette année, le Bitcoin a démontré toute sa ténacité lorsqu’il a chuté sous la barre de 7 000 $ (5 740 €), malgré de grands bouleversements, comme l’interdiction en Inde des banques impliquées dans des activités crypto, etc. », explique Garrick Hileman, cofondateur de la société de recherche et de données de cryptomonnaies, Mosaic.io, interrogé par nos confrères de Forbes US « Les moteurs de cette hausse comprennent notamment des rapports de grandes institutions financières telles que Barclays, stipulant qu’elles souhaitent pénétrer dans le monde des cryptomonnaies ». Ancien « paria », la porte des puissances régnantes de la finance internationale s’ouvre doucement mais sûrement pour le Bitcoin.
https://www.forbes.fr/finance/recruter-sa-propre-equipe-de-trading-de-bitcoins-les-grandes-banques-y-pensent/
Goldman Sachs Hires Crypto Trader Justin Schmidt to Lead Digital Assets
Goldman Sachs Group Inc. hired Justin Schmidt as head of digital asset markets to help clients gain exposure to cryptocurrencies.Schmidt, 38, joined the securities division in New York as a vice president, said bank spokeswoman Tiffany Galvin-Cohen. He previously worked at quantitative trading firms Seven Eight Capital LLC and WorldQuant LLC and has computer science degrees from the Massachusetts Institute of Technology, according to his LinkedIn profile. Tearsheet, a financial industry newsletter, reported the hiring earlier Monday.
Goldman Sachs has been a leader in helping clients navigate crypto markets, and was among the first Wall Street firms to clear Bitcoin futures offered by Cboe Global Markets Inc. and CME Group Inc. The company was considering whether to start a trading desk to make markets in digital currencies, people familiar with the effort said in December.
“In response to client interest in various digital products, we are exploring how best to serve them in the space,” Galvin-Cohen said in a statement. “We have not reached a conclusion on the scope of our digital asset offering.”
Schmidt didn’t immediately return a message seeking comment.
https://www.bloomberg.com/news/videos/2017-11-01/bitcoin-what-s-coming-in-the-year-ahead-video
La Personnalité Est Désormais Essentielle Lors D’Un Recrutement
La Personnalité Est Désormais Essentielle Lors D’Un Recrutement
Aujourd’hui, ce n’est plus un simple effet de mode, mais un véritable phénomène. Quand vient le sujet d’une embauche, on fait immédiatement référence à des notions telles que la personnalité, les soft skills, le comportement ou encore l’intelligence émotionnelle. Que ce soit un recruteur, un dirigeant ou un responsable d’équipe, la personnalité est au centre de toutes les attentions lors d’un processus de recrutement. Comment expliquer cet intérêt ?
Un recrutement demande du temps
Aujourd’hui, nous faisons face à un marché de l’emploi où de nombreux talents se côtoient. Si bien que, désormais, toutes les candidatures présentent de l’intérêt. Sauf qu’un recruteur doit bien faire un choix. Or, un recrutement est lancé à un moment clé d’une entreprise : développement, remplacement, etc. Même si on porte une attention toute particulière à son équipe, on n’embauche pas pour le plaisir mais par besoin. Que vient faire la personnalité des candidats dans tout ça ? Elle va permettre de renforcer la réussite d’une embauche. On ne va pas seulement prêter attention au savoir-faire (les « hard skills ») mais également au savoir-être (les « soft skills » donc). Une compétence technique peut s’apprendre avec le temps, un comportement, lui, ne s’apprend pas, on ne peut pas demander à quelqu’un de changer. Il est donc impératif de mesurer la compatibilité entre la personnalité d’une potentielle recrue et les attentes du poste à pourvoir afin de mettre toutes les chances de son côté.
Un recrutement raté coûte (très) cher
Selon une enquête DARES, sur 100 embauches, 13 % échouent pendant la période d’essai et 33% échouent au cours de la 1ère année. Des statistiques assez alarmantes, surtout quand on connaît le temps nécessaire pour mettre en place un recrutement. Encore plus quand on voit que, d’après Digital Recruiters, le coût d’un recrutement raté peut osciller entre 20 000 et 200 000 euros en fonction du poste ou de la politique RH. Intégrer quelqu’un n’est pas une opération sans risques. Il y a un aspect financier considérable à prendre en compte. Et pour cause, les bénéfices que pourra rapporter le travail de la nouvelle recrue en cas de réussite sur le poste ou les pertes provoquées par ses erreurs en cas d’échec. Intégrer la personnalité dans le recrutement ne va pas changer le coût de ce dernier. Au contraire, cela peut même demander un certain investissement supplémentaire (outils, consultants, expertises, etc.). Mais c’est un pari sur le long terme car cela va permettre d’apporter des éléments de réponse essentiels sur les candidats (compatibilité avec le poste, l’équipe, les missions, zones de confort, de stress, etc.) permettant de voir bien plus loin qu’un simple CV, ou entretien, et ainsi renforcer la pérennité de ses recrutements. Et donc éviter les pertes d’argent.
Un recrutement est désormais synonyme d’exigence chez les candidats
Aujourd’hui, on ne cesse de parler des nouvelles générations qui arrivent sur le marché du travail. Digital natives, millenials ou encore Y, cette génération en « quête de sens » qui casse les codes et va à l’encontre de tous les stéréotypes. Les schémas « traditionnels » ne séduisent plus, il faut désormais innover. De nouvelles aspirations sont exprimées et il est essentiel, pour les entreprises, de savoir y répondre pour attirer de nouveaux talents. Des notions comme le savoir-être, la personnalité et les soft skills permettent de répondre aux attentes de ces nouvelles générations. Pourquoi ? Tout simplement parce que nous sommes tous différents, nous avons des attentes spécifiques et ce n’est pas notre CV qui va l’exprimer, mais bien notre personnalité. Aujourd’hui, les jeunes générations ne veulent plus être considérés comme des intitulés de poste, mais bien comme des personnalités à part entière. Et c’est ce qu’elles attendent lors d’un recrutement.
https://www.forbes.fr/management/pourquoi-la-personnalite-est-desormais-essentielle-lors-dun-recrutement/
Entretien d'embauche : simulation "Se présenter"
Aujourd’hui, ce n’est plus un simple effet de mode, mais un véritable phénomène. Quand vient le sujet d’une embauche, on fait immédiatement référence à des notions telles que la personnalité, les soft skills, le comportement ou encore l’intelligence émotionnelle. Que ce soit un recruteur, un dirigeant ou un responsable d’équipe, la personnalité est au centre de toutes les attentions lors d’un processus de recrutement. Comment expliquer cet intérêt ?
Un recrutement demande du temps
Aujourd’hui, nous faisons face à un marché de l’emploi où de nombreux talents se côtoient. Si bien que, désormais, toutes les candidatures présentent de l’intérêt. Sauf qu’un recruteur doit bien faire un choix. Or, un recrutement est lancé à un moment clé d’une entreprise : développement, remplacement, etc. Même si on porte une attention toute particulière à son équipe, on n’embauche pas pour le plaisir mais par besoin. Que vient faire la personnalité des candidats dans tout ça ? Elle va permettre de renforcer la réussite d’une embauche. On ne va pas seulement prêter attention au savoir-faire (les « hard skills ») mais également au savoir-être (les « soft skills » donc). Une compétence technique peut s’apprendre avec le temps, un comportement, lui, ne s’apprend pas, on ne peut pas demander à quelqu’un de changer. Il est donc impératif de mesurer la compatibilité entre la personnalité d’une potentielle recrue et les attentes du poste à pourvoir afin de mettre toutes les chances de son côté.
Un recrutement raté coûte (très) cher
Selon une enquête DARES, sur 100 embauches, 13 % échouent pendant la période d’essai et 33% échouent au cours de la 1ère année. Des statistiques assez alarmantes, surtout quand on connaît le temps nécessaire pour mettre en place un recrutement. Encore plus quand on voit que, d’après Digital Recruiters, le coût d’un recrutement raté peut osciller entre 20 000 et 200 000 euros en fonction du poste ou de la politique RH. Intégrer quelqu’un n’est pas une opération sans risques. Il y a un aspect financier considérable à prendre en compte. Et pour cause, les bénéfices que pourra rapporter le travail de la nouvelle recrue en cas de réussite sur le poste ou les pertes provoquées par ses erreurs en cas d’échec. Intégrer la personnalité dans le recrutement ne va pas changer le coût de ce dernier. Au contraire, cela peut même demander un certain investissement supplémentaire (outils, consultants, expertises, etc.). Mais c’est un pari sur le long terme car cela va permettre d’apporter des éléments de réponse essentiels sur les candidats (compatibilité avec le poste, l’équipe, les missions, zones de confort, de stress, etc.) permettant de voir bien plus loin qu’un simple CV, ou entretien, et ainsi renforcer la pérennité de ses recrutements. Et donc éviter les pertes d’argent.
Un recrutement est désormais synonyme d’exigence chez les candidats
Aujourd’hui, on ne cesse de parler des nouvelles générations qui arrivent sur le marché du travail. Digital natives, millenials ou encore Y, cette génération en « quête de sens » qui casse les codes et va à l’encontre de tous les stéréotypes. Les schémas « traditionnels » ne séduisent plus, il faut désormais innover. De nouvelles aspirations sont exprimées et il est essentiel, pour les entreprises, de savoir y répondre pour attirer de nouveaux talents. Des notions comme le savoir-être, la personnalité et les soft skills permettent de répondre aux attentes de ces nouvelles générations. Pourquoi ? Tout simplement parce que nous sommes tous différents, nous avons des attentes spécifiques et ce n’est pas notre CV qui va l’exprimer, mais bien notre personnalité. Aujourd’hui, les jeunes générations ne veulent plus être considérés comme des intitulés de poste, mais bien comme des personnalités à part entière. Et c’est ce qu’elles attendent lors d’un recrutement.
https://www.forbes.fr/management/pourquoi-la-personnalite-est-desormais-essentielle-lors-dun-recrutement/
Entretien d'embauche : simulation "Se présenter"
How to Be Happy Every Day: It Will Change the World
Réussir sa vie, c’est construire un édifice en trois dimensions : matérielle, relationnelle et émotionnelle. Autrement dit : atteindre ses objectifs, tout en préservant de bonnes relations et une bonne image, sans pour autant sacrifier son bien-être. Une réussite sociale qui nous laisserait malheureux n’est plus considérée par nos contemporains comme un idéal de vie réussie. Mais autant les dimensions matérielles et relationnelles obéissent à une certaine logique, autant la dimension émotionnelle d’une vie réussie, avec ses aspects inconscients (nos névroses) et biologiques (notre tempérament) s’avère plus difficile à contrôler.
Les êtres humains savent depuis toujours la difficulté immense à atteindre le bonheur. Aristote enseignait ainsi que « le sage n’aspire pas au plaisir, mais à l’absence de souffrance ». Plus près de nous, Jules Renard écrivait dans son “Journal” (Gallimard) : « Le bonheur, c’est le silence du malheur. » Comment, alors, ne pas se rendre malheureux ? Voici sept conseils, sept directions plutôt, qui représentent déjà tout un programme…
1) Prendre la décision d’aller bien
Lapalissade ? Pas si évident. Le philosophe Alain avait coutume de dire : « Il faut vouloir être heureux et y mettre du sien. Si l’on reste dans la position du spectateur impartial, laissant seulement entrée au bonheur et portes ouvertes, c’est la tristesse qui
entrera. » Il est toujours plus facile, moins coûteux en énergie psychologique, de se laisser aller au malheur. A l’inverse, faire durer le bien-être nécessite des efforts.
Pour expliquer cela, il y a d’abord des raisons personnelles : il existe des différences nettes entre les individus quant à leurs capacités à se sentir bien. Et des facteurs propres au genre humain : l’évolution semble avoir favorisé chez nous l’existence d’émotions négatives, dont la fonction est d’augmenter les chances de survie de l’espèce. La peur favorise la fuite ou le combat, la colère intimide les adversaires ou les rivaux, la tristesse attire la compassion, etc. Mais la nature, si elle a eu le souci de notre survie, n’a guère eu celui de notre qualité de vie. Le spectre des émotions et humeurs positives est beaucoup plus restreint, plus labile, et d’accès plus coûteux en termes d’énergie psychologique.
2) Ne pas laisser trop d’espace au sentiment de malheur
Si les émotions négatives sont occasionnelles, peu durables et perturbent moyennement notre quotidien, on peut attendre qu’elles disparaissent d’elles-mêmes. Mais flirter avec le malheur, valorisé notamment par le romantisme au XIXe siècle, comporte certains dangers que la psychologie commence à mieux étudier. Laisser libre cours à une émotion négative risque d’en prolonger la durée. On croyait auparavant à un certain effet cathartique : se plaindre permettait d’alléger sa souffrance, par exemple. Il semble que cela soit souvent l’inverse : la plainte répétée et sans réponse peut transformer en victime de la vie. Et le malheur se nourrit de lui-même : plus on s’y laisse aller, plus on en prolonge la durée. De plus, s’abandonner au sentiment de malheur va faire passer peu à peu d’une émotion négative ponctuelle – on se sent malheureux – à une vision négative durable – on a une vie malheureuse. Enfin, cela prépare le retour des émotions négatives ultérieures : le phénomène est bien connu dans la dépression, qui a une très forte tendance à la récidive, et il a été démontré en ce qui concerne l’humeur triste quotidienne.
http://www.psychologies.com/Moi/Se-connaitre/Bonheur/Articles-et-Dossiers/Les-chemins-d-une-vie-reussie/7-pistes-pour-se-rendre-heureux
How to Be Happy Every Day: It Will Change the World
The World Happiness Report states “Over 1 billion adults suffer from anxiety and depression.” How do we get to happy? Jacqueline Way, Founder of www.365give.ca shares a secret to happiness so simple a 3 – year old can do it. Jacqueline is a mother of three boys and social good activist dedicated to changing the world 1 give, 1 day at a time. You will learn through her powerful story how your body is hard-wired for giving. Researchers from all over the world have been studying the science and physiological of giving for decades. They’ve discovered giving makes you happy, makes you high, is our bodies natural “Fountain of Youth” and reduces stress. Her inspirational journey with her son and thousands of children will inspire you start a daily giving habit that will make you happy and change the world. Jacqueline Way is the founder of www.356give.ca a charitable organization dedicated to educating, empowering, and inspiring children to change the world "one give, one day at a time." You can reach Jacqueline at jacquelineway365give@gmail.com
After watching this, your brain will not be the same
Les êtres humains savent depuis toujours la difficulté immense à atteindre le bonheur. Aristote enseignait ainsi que « le sage n’aspire pas au plaisir, mais à l’absence de souffrance ». Plus près de nous, Jules Renard écrivait dans son “Journal” (Gallimard) : « Le bonheur, c’est le silence du malheur. » Comment, alors, ne pas se rendre malheureux ? Voici sept conseils, sept directions plutôt, qui représentent déjà tout un programme…
1) Prendre la décision d’aller bien
Lapalissade ? Pas si évident. Le philosophe Alain avait coutume de dire : « Il faut vouloir être heureux et y mettre du sien. Si l’on reste dans la position du spectateur impartial, laissant seulement entrée au bonheur et portes ouvertes, c’est la tristesse qui
entrera. » Il est toujours plus facile, moins coûteux en énergie psychologique, de se laisser aller au malheur. A l’inverse, faire durer le bien-être nécessite des efforts.
Pour expliquer cela, il y a d’abord des raisons personnelles : il existe des différences nettes entre les individus quant à leurs capacités à se sentir bien. Et des facteurs propres au genre humain : l’évolution semble avoir favorisé chez nous l’existence d’émotions négatives, dont la fonction est d’augmenter les chances de survie de l’espèce. La peur favorise la fuite ou le combat, la colère intimide les adversaires ou les rivaux, la tristesse attire la compassion, etc. Mais la nature, si elle a eu le souci de notre survie, n’a guère eu celui de notre qualité de vie. Le spectre des émotions et humeurs positives est beaucoup plus restreint, plus labile, et d’accès plus coûteux en termes d’énergie psychologique.
2) Ne pas laisser trop d’espace au sentiment de malheur
Si les émotions négatives sont occasionnelles, peu durables et perturbent moyennement notre quotidien, on peut attendre qu’elles disparaissent d’elles-mêmes. Mais flirter avec le malheur, valorisé notamment par le romantisme au XIXe siècle, comporte certains dangers que la psychologie commence à mieux étudier. Laisser libre cours à une émotion négative risque d’en prolonger la durée. On croyait auparavant à un certain effet cathartique : se plaindre permettait d’alléger sa souffrance, par exemple. Il semble que cela soit souvent l’inverse : la plainte répétée et sans réponse peut transformer en victime de la vie. Et le malheur se nourrit de lui-même : plus on s’y laisse aller, plus on en prolonge la durée. De plus, s’abandonner au sentiment de malheur va faire passer peu à peu d’une émotion négative ponctuelle – on se sent malheureux – à une vision négative durable – on a une vie malheureuse. Enfin, cela prépare le retour des émotions négatives ultérieures : le phénomène est bien connu dans la dépression, qui a une très forte tendance à la récidive, et il a été démontré en ce qui concerne l’humeur triste quotidienne.
http://www.psychologies.com/Moi/Se-connaitre/Bonheur/Articles-et-Dossiers/Les-chemins-d-une-vie-reussie/7-pistes-pour-se-rendre-heureux
How to Be Happy Every Day: It Will Change the World
The World Happiness Report states “Over 1 billion adults suffer from anxiety and depression.” How do we get to happy? Jacqueline Way, Founder of www.365give.ca shares a secret to happiness so simple a 3 – year old can do it. Jacqueline is a mother of three boys and social good activist dedicated to changing the world 1 give, 1 day at a time. You will learn through her powerful story how your body is hard-wired for giving. Researchers from all over the world have been studying the science and physiological of giving for decades. They’ve discovered giving makes you happy, makes you high, is our bodies natural “Fountain of Youth” and reduces stress. Her inspirational journey with her son and thousands of children will inspire you start a daily giving habit that will make you happy and change the world. Jacqueline Way is the founder of www.356give.ca a charitable organization dedicated to educating, empowering, and inspiring children to change the world "one give, one day at a time." You can reach Jacqueline at jacquelineway365give@gmail.com
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Comment est analyser le comportement des internautes en temps réel ?
Conversion Rate Optimization , SEO, SEA, algorithme predictif,... parce que la clé est d'abord d 'avoir une compréhension et une vision en temps réel du parcours client, le marketing predictif à la vent en poupe, avec quelques leaders français sur le marché
AdTech : La Française AB Tasty À La Conquête Des Etats-Unis Et De Singapour
AdTech. La désormais scale-up AB Tasty, qui édite des solutions de Conversion Rate Optimization (CRO), redonne la main aux équipes marketing, notamment grâce à une vision en temps réel du parcours client et à son algorithme prédictif. L’entreprise, qui a levé 16 millions d’euros en 2017, vient d’ouvrir un bureau aux Etats-Unis et se lance à Singapour à la fin de l’année.
Elle annonce une croissance de 200%. Et ne serait pas contre donner le chiffre d’affaires de son entreprise. Mais voilà, l’entreprise en question, AB Tasty, vient d’ouvrir un bureau aux Etats-Unis et prévoit un lancement à Singapour pour la fin de l’année. Elle préféra se conformer à la discrétion de rigueur en ces périodes d’expansion.
Dans ses locaux du 3ème arrondissement de Paris, la désormais scale-up a poussé les murs en déployant sa belle centaine d’employés également au premier étage après avoir investi, deux ans plus tôt, le rez-de-chaussée. Alix de Sagazan présente ses nouveaux outils d’optimisation des taux de conversion, Conversion Rate Optimization (CRO), avec décontraction. Pourtant, ces outils, s’ils ne valent de l’or, valent des euros (ou des dollars) sonnants et trébuchants pour les entreprises, et notamment pour leur pôle e-commerce.
AB Tasty tire son nom de la technique dite d’A/B testing qui consiste à présenter de manière aléatoire à différents internautes deux versions d’une page afin de voir, en temps réel, laquelle des deux, A ou B, remporte le plus de clics, et donc rapporte le plus d’argent. Une mine d’or, complétée par d’autres produits.
Diplômée de Neoma en 2007, Alix de Sagazan commence sa carrière dans la « pub digitale », en étant « hyper contente d’arriver dans un secteur tout nouveau à l’époque ». Elle rejoint l’année suivante son ami d’enfance Rémi Aubert au pôle analytics d’une autre entreprise. Les deux amis commencent à « bidouiller », puis se lancent en montant leur agence spécialisée dans la conversion et le parcours client en analytics. Après deux années difficiles, ils créent en 2011 leur propre outil en ligne d’A/B testing et de personnalisation du parcours client qui sera commercialisé l’année suivante.
Six ans après, l’entreprise, devenue AB Tasty embauche plus de 150 personnes et compte plus de 600 clients. Du e-commerce, bien entendu, mais aussi des clients venus de la banque et de l’assurance, des médias, du luxe, de la grande distribution, etc.
Tous, ont un objectif : analyser le comportement des internautes en temps réel (jusqu’au parcours de la souris sur l’écran et les endroits où l’internaute clique), tester et personnaliser l’expérience pour transformer l’essai. Optimiser le taux de conversion. « Nous avons pu aller jusqu’à 400% de taux de conversion », affirme Alix de Sagazan. Une prouesse qui ne se vérifie pas à chaque fois. « Il est possible d’avoir des tests négatifs, mais dans ce cas, il se met immédiatement sur pause et peut être arrêté. » C’est la botte secrète d’AB Tasty, proposer un tableau de travail (ou dashboard) en temps réel qui redonne la main aux équipes marketing capable de réaliser les changements (couleur, place des blocs texte et photo, etc) directement sur leur site.
« Notre objectif est de rendre le marketing plus créatif car il devra penser par exemple à quatre titres différents », souligne-t-elle enthousiaste. L’entreprise a à cœur de garder l’humain décisionnaire, malgré le développement d’algorithme prédictifs. Un couple homme-machine adapté à la publicité.
Car Alix de Sagazan le répète, leur travail « n’est pas la publicité, mais l’optimisation ». Depuis sa création, l’entreprise a réalisé plusieurs levées de fonds, en 2014 (1 million), en 2016 (2 millions) et en 2017 (16 millions d’euros). « La gestion de l’hyper croissance a été un challenge », indique l’entrepreneure qui a réalisé deux levées de fonds en étant enceinte, « mais les valeurs de l’entreprise sont un gouvernail ». Parmi elles, la transparence qui fait que les 200 premiers salariés sont propriétaires d’AB Tasty.
https://www.forbes.fr/entrepreneurs/l-algorithme-predictif-d-ab-tasty-pour-redonner-la-main-aux-equipes-marketing/
Le marketing predictif ? c'est quoi ? ... "et on est bien emmerdé pour choisir"
AdTech : La Française AB Tasty À La Conquête Des Etats-Unis Et De Singapour
AdTech. La désormais scale-up AB Tasty, qui édite des solutions de Conversion Rate Optimization (CRO), redonne la main aux équipes marketing, notamment grâce à une vision en temps réel du parcours client et à son algorithme prédictif. L’entreprise, qui a levé 16 millions d’euros en 2017, vient d’ouvrir un bureau aux Etats-Unis et se lance à Singapour à la fin de l’année.
Elle annonce une croissance de 200%. Et ne serait pas contre donner le chiffre d’affaires de son entreprise. Mais voilà, l’entreprise en question, AB Tasty, vient d’ouvrir un bureau aux Etats-Unis et prévoit un lancement à Singapour pour la fin de l’année. Elle préféra se conformer à la discrétion de rigueur en ces périodes d’expansion.
Dans ses locaux du 3ème arrondissement de Paris, la désormais scale-up a poussé les murs en déployant sa belle centaine d’employés également au premier étage après avoir investi, deux ans plus tôt, le rez-de-chaussée. Alix de Sagazan présente ses nouveaux outils d’optimisation des taux de conversion, Conversion Rate Optimization (CRO), avec décontraction. Pourtant, ces outils, s’ils ne valent de l’or, valent des euros (ou des dollars) sonnants et trébuchants pour les entreprises, et notamment pour leur pôle e-commerce.
AB Tasty tire son nom de la technique dite d’A/B testing qui consiste à présenter de manière aléatoire à différents internautes deux versions d’une page afin de voir, en temps réel, laquelle des deux, A ou B, remporte le plus de clics, et donc rapporte le plus d’argent. Une mine d’or, complétée par d’autres produits.
Diplômée de Neoma en 2007, Alix de Sagazan commence sa carrière dans la « pub digitale », en étant « hyper contente d’arriver dans un secteur tout nouveau à l’époque ». Elle rejoint l’année suivante son ami d’enfance Rémi Aubert au pôle analytics d’une autre entreprise. Les deux amis commencent à « bidouiller », puis se lancent en montant leur agence spécialisée dans la conversion et le parcours client en analytics. Après deux années difficiles, ils créent en 2011 leur propre outil en ligne d’A/B testing et de personnalisation du parcours client qui sera commercialisé l’année suivante.
Six ans après, l’entreprise, devenue AB Tasty embauche plus de 150 personnes et compte plus de 600 clients. Du e-commerce, bien entendu, mais aussi des clients venus de la banque et de l’assurance, des médias, du luxe, de la grande distribution, etc.
Tous, ont un objectif : analyser le comportement des internautes en temps réel (jusqu’au parcours de la souris sur l’écran et les endroits où l’internaute clique), tester et personnaliser l’expérience pour transformer l’essai. Optimiser le taux de conversion. « Nous avons pu aller jusqu’à 400% de taux de conversion », affirme Alix de Sagazan. Une prouesse qui ne se vérifie pas à chaque fois. « Il est possible d’avoir des tests négatifs, mais dans ce cas, il se met immédiatement sur pause et peut être arrêté. » C’est la botte secrète d’AB Tasty, proposer un tableau de travail (ou dashboard) en temps réel qui redonne la main aux équipes marketing capable de réaliser les changements (couleur, place des blocs texte et photo, etc) directement sur leur site.
« Notre objectif est de rendre le marketing plus créatif car il devra penser par exemple à quatre titres différents », souligne-t-elle enthousiaste. L’entreprise a à cœur de garder l’humain décisionnaire, malgré le développement d’algorithme prédictifs. Un couple homme-machine adapté à la publicité.
Car Alix de Sagazan le répète, leur travail « n’est pas la publicité, mais l’optimisation ». Depuis sa création, l’entreprise a réalisé plusieurs levées de fonds, en 2014 (1 million), en 2016 (2 millions) et en 2017 (16 millions d’euros). « La gestion de l’hyper croissance a été un challenge », indique l’entrepreneure qui a réalisé deux levées de fonds en étant enceinte, « mais les valeurs de l’entreprise sont un gouvernail ». Parmi elles, la transparence qui fait que les 200 premiers salariés sont propriétaires d’AB Tasty.
Le marketing predictif ? c'est quoi ? ... "et on est bien emmerdé pour choisir"
AlterEgo, le casque capable de vous entendre penser
Des chercheurs du MIT ont développé un appareil qui permet de contrôler un ordinateur par la pensée. Cette technologie est basée sur la détection des signaux neuromusculaires.
A première vue, ce drôle de dispositif à accrocher à son oreille et le long de sa mâchoire fait penser à un kit main-libre d'un nouveau genre. Il s'agit en fait d'un appareil capable de « lire dans les pensées » et de contrôler un ordinateur à distance.
Développé par Arnav Kapur, un étudiant diplômé du Massachusetts Institute of Technology (MIT) Media Lab, le casque AlterEGo retranscrit les mots que son utilisateur « verbalise » dans sa tête, sans que celui-ci ne les dise à haute voix.
Pour cela, quatre électrodes placées sur l'appareil détectent les signaux neuromusculaires de la mâchoire et du visage, déclenchés par la verbalisation interne. En clair, lorsque l'on « se parle dans sa tête », des impulsions électriques se produisent à la surface de la peau. Indétectables par l'oeil humain, ces signaux sont repérés par le dispositif, puis transmis à une Intelligence Artificielle (IA) entraînée à associer certains signaux à des mots particuliers.
92 % de réussite
« Rappelez-vous quand vous avez appris à lire. Au début, vous prononciez les mots à haute voix, puis vous avez appris à les exprimer intérieurement et silencieusement [...] Parler silencieusement est un effort conscient pour dire un mot, caractérisé par des mouvements subtils des organes liés à la parole », explique le MIT sur son site. « Ce processus entraîne des signaux de votre cerveau vers vos muscles qui sont captés comme des signaux neuromusculaires et traités par notre appareil ».
Les chercheurs ont testé leur prototype sur 10 sujets, qui ont chacun passé environ 15 minutes à adapter l'application à leur propre « neuropsychologie » puis 90 minutes à l'utiliser pour effectuer des calculs. Dans cette expérience, le système avait une précision de transcription moyenne d'environ 92 %. D'après Arnav Kapur, plus le système sera utilisé, plus il gagnera en précision.
Choisir un film « par télépathie »
Les capacités de l'AlterEgo ouvrent de multiples perspectives. Lors des expériences du MIT, le casque a aidé les utilisateurs à résoudre des problèmes de calcul ou leur a donné l'heure grâce à une « demande silencieuse ».
Dans une vidéo où il porte lui-même son prototype, Arnav Kapur montre qu'il peut naviguer à distance sur une plate-forme de streaming comme Netflix, ou enregistrer automatiquement le prix des produits qu'il choisit dans un magasin.
Dans sa version finale, l'appareil pourrait permettre de communiquer avec les assistants connectés qui débarquent en ce moment sur le marché, tels que l'enceinte Alexa d'Amazon ou Google Assistant.
Des applications professionnelles ?
Cette capacité à « lire dans les pensées » pourrait toutefois constituer un frein à l'heure où le public s'inquiète des atteintes à la protection des données personnelles. Sur son site, le MIT tient d'avance à rassurer sur cette question : « Le système n'a aucun accès direct à l'activité cérébrale et ne peut donc pas lire les pensées d'un utilisateur. [...] Il lit uniquement les mots délibérément prononcés silencieusement ».
Porter un dispositif aussi contraignant et peu esthétique sur le visage pourrait également refroidir les ardeurs des potentiels intéressés, comme cela avait été le cas pour les Google Glass, dont la version grand public avait été abandonnée en 2015.
Toutefois - et tout comme les Google Glass, qui se sont réorientées vers les besoins des entreprises - AlterEgo pourrait s'avérer utile pour les professionnels évoluant dans des environnements bruyants, suggère Thad Starner, professeur au Georgia Tech's College of Computing. « Par exemple, le contrôle des avions sur le tarmac à l'aéroport, des endroits avec beaucoup de machines, comme une centrale électrique », propose-t-il. L'expert, qui a travaillé sur les Google Glass, cite également les métiers où l'on porte des masques de protection comme pilote de chasse ou pompier.
En savoir plus sur https://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/0301562771844-alterego-le-casque-capable-de-vous-entendre-penser-2169216.php#DRjZ02DX7qB928kO.99
Bonus : le futur que nous construisons
A première vue, ce drôle de dispositif à accrocher à son oreille et le long de sa mâchoire fait penser à un kit main-libre d'un nouveau genre. Il s'agit en fait d'un appareil capable de « lire dans les pensées » et de contrôler un ordinateur à distance.
Développé par Arnav Kapur, un étudiant diplômé du Massachusetts Institute of Technology (MIT) Media Lab, le casque AlterEGo retranscrit les mots que son utilisateur « verbalise » dans sa tête, sans que celui-ci ne les dise à haute voix.
Pour cela, quatre électrodes placées sur l'appareil détectent les signaux neuromusculaires de la mâchoire et du visage, déclenchés par la verbalisation interne. En clair, lorsque l'on « se parle dans sa tête », des impulsions électriques se produisent à la surface de la peau. Indétectables par l'oeil humain, ces signaux sont repérés par le dispositif, puis transmis à une Intelligence Artificielle (IA) entraînée à associer certains signaux à des mots particuliers.
92 % de réussite
« Rappelez-vous quand vous avez appris à lire. Au début, vous prononciez les mots à haute voix, puis vous avez appris à les exprimer intérieurement et silencieusement [...] Parler silencieusement est un effort conscient pour dire un mot, caractérisé par des mouvements subtils des organes liés à la parole », explique le MIT sur son site. « Ce processus entraîne des signaux de votre cerveau vers vos muscles qui sont captés comme des signaux neuromusculaires et traités par notre appareil ».
Les chercheurs ont testé leur prototype sur 10 sujets, qui ont chacun passé environ 15 minutes à adapter l'application à leur propre « neuropsychologie » puis 90 minutes à l'utiliser pour effectuer des calculs. Dans cette expérience, le système avait une précision de transcription moyenne d'environ 92 %. D'après Arnav Kapur, plus le système sera utilisé, plus il gagnera en précision.
Choisir un film « par télépathie »
Les capacités de l'AlterEgo ouvrent de multiples perspectives. Lors des expériences du MIT, le casque a aidé les utilisateurs à résoudre des problèmes de calcul ou leur a donné l'heure grâce à une « demande silencieuse ».
Dans une vidéo où il porte lui-même son prototype, Arnav Kapur montre qu'il peut naviguer à distance sur une plate-forme de streaming comme Netflix, ou enregistrer automatiquement le prix des produits qu'il choisit dans un magasin.
Dans sa version finale, l'appareil pourrait permettre de communiquer avec les assistants connectés qui débarquent en ce moment sur le marché, tels que l'enceinte Alexa d'Amazon ou Google Assistant.
Des applications professionnelles ?
Cette capacité à « lire dans les pensées » pourrait toutefois constituer un frein à l'heure où le public s'inquiète des atteintes à la protection des données personnelles. Sur son site, le MIT tient d'avance à rassurer sur cette question : « Le système n'a aucun accès direct à l'activité cérébrale et ne peut donc pas lire les pensées d'un utilisateur. [...] Il lit uniquement les mots délibérément prononcés silencieusement ».
Porter un dispositif aussi contraignant et peu esthétique sur le visage pourrait également refroidir les ardeurs des potentiels intéressés, comme cela avait été le cas pour les Google Glass, dont la version grand public avait été abandonnée en 2015.
Toutefois - et tout comme les Google Glass, qui se sont réorientées vers les besoins des entreprises - AlterEgo pourrait s'avérer utile pour les professionnels évoluant dans des environnements bruyants, suggère Thad Starner, professeur au Georgia Tech's College of Computing. « Par exemple, le contrôle des avions sur le tarmac à l'aéroport, des endroits avec beaucoup de machines, comme une centrale électrique », propose-t-il. L'expert, qui a travaillé sur les Google Glass, cite également les métiers où l'on porte des masques de protection comme pilote de chasse ou pompier.
En savoir plus sur https://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/0301562771844-alterego-le-casque-capable-de-vous-entendre-penser-2169216.php#DRjZ02DX7qB928kO.99
Bonus : le futur que nous construisons
Présentation : 5 Conseils Pour Exposer Vos Idées Avec Conviction
Maitriser son temps, captiver, la répétition, jouer avec les émotions, quelles sont les régles pour parler en public et convaincre ?
Parler en public et être écouté ? "Speak Powerfully"
Lorsque vous devez présenter une idée devant un public, vous ne disposez que d’une seule chance pour faire grande impression. Il est bien sur extrêmement important de bien se préparer, mais ça ne fait pas tout. Voici cinq conseils qui vous permettront d’améliorer vos compétences en matière de présentation.
Racontez une histoire
Une présentation efficace ne consiste pas seulement en une énumération d’arguments en faveur de votre idée. Il faut donner une dimension affective à cette dernière pour montrer à votre public qu’elle vous tient à cœur. Faites voyager vos interlocuteurs afin de leur montrer comment votre idée s’articule et fonctionne.
Lors de l’élaboration de cette histoire, essayez de définir comment cette idée peut correspondre aux attentes du votre public. Si vous disposez de chiffres comme des prix ou des pourcentages, assurez-vous de les mettre en avant. Les chiffres ont un gros impact sur le public car il s’agit d’informations faciles à retenir.
Commencez votre présentation en résumant votre idée afin que vos interlocuteurs sachent où vous voulez en venir. Pour le corps de la présentation, développez des arguments factuels, et expliquez ce que votre entreprise perdrait à ne pas retenir votre idée. Concluez avec une affirmation forte, qui comprend un chiffre percutant, par exemple: « Grâce à la mise en place de ce nouveau programme de formation, nous pouvons réduire la rotation du personnel de près de 40 % ».
Sachez à qui vous avez affaire
Devrez-vous défendre votre idée dans une pièce bondée ? Durant une session de brainstorming ? En face à face ? Vous devez adapter votre style de communication à votre public. Plus vous adapterez votre discours, plus vous aurez de chances de vous faire entendre.
Si vous vous adressez à une assemblée, faites en sorte de fournir assez de supports pour les personnes présentes, ou du moins, pour les preneurs de décisions. S’il s’agit d’un face à face, adapter votre présentation pour que votre idée réponde aux besoins spécifiques de cette personne. Si vous participez à un brainstorming, assurez-vous de présenter autant d’idées que possible.
Changez de perspective
Imaginez plusieurs issues possibles et mettez-vous dans la peau de votre public. Essayez d’anticiper toutes les réticences, identifiez le meilleur et le pire des scénarios possibles. Mieux vous serez préparé, plus vos arguments seront percutants.
Cela vous permettra également d’étayer votre présentation avec du contenu, des faits et des chiffres adaptés, en plus d’établir une connexion avec votre public, lui montrant que vous ne souhaitez pas seulement mettre en place cette idée pour vous, mais également pour lui. Vos interlocuteurs seront alors davantage intéressés.
Posez des questions
Prévoyez assez de temps pour les éventuelles questions du public. Cela lui permettra d’éclaircir certains points et de s’investir davantage dans votre idée. Et vous pourrez vérifier à cette occasion si vous êtes tous bien en phase.
Préparez quelques questions pour votre public afin de vous assurer qu’il a bien compris votre message. Informez-vous quant aux éventuels délais ou demandez l’avis du public sur certains détails. Remarquez lorsque votre public apparaît confus ou perdu, ou lorsqu’il prend beaucoup de notes, c’est souvent l’occasion idéale pour lui poser des questions et répondre aux siennes.
Gérez les interruptions
Si vous êtes souvent interrompu durant votre présentation, n’hésitez pas à préciser que vous avez réservé du temps pour les questions à la fin de votre présentation en répondant par exemple : « Ne vous inquiétez pas, nous aurons amplement le temps de revenir sur votre question », ou encore, « C’est une très bonne question, j’y répondrai dans quelques instants ». Si vous n’arrivez pas à empêcher votre public d’intervenir, répondez succinctement aux questions et continuez votre présentation, ne vous laissez surtout pas submerger ou perturber.
En plus d’appliquer ces quelques conseils, il est important de délivrer votre présentation d’une manière concise et claire. Entraînez-vous à faire votre présentation afin de la peaufiner. Si vous êtes nerveux, répétez la plusieurs fois, jusqu’à ce que vous soyez plus confiant. Mais surtout, il faut faire preuve de conviction !
https://www.forbes.fr/management/presentation-5-conseils-pour-exposer-vos-idees-avec-conviction/
Parler en public et être écouté ? "Speak Powerfully"
Lorsque vous devez présenter une idée devant un public, vous ne disposez que d’une seule chance pour faire grande impression. Il est bien sur extrêmement important de bien se préparer, mais ça ne fait pas tout. Voici cinq conseils qui vous permettront d’améliorer vos compétences en matière de présentation.
Racontez une histoire
Une présentation efficace ne consiste pas seulement en une énumération d’arguments en faveur de votre idée. Il faut donner une dimension affective à cette dernière pour montrer à votre public qu’elle vous tient à cœur. Faites voyager vos interlocuteurs afin de leur montrer comment votre idée s’articule et fonctionne.
Lors de l’élaboration de cette histoire, essayez de définir comment cette idée peut correspondre aux attentes du votre public. Si vous disposez de chiffres comme des prix ou des pourcentages, assurez-vous de les mettre en avant. Les chiffres ont un gros impact sur le public car il s’agit d’informations faciles à retenir.
Commencez votre présentation en résumant votre idée afin que vos interlocuteurs sachent où vous voulez en venir. Pour le corps de la présentation, développez des arguments factuels, et expliquez ce que votre entreprise perdrait à ne pas retenir votre idée. Concluez avec une affirmation forte, qui comprend un chiffre percutant, par exemple: « Grâce à la mise en place de ce nouveau programme de formation, nous pouvons réduire la rotation du personnel de près de 40 % ».
Sachez à qui vous avez affaire
Devrez-vous défendre votre idée dans une pièce bondée ? Durant une session de brainstorming ? En face à face ? Vous devez adapter votre style de communication à votre public. Plus vous adapterez votre discours, plus vous aurez de chances de vous faire entendre.
Si vous vous adressez à une assemblée, faites en sorte de fournir assez de supports pour les personnes présentes, ou du moins, pour les preneurs de décisions. S’il s’agit d’un face à face, adapter votre présentation pour que votre idée réponde aux besoins spécifiques de cette personne. Si vous participez à un brainstorming, assurez-vous de présenter autant d’idées que possible.
Changez de perspective
Imaginez plusieurs issues possibles et mettez-vous dans la peau de votre public. Essayez d’anticiper toutes les réticences, identifiez le meilleur et le pire des scénarios possibles. Mieux vous serez préparé, plus vos arguments seront percutants.
Cela vous permettra également d’étayer votre présentation avec du contenu, des faits et des chiffres adaptés, en plus d’établir une connexion avec votre public, lui montrant que vous ne souhaitez pas seulement mettre en place cette idée pour vous, mais également pour lui. Vos interlocuteurs seront alors davantage intéressés.
Posez des questions
Prévoyez assez de temps pour les éventuelles questions du public. Cela lui permettra d’éclaircir certains points et de s’investir davantage dans votre idée. Et vous pourrez vérifier à cette occasion si vous êtes tous bien en phase.
Préparez quelques questions pour votre public afin de vous assurer qu’il a bien compris votre message. Informez-vous quant aux éventuels délais ou demandez l’avis du public sur certains détails. Remarquez lorsque votre public apparaît confus ou perdu, ou lorsqu’il prend beaucoup de notes, c’est souvent l’occasion idéale pour lui poser des questions et répondre aux siennes.
Gérez les interruptions
Si vous êtes souvent interrompu durant votre présentation, n’hésitez pas à préciser que vous avez réservé du temps pour les questions à la fin de votre présentation en répondant par exemple : « Ne vous inquiétez pas, nous aurons amplement le temps de revenir sur votre question », ou encore, « C’est une très bonne question, j’y répondrai dans quelques instants ». Si vous n’arrivez pas à empêcher votre public d’intervenir, répondez succinctement aux questions et continuez votre présentation, ne vous laissez surtout pas submerger ou perturber.
En plus d’appliquer ces quelques conseils, il est important de délivrer votre présentation d’une manière concise et claire. Entraînez-vous à faire votre présentation afin de la peaufiner. Si vous êtes nerveux, répétez la plusieurs fois, jusqu’à ce que vous soyez plus confiant. Mais surtout, il faut faire preuve de conviction !
https://www.forbes.fr/management/presentation-5-conseils-pour-exposer-vos-idees-avec-conviction/
Simon Sinek
Les grands leaders (Apple, Martin Luther King…) pensent, agissent et communiquent tous de la même façon et d’un manière totalement opposée de leurs concurrents. Simon Sinek nous présent comment. Il appelle cela le cercle d’or.
3 questions sont essentielles : Why, How et What.
What – QUOI : Quels types de produits ou services propose une entreprise ?
How – COMMENT : Comment ces produits ou services sont mis en œuvre ? (Process, brevet…)
Why – POURQUOI : Pourquoi une entreprise fait ce qu’elle fait ? Quel est le sens de sa mission et sa contribution sur son marché ? L’argent est le résultat, la conséquence mais pas la raison profonde, le but ultime…
Why good leaders make you feel safe :
Commencer par le pourquoi ?
Ce livre a été écrit pour tous ceux qui veulent inspirer les autres ou rencontrer quelqu'un qui les inspire. Simon Sinek dirige un mouvement visant à créer un monde dans lequel la majorité des gens fassent un travail qui les passionne. Toute personne physique ou morale peut expliquer ce qu'elle fait. Certains peuvent justifier en quoi ils se distinguent ou ce qui les rend meilleurs. Par contre, très peu peuvent expliquer clairement pourquoi. ""Le Pourquoi"" n'est pas une question d'argent ni de profit, il est ce qui nous passionne et inspire les gens autour de nous. Qu'il s'agisse de Martin Luther King, Steve Jobs ou des frères Wright, « Commencer par le pourquoi » nous montre que les leaders pensent, agissent et communiquent tous exactement de la même façon et font vraiment le contraire des autres. En s'appuyant sur plusieurs histoires réelles, ce livre fournit un cadre sur lequel fonder des entreprises, diriger des mouvements et inspirer des gens. Qu'il s'agisse de membres du Congrès, d'ambassadeurs étrangers, de petites entreprises, de firmes comme Microsoft et Walmart, de Hollywood, de la NASA ou du Pentagone, ceux qui veulent inspirer les gens veulent en savoir davantage sur le Pourquoi. Simon Sinek enseigne les communications stratégiques à l'université Columbia.
http://www.nextjump.com/
McDonald’s, Prêt Pour La Quatrième Révolution Industrielle
Certains experts diront que McDonald’s, cette chaîne américaine de restauration rapide que l’on ne présente plus, était jusqu’à maintenant à la traîne par rapport à ces concurrents dans tout ce qui concerne le big data et l’intelligence artificielle. Ces technologies peuvent lui permettre d’améliorer l’exploitation des ses restaurants tout en améliorant son chiffre d’affaires, alors la marque a décidé de prendre les choses en main. Le plan de croissance 2017 de l’entreprise soulignait déjà ses priorités et son engagement technologique en évoquant « l’amélioration des capacités numériques et l’usage des technologies afin d’améliorer considérablement l’expérience client ». L’objectif principal de McDonald’s et de toutes les chaînes de fast-food, c’est de conserver des prix bas et une grande efficacité, et le big data, l’intelligence artificielle et la robotique peuvent les aider.
Il est évident que McDonald’s génère des volumes considérables de données, étant donné que l’entreprise opère dans plus de 188 pays et qu’elle sert à manger à plus de 69 millions de personnes chaque jour. Mais c’est la manière dont elle utilise ces données qui va définir son pouvoir. Voici seulement quelques-unes des méthodes utilisées par McDonald’s pour se préparer à la quatrième révolution industrielle à l’aide de l’intelligence artificielle, du big data et de la robotique.
Une expérience consommateur personnalisée et améliorée
En proposant aux consommateur de commander et de payer leurs repas à l’aide de l’application mobile McDonald’s, l’entreprise fait d’une pierre deux coups, car les utilisateurs peuvent obtenir des offres exclusives, et l’entreprise obtient l’intelligence client concernant les habitudes de consommation (où et quand ils vont au restaurant, à quelle fréquence, s’ils utilisent le drive in ou s’ils mangent dans le restaurant et bien sûr, ce qu’ils achètent). Ces données sont vitales au développement de la stratégie numérique de la marque. Cette dernière peut ainsi conseiller des produits complémentaires et proposer des offres qui lui permettront d’augmenter ses ventes. Au Japon, les consommateurs qui utilisent l’application dépensent en moyenne 35 % de plus, en partie grâce aux recommandations du logiciel. Les produits préférés du consommateur sont sauvegardés, ce qui facilite les commandes et l’incite à utiliser l’application. Les utilisateurs de l’application n’ont pas à faire la queue, ils acceptent donc de partager leurs données contre quelques avantages perçus.
Des affichages de menus numériques qui utilisent des données
McDonald’s continue de déployer des affichages de menus numériques dans ses restaurants. Il s’agit de versions plus modernes des anciens menus, pouvant être modifiées en fonction de l’analyse des données en temps réel. Les menus numériques peuvent changer les propositions de produits de base en fonction du moment de la journée ou de la météo. Par exemple, en cas de températures très basses, des menus adaptés seront mis en avant, alors que pour un après-midi d’été ensoleillé, l’affichage privilégiera des boissons fraîches ou des glaces. Au Canada, cette méthode a permis d’augmenter les ventes de 3 % à 3,5 %.
L’analyse des tendances
Afin de mieux comprendre les performances de ses restaurants au cas par cas et d’identifier les bonnes pratiques de la restauration rapide, McDonald’s doit également se pencher sur les nombreuses données générées par ses établissements. Depuis que McDonalds fonctionne avec des franchises, l’invariabilité de la nourriture et de l’expérience client est primordiale. Du point du vue du consommateur, il est important de retrouver la même nourriture et les mêmes offres, peu importe où se trouve le restaurant et qui en est le propriétaire. L’entreprise se réfère à plusieurs points de données de l’expérience client. Par exemple, lorsqu’elle analyse l’expérience client au drive in, elle n’évalue pas seulement le design du drive in, mais elle analyse les informations qui ont été communiquées au client, et ce que font les clients qui patientent dans la queue. Elle analyse les modèles de comportements afin de prédire les commandes et de modifier la conception, les informations et les pratiques du restaurant si nécessaire.
Les bornes de commande
Pour remédier à la constante augmentation du coût de la main d’œuvre, McDonald’s remplace ses caissiers par des bornes de commande dotées d’un écran tactile. Les coûts sont ainsi réduits, et les erreurs de commande sont moins fréquentes. Ici, en France, McDonald’s teste actuellement des bornes interactives. C’est-à-dire qu’une fois votre commande terminée, la borne émet une carte RFID associée à votre commande. Lorsque la commande est prête, un employé de l’enseigne vous localise grâce à la carte RFID et vous sert votre repas à votre table.
Les McRobots
McDonald’s est la première chaîne du genre à avoir ouvert un restaurant fonctionnant entièrement avec des robots, avec seulement quelques employés humains pour leur porter assistance, à Phoenix en Arizona. Pour faire face aux salaires minimaux en constante augmentation et aux inconvénients inhérents à la main d’œuvre (arrêts maladie, hygiène, etc.), et grâce aux avancées de la robotique et de l’intelligence artificielle, les robots offrent aux restaurants une alternative à la main d’œuvre humaine. Pour le moment, la direction et les investisseurs se disent ravis de la fiabilité et de l’accessibilité de leur main d’œuvre robotisée.
Attendez-vous à ce que, dans les années à venir, McDonald’s améliore davantage ses performances grâce à l’intelligence artificielle, au big data et aux robots.
https://www.forbes.fr/technologie/mcdonalds-pret-pour-la-quatrieme-revolution-industrielle/
Il est évident que McDonald’s génère des volumes considérables de données, étant donné que l’entreprise opère dans plus de 188 pays et qu’elle sert à manger à plus de 69 millions de personnes chaque jour. Mais c’est la manière dont elle utilise ces données qui va définir son pouvoir. Voici seulement quelques-unes des méthodes utilisées par McDonald’s pour se préparer à la quatrième révolution industrielle à l’aide de l’intelligence artificielle, du big data et de la robotique.
Une expérience consommateur personnalisée et améliorée
En proposant aux consommateur de commander et de payer leurs repas à l’aide de l’application mobile McDonald’s, l’entreprise fait d’une pierre deux coups, car les utilisateurs peuvent obtenir des offres exclusives, et l’entreprise obtient l’intelligence client concernant les habitudes de consommation (où et quand ils vont au restaurant, à quelle fréquence, s’ils utilisent le drive in ou s’ils mangent dans le restaurant et bien sûr, ce qu’ils achètent). Ces données sont vitales au développement de la stratégie numérique de la marque. Cette dernière peut ainsi conseiller des produits complémentaires et proposer des offres qui lui permettront d’augmenter ses ventes. Au Japon, les consommateurs qui utilisent l’application dépensent en moyenne 35 % de plus, en partie grâce aux recommandations du logiciel. Les produits préférés du consommateur sont sauvegardés, ce qui facilite les commandes et l’incite à utiliser l’application. Les utilisateurs de l’application n’ont pas à faire la queue, ils acceptent donc de partager leurs données contre quelques avantages perçus.
Des affichages de menus numériques qui utilisent des données
McDonald’s continue de déployer des affichages de menus numériques dans ses restaurants. Il s’agit de versions plus modernes des anciens menus, pouvant être modifiées en fonction de l’analyse des données en temps réel. Les menus numériques peuvent changer les propositions de produits de base en fonction du moment de la journée ou de la météo. Par exemple, en cas de températures très basses, des menus adaptés seront mis en avant, alors que pour un après-midi d’été ensoleillé, l’affichage privilégiera des boissons fraîches ou des glaces. Au Canada, cette méthode a permis d’augmenter les ventes de 3 % à 3,5 %.
L’analyse des tendances
Afin de mieux comprendre les performances de ses restaurants au cas par cas et d’identifier les bonnes pratiques de la restauration rapide, McDonald’s doit également se pencher sur les nombreuses données générées par ses établissements. Depuis que McDonalds fonctionne avec des franchises, l’invariabilité de la nourriture et de l’expérience client est primordiale. Du point du vue du consommateur, il est important de retrouver la même nourriture et les mêmes offres, peu importe où se trouve le restaurant et qui en est le propriétaire. L’entreprise se réfère à plusieurs points de données de l’expérience client. Par exemple, lorsqu’elle analyse l’expérience client au drive in, elle n’évalue pas seulement le design du drive in, mais elle analyse les informations qui ont été communiquées au client, et ce que font les clients qui patientent dans la queue. Elle analyse les modèles de comportements afin de prédire les commandes et de modifier la conception, les informations et les pratiques du restaurant si nécessaire.
Les bornes de commande
Pour remédier à la constante augmentation du coût de la main d’œuvre, McDonald’s remplace ses caissiers par des bornes de commande dotées d’un écran tactile. Les coûts sont ainsi réduits, et les erreurs de commande sont moins fréquentes. Ici, en France, McDonald’s teste actuellement des bornes interactives. C’est-à-dire qu’une fois votre commande terminée, la borne émet une carte RFID associée à votre commande. Lorsque la commande est prête, un employé de l’enseigne vous localise grâce à la carte RFID et vous sert votre repas à votre table.
Les McRobots
McDonald’s est la première chaîne du genre à avoir ouvert un restaurant fonctionnant entièrement avec des robots, avec seulement quelques employés humains pour leur porter assistance, à Phoenix en Arizona. Pour faire face aux salaires minimaux en constante augmentation et aux inconvénients inhérents à la main d’œuvre (arrêts maladie, hygiène, etc.), et grâce aux avancées de la robotique et de l’intelligence artificielle, les robots offrent aux restaurants une alternative à la main d’œuvre humaine. Pour le moment, la direction et les investisseurs se disent ravis de la fiabilité et de l’accessibilité de leur main d’œuvre robotisée.
Attendez-vous à ce que, dans les années à venir, McDonald’s améliore davantage ses performances grâce à l’intelligence artificielle, au big data et aux robots.
https://www.forbes.fr/technologie/mcdonalds-pret-pour-la-quatrieme-revolution-industrielle/
Proptech : Calculer En Un Clic Le Rendement Locatif D’Un Bien Immobilier
C’est un simulateur, site et application, qui permet de calculer le rendement locatif d’un bien immobilier. Lancé par un ancien chef de projet Microsoft, l’outil veut permettre aux propriétaires de faire les meilleurs placements et anticiper leurs gains. Une aventure entrepreneuriale qui commence avec un simple tableur et qui se construit pas à pas, au rythme décidé par le calculateur Bassel Abedi.
C’est un simulateur. Un outil comme on en trouve sur Internet pour compter le nombre de caractères, espaces compris, ou convertir des dollars en euros, et inversement. Rendement locatif, comme son nom l’indique, est un calculateur qui permet d’anticiper le retour sur investissement d’un bien immobilier. Une formule toute bête, le loyer divisé par le prix d’achat. Disponible sur Internet et Smartphone, le simulateur permet de calculer la rentabilité réelle d’un bien et donne le coût mensuel tout compris. Le site propose aujourd’hui d’avoir accès à de nombreux services, ajoutés les uns après les autres : un conseiller, un courtier, gestion du bien en ligne.
Une offre complète dont l’histoire commence avec un simple tableur. Employé chez Microsoft pendant huit ans, Bassel Abedi gagnait très bien sa vie. Le chef de projet, ingénieur de formation, se demande rapidement où placer son argent. Classique, il se tourne vers l’immobilier, mais déchante rapidement. « Y investir est compliqué, le seul intermédiaire est l’agent immobilier qui en général ne s’intéresse qu’à la vente, ou les promoteurs, qui envoient des commerciaux chez les personnes qui paient beaucoup d’impôts pour les pousser à acheter du neuf et ainsi défiscaliser. » Bassel Abedi raconte la genèse de son idée avec calme et un certain amusement. « Je faisais des tableurs Excel. »
Du forum à la start-up
En 2012, il poste un de ses tableurs sur un forum en ligne. Un tableau tout simple, avec les éléments de base : ville, prix d’achat, et prix auquel serait loué le bien. « Et ça faisait le calcul sur le rendement qu’allait donner le bien », expose méthodiquement l’ancien ingénieur. Rapidement, une communauté se forme autour de Bassel Abedi et lui donne des idées. « J’ai vu l’engouement pour l’outil, et j’ai compris qu’il y avait un besoin. »
L’engouement est tel, qu’en 2016, lorsqu’il quitte Microsoft, l’outil lui rapporte déjà autour de 3 000 euros par mois, « rien qu’avec des gens qui payaient pour y avoir accès », raconte le désormais entrepreneur. Plus tortue que lièvre, Bassel Abedi a ainsi attendu quatre ans avant de quitter son poste chez Microsoft pour se lancer pleinement dans l’aventure du rendement locatif. Au moment du grand saut hors du salariat, il n’a même pas à créer sa structure puisque celle-ci existe déjà depuis 2008. A l’époque, il crée de petits jeux en ligne. L’occupation lui rapportant de l’argent, environ 1 500 euros par mois, il avait créé une structure pour récolter les sommes qui restaient dans l’entreprise. En 2016, il n’a eu qu’à la transformer en SAS U.
https://www.forbes.fr/entrepreneurs/proptech-rendement-locatif-calcule-la-rentabilite-dun-investissement-immobilier/
Ressoureces :
https://www.rendementlocatif.com/
C’est un simulateur. Un outil comme on en trouve sur Internet pour compter le nombre de caractères, espaces compris, ou convertir des dollars en euros, et inversement. Rendement locatif, comme son nom l’indique, est un calculateur qui permet d’anticiper le retour sur investissement d’un bien immobilier. Une formule toute bête, le loyer divisé par le prix d’achat. Disponible sur Internet et Smartphone, le simulateur permet de calculer la rentabilité réelle d’un bien et donne le coût mensuel tout compris. Le site propose aujourd’hui d’avoir accès à de nombreux services, ajoutés les uns après les autres : un conseiller, un courtier, gestion du bien en ligne.
Une offre complète dont l’histoire commence avec un simple tableur. Employé chez Microsoft pendant huit ans, Bassel Abedi gagnait très bien sa vie. Le chef de projet, ingénieur de formation, se demande rapidement où placer son argent. Classique, il se tourne vers l’immobilier, mais déchante rapidement. « Y investir est compliqué, le seul intermédiaire est l’agent immobilier qui en général ne s’intéresse qu’à la vente, ou les promoteurs, qui envoient des commerciaux chez les personnes qui paient beaucoup d’impôts pour les pousser à acheter du neuf et ainsi défiscaliser. » Bassel Abedi raconte la genèse de son idée avec calme et un certain amusement. « Je faisais des tableurs Excel. »
Du forum à la start-up
En 2012, il poste un de ses tableurs sur un forum en ligne. Un tableau tout simple, avec les éléments de base : ville, prix d’achat, et prix auquel serait loué le bien. « Et ça faisait le calcul sur le rendement qu’allait donner le bien », expose méthodiquement l’ancien ingénieur. Rapidement, une communauté se forme autour de Bassel Abedi et lui donne des idées. « J’ai vu l’engouement pour l’outil, et j’ai compris qu’il y avait un besoin. »
L’engouement est tel, qu’en 2016, lorsqu’il quitte Microsoft, l’outil lui rapporte déjà autour de 3 000 euros par mois, « rien qu’avec des gens qui payaient pour y avoir accès », raconte le désormais entrepreneur. Plus tortue que lièvre, Bassel Abedi a ainsi attendu quatre ans avant de quitter son poste chez Microsoft pour se lancer pleinement dans l’aventure du rendement locatif. Au moment du grand saut hors du salariat, il n’a même pas à créer sa structure puisque celle-ci existe déjà depuis 2008. A l’époque, il crée de petits jeux en ligne. L’occupation lui rapportant de l’argent, environ 1 500 euros par mois, il avait créé une structure pour récolter les sommes qui restaient dans l’entreprise. En 2016, il n’a eu qu’à la transformer en SAS U.
https://www.forbes.fr/entrepreneurs/proptech-rendement-locatif-calcule-la-rentabilite-dun-investissement-immobilier/
Ressoureces :
https://www.rendementlocatif.com/
Avez-vous des questions ? Entretien d'embauche
"La fin de l'entretien approche, jusque là tout s'est bien déroulé... je suis assez satisfait de moi.
- Avez-vous des questions ? me lance le recruteur.
Mince, on me la pose toujours cette question et pourtant, je ne sais jamais quel type de réponse apporter. Je m'enfonce dans mon fauteuil, rien, rien de rien à demander, je suis à court de questions judicieuses".
Cela vous dit quelque chose ? Une phrase qui n'a l'air de rien, pas forcément piège puisqu'elle veut juste répondre aux interrogations qui pourraient être les vôtres. Ne poser aucune question pourrait vous placer sur l'orbite des personnes indifférentes à leur sort, indifférentes à l'emploi proposé ou indifférentes à leur recherche d'emploi.
Cette question a deux vertus :
1- Celle de vous distinguer d'un autre candidat par la pertinence de la question.
2- Celle de vous positionner avec davantage de certitude dans le process de recrutement, de vous assurer que le poste vous correspond bien.
Je vous propose plusieurs pistes à explorer, j'espère que certaines d'entre elles vous inspireront !
- Si le sujet n'a pas été abordé, n'hésitez pas à questionner le recruteur sur les perspectives et objectifs de l'entreprise à moyen terme - disons sur 5 ans. Vous illustrerez ainsi votre "orientation résultat" et obtiendrez bien entendu quelques précieux renseignements (si la communication de l'entreprise fonctionne bien) sur l'évolution du service ou du poste concerné par votre candidature.
- Comment décririez-vous la culture de l'entreprise ? En gros, quelle est l'ambiance, les valeurs, l'historique de l'entreprise.. Cela peut s'avérer important, vous ne croyez pas ?
- Que pensez-vous de ma candidature ? Finalement, il s'agit de la question clé, celle qui vous motive profondément.. Vous ai-je convaincu ou souhaitez-vous aborder un autre point avec moi ?
- Pour quelles raisons, le poste est-il vacant aujourd'hui ? S'agit-il d'une création de poste, d'un remplacement, dans quelles conditions s'est déroulé le départ de votre prédécesseur, etc, etc...
- Une question directe : qu'avez-vous trouvé chez XXX que vous n'aviez jamais rencontré dans aucune autre entreprise ? Ha ha.. J'adore cette question, un brin provoc, mais vraiment, vraiment riche en renseignements, surtout ceux que l'on ne retrouve pas sur un site corporate..
http://www.conseil-emploi.net/2012/09/avez-vous-des-questions.html
- Avez-vous des questions ? me lance le recruteur.
Mince, on me la pose toujours cette question et pourtant, je ne sais jamais quel type de réponse apporter. Je m'enfonce dans mon fauteuil, rien, rien de rien à demander, je suis à court de questions judicieuses".
Cela vous dit quelque chose ? Une phrase qui n'a l'air de rien, pas forcément piège puisqu'elle veut juste répondre aux interrogations qui pourraient être les vôtres. Ne poser aucune question pourrait vous placer sur l'orbite des personnes indifférentes à leur sort, indifférentes à l'emploi proposé ou indifférentes à leur recherche d'emploi.
Cette question a deux vertus :
1- Celle de vous distinguer d'un autre candidat par la pertinence de la question.
2- Celle de vous positionner avec davantage de certitude dans le process de recrutement, de vous assurer que le poste vous correspond bien.
Je vous propose plusieurs pistes à explorer, j'espère que certaines d'entre elles vous inspireront !
- Si le sujet n'a pas été abordé, n'hésitez pas à questionner le recruteur sur les perspectives et objectifs de l'entreprise à moyen terme - disons sur 5 ans. Vous illustrerez ainsi votre "orientation résultat" et obtiendrez bien entendu quelques précieux renseignements (si la communication de l'entreprise fonctionne bien) sur l'évolution du service ou du poste concerné par votre candidature.
- Comment décririez-vous la culture de l'entreprise ? En gros, quelle est l'ambiance, les valeurs, l'historique de l'entreprise.. Cela peut s'avérer important, vous ne croyez pas ?
- Que pensez-vous de ma candidature ? Finalement, il s'agit de la question clé, celle qui vous motive profondément.. Vous ai-je convaincu ou souhaitez-vous aborder un autre point avec moi ?
- Pour quelles raisons, le poste est-il vacant aujourd'hui ? S'agit-il d'une création de poste, d'un remplacement, dans quelles conditions s'est déroulé le départ de votre prédécesseur, etc, etc...
- Une question directe : qu'avez-vous trouvé chez XXX que vous n'aviez jamais rencontré dans aucune autre entreprise ? Ha ha.. J'adore cette question, un brin provoc, mais vraiment, vraiment riche en renseignements, surtout ceux que l'on ne retrouve pas sur un site corporate..
http://www.conseil-emploi.net/2012/09/avez-vous-des-questions.html
Osez être unique, soyez vous-même
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"Fais ce que tu aimes dans la vie"
Beau, Bien, Bon, programmez votre cerveau pour le bonheur
"L'entrainement cérébral par les jeux"
Comment voyez vous ce cube ? Ballade dans l'Ahlambra
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"L'entrainement cérébral par les jeux"
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Réalité Augmentée : 6 Manières Dont Elle Influencera Nos Vies
La réalité augmentée, ou l’association du monde physique et d’éléments numériques, a gagné en popularité auprès des utilisateurs quotidiens de smartphones, car c’est un moyen ludique de prendre des selfies avec des masques de chiens ou des filtres scintillants. Ces outils incitent les gens à communiquer davantage à l’aide des applications de réseaux sociaux, ce qui leur permet de rendre des moments ordinaires plus créatifs et amusants.
Réalité augmentée / Réalité virtuelle
Cependant, cette technologie qui a débuté comme un divertissement est vouée à devenir le fondement d’applications plus sérieuses. De la même manière, la réalité virtuelle, d’abord été utilisée pour les jeux vidéos, est aujourd’hui devenue un outils pour la formation médicale ou les simulations de toutes sortes. La réalité augmentée devrait bientôt devenir omniprésente, et pas seulement sur Instagram ou Snapchat.
La réalité augmentée pourra se transformer en « objectif magique » à travers lequel on pourra voir le monde à l’aide de notre smartphone. Voici six manières dont cette technologie peut améliorer les tâches et les activités quotidiennes.
1. L’orientation. Que vous soyez un touriste cherchant où déjeuner à Manhattan ou un livreur de marchandise, vous disposez tous de GPS sur vos smartphones. À court terme, la réalité augmentée pourra assister l’orientation en nous montrant des panneaux virtuels sur nos téléphones. Elle pourra nous permettre, par exemple, de localiser des amis dans un grand parc pour pouvoir les rejoindre. Cependant, avec le développement et l’adoption d’appareils portables, comme des lunettes, la réalité augmentée pourrait être utilisée pour une orientation plus fluide. Cette application pourrait devenir le fer de lance de cette technologie.
2. Les jeux et jouets. Le jeu Pokémon GO a marqué un tournant dans l’histoire de la réalité augmentée lorsqu’il a été lancé en juillet 2016. Il est vite devenu l’un des jeux sur smartphones les plus populaires de tous les temps. En incrustant des personnages virtuels dans des lieux réels, ce jeu a prouvé que la réalité augmentée est extrêmement attractive pour le grand public. Contrairement à la réalité virtuelle qui permet de s’immerger entièrement dans un monde virtuel, il est possible d’interagir avec des amis ou des utilisateurs avec la réalité augmentée. Derrière l’attractivité pour les consommateurs se cache également une réelle opportunité commerciale. En juillet, SurveyMonkey estimait que Pokémon GO avait généré 6 millions de dollars (4,88 millions d’euros) de chiffre d’affaire par jour. Un jeu de réalité virtuel plus simple pourrait consister à s’occuper d’une plante virtuelle dans son bureau ou d’un animal de compagnie imaginaire. Les applications mobiles de réalité augmentée sont également développées pour des jouets. Par exemple, Seedling, une entreprise de Los Angeles commercialise des oursons en peluche intégrant la réalité virtuelle et aidant les enfants à apprendre à résoudre certains problèmes.
3. La formation. De la même manière que la réalité virtuelle peut aider la scolarité, la réalité augmentée pourrait être utilisée comme un outils d’apprentissage, aussi bien pour un collégien étudiant la biologie cellulaire ou un menuisier apprenant une nouvelle technique. Le coût décroissant de smartphones et leur démocratisation parmi les enfants aideront cette tendance. Alors que son utilisation actuelle est plutôt simple, la réalité augmentée pourrait mieux servir l’apprentissage que la réalité virtuelle à court terme. En dehors des salles de cours traditionnelles, les tutoriels avec réalité augmentée pourrait remplacer les tutoriels YouTube actuels.
4. L’art. Certains technologues, comme le PDG de Facebook Mark Zuckerberg, n’arrêtent pas de dire que l’automatisation et les algorithmes pourront permettre à l’humain de dédier plus de temps à ce qui est typiquement humain : la création. Les graffitis que l’on retrouve actuellement sur les murs de nos villes pourraient se transformer en art en réalité augmentée dans les années à venir, et au lieu de peindre sur des chevalets, les enfants pourront peindre à l’aide de leurs téléphones. Heather Day, une artiste a créé une installation imitant les coups de pinceaux et les coulures de peinture grâce à la réalité augmentée. Cette installation liée en partie au campus de Facebook à Menlo Park dans le New Jersey, permet aux visiteurs d’utiliser leurs smartphones pour peindre les murs, les plafonds et le sol afin de pouvoir voir du bleu et du jaune en 3D à l’aide de leur smartphone. Avec le temps, la technologie SLAM permettra aux gens de faire des bâtiments ou des objets artistiques en réalité augmentée et de les localiser afin que les futurs visiteurs puissent voir et interagir avec la création en question à l’aide de leur téléphone.
5. Découvrir des choses sur les gens, les endroits et les objets. Aujourd’hui, nous nous tournons vers Google pour répondre à nos questions ou pour trouver toutes sortes d’informations. Dans les années à venir, nous utiliserons certainement les appareils photo de nos smartphones et la réalité augmentée pour faire des recherches. Tenir notre téléphone devant une statue lors d’une exposition ou devant un monument historique pourrait générer des bulles d’information ou des animations qui pourrait nous en dire davantage sur ce que nous voyons (Google a récemment lancé une application appelée Lens, compatible avec Android, permettant aux utilisateurs de scanner un objet afin d’obtenir des informations, comme la nom d’une fleur ou la race d’un chien, la création d’un contact à partir d’une carte de visite ou l’identification d’un monument). On pourrait également imaginer un casque pouvant être porté par un orateur sur scène et qui pourrait lire les expressions faciales des membres du public afin de donner à l’intervenant des retours visuels sur le niveau d’intérêt (ou d’ennui) de l’audience.
7. Les messages stockés dans des lieux. Les messages photo ou vidéo dotés d’effets spéciaux arrivent directement dans les boîtes de réceptions de nos proches. La technologie SLAM, permettant de se souvenir où sont placées les œuvres d’art pourrait également être utilisée dans les années à venir pour nous permettre de récupérer des messages de collègues ou d’amis laissés dans des endroits spécifiques détectés par nos smartphones. Par exemple, il serait possible de laisser des recommandations pour un ami dans un restaurant, ou de laisser un bouquet de fleur virtuel accompagné d’une carte à la maison pour la personne partageant votre vie.
La réalité augmentée n’en est qu’à ses prémices, mais les cadres travaillant dans cette technologie insistent sur le fait que de nouvelles applications surprenantes seront découvertes au fur et à mesure de son développement. Nous savons maintenant que la réalité augmentée ne sert pas seulement à mettre des casques de spationautes à des petits chats mais qu’elle a de nombreuses applications utiles.
https://www.forbes.fr/technologie/realite-augmentee-6-manieres-dont-elle-influencera-nos-vies/
Bonus
Les meilleurs casques de réalité virtuelle en 2017
Réalité augmentée / Réalité virtuelle
Cependant, cette technologie qui a débuté comme un divertissement est vouée à devenir le fondement d’applications plus sérieuses. De la même manière, la réalité virtuelle, d’abord été utilisée pour les jeux vidéos, est aujourd’hui devenue un outils pour la formation médicale ou les simulations de toutes sortes. La réalité augmentée devrait bientôt devenir omniprésente, et pas seulement sur Instagram ou Snapchat.
La réalité augmentée pourra se transformer en « objectif magique » à travers lequel on pourra voir le monde à l’aide de notre smartphone. Voici six manières dont cette technologie peut améliorer les tâches et les activités quotidiennes.
1. L’orientation. Que vous soyez un touriste cherchant où déjeuner à Manhattan ou un livreur de marchandise, vous disposez tous de GPS sur vos smartphones. À court terme, la réalité augmentée pourra assister l’orientation en nous montrant des panneaux virtuels sur nos téléphones. Elle pourra nous permettre, par exemple, de localiser des amis dans un grand parc pour pouvoir les rejoindre. Cependant, avec le développement et l’adoption d’appareils portables, comme des lunettes, la réalité augmentée pourrait être utilisée pour une orientation plus fluide. Cette application pourrait devenir le fer de lance de cette technologie.
2. Les jeux et jouets. Le jeu Pokémon GO a marqué un tournant dans l’histoire de la réalité augmentée lorsqu’il a été lancé en juillet 2016. Il est vite devenu l’un des jeux sur smartphones les plus populaires de tous les temps. En incrustant des personnages virtuels dans des lieux réels, ce jeu a prouvé que la réalité augmentée est extrêmement attractive pour le grand public. Contrairement à la réalité virtuelle qui permet de s’immerger entièrement dans un monde virtuel, il est possible d’interagir avec des amis ou des utilisateurs avec la réalité augmentée. Derrière l’attractivité pour les consommateurs se cache également une réelle opportunité commerciale. En juillet, SurveyMonkey estimait que Pokémon GO avait généré 6 millions de dollars (4,88 millions d’euros) de chiffre d’affaire par jour. Un jeu de réalité virtuel plus simple pourrait consister à s’occuper d’une plante virtuelle dans son bureau ou d’un animal de compagnie imaginaire. Les applications mobiles de réalité augmentée sont également développées pour des jouets. Par exemple, Seedling, une entreprise de Los Angeles commercialise des oursons en peluche intégrant la réalité virtuelle et aidant les enfants à apprendre à résoudre certains problèmes.
3. La formation. De la même manière que la réalité virtuelle peut aider la scolarité, la réalité augmentée pourrait être utilisée comme un outils d’apprentissage, aussi bien pour un collégien étudiant la biologie cellulaire ou un menuisier apprenant une nouvelle technique. Le coût décroissant de smartphones et leur démocratisation parmi les enfants aideront cette tendance. Alors que son utilisation actuelle est plutôt simple, la réalité augmentée pourrait mieux servir l’apprentissage que la réalité virtuelle à court terme. En dehors des salles de cours traditionnelles, les tutoriels avec réalité augmentée pourrait remplacer les tutoriels YouTube actuels.
4. L’art. Certains technologues, comme le PDG de Facebook Mark Zuckerberg, n’arrêtent pas de dire que l’automatisation et les algorithmes pourront permettre à l’humain de dédier plus de temps à ce qui est typiquement humain : la création. Les graffitis que l’on retrouve actuellement sur les murs de nos villes pourraient se transformer en art en réalité augmentée dans les années à venir, et au lieu de peindre sur des chevalets, les enfants pourront peindre à l’aide de leurs téléphones. Heather Day, une artiste a créé une installation imitant les coups de pinceaux et les coulures de peinture grâce à la réalité augmentée. Cette installation liée en partie au campus de Facebook à Menlo Park dans le New Jersey, permet aux visiteurs d’utiliser leurs smartphones pour peindre les murs, les plafonds et le sol afin de pouvoir voir du bleu et du jaune en 3D à l’aide de leur smartphone. Avec le temps, la technologie SLAM permettra aux gens de faire des bâtiments ou des objets artistiques en réalité augmentée et de les localiser afin que les futurs visiteurs puissent voir et interagir avec la création en question à l’aide de leur téléphone.
5. Découvrir des choses sur les gens, les endroits et les objets. Aujourd’hui, nous nous tournons vers Google pour répondre à nos questions ou pour trouver toutes sortes d’informations. Dans les années à venir, nous utiliserons certainement les appareils photo de nos smartphones et la réalité augmentée pour faire des recherches. Tenir notre téléphone devant une statue lors d’une exposition ou devant un monument historique pourrait générer des bulles d’information ou des animations qui pourrait nous en dire davantage sur ce que nous voyons (Google a récemment lancé une application appelée Lens, compatible avec Android, permettant aux utilisateurs de scanner un objet afin d’obtenir des informations, comme la nom d’une fleur ou la race d’un chien, la création d’un contact à partir d’une carte de visite ou l’identification d’un monument). On pourrait également imaginer un casque pouvant être porté par un orateur sur scène et qui pourrait lire les expressions faciales des membres du public afin de donner à l’intervenant des retours visuels sur le niveau d’intérêt (ou d’ennui) de l’audience.
7. Les messages stockés dans des lieux. Les messages photo ou vidéo dotés d’effets spéciaux arrivent directement dans les boîtes de réceptions de nos proches. La technologie SLAM, permettant de se souvenir où sont placées les œuvres d’art pourrait également être utilisée dans les années à venir pour nous permettre de récupérer des messages de collègues ou d’amis laissés dans des endroits spécifiques détectés par nos smartphones. Par exemple, il serait possible de laisser des recommandations pour un ami dans un restaurant, ou de laisser un bouquet de fleur virtuel accompagné d’une carte à la maison pour la personne partageant votre vie.
La réalité augmentée n’en est qu’à ses prémices, mais les cadres travaillant dans cette technologie insistent sur le fait que de nouvelles applications surprenantes seront découvertes au fur et à mesure de son développement. Nous savons maintenant que la réalité augmentée ne sert pas seulement à mettre des casques de spationautes à des petits chats mais qu’elle a de nombreuses applications utiles.
https://www.forbes.fr/technologie/realite-augmentee-6-manieres-dont-elle-influencera-nos-vies/
Bonus
Les meilleurs casques de réalité virtuelle en 2017
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